eh les gens.....vu la tournure que prends le topic, moi je vous conseillerais de sortir un peu plus.
les bébés ça peut se faire garder, juste histoire de voir autre chose que des dégradés de couches. 
y a pas une crèche encore sur SL? c'est mal organisé ici.
eh les gens.....vu la tournure que prends le topic, moi je vous conseillerais de sortir un peu plus.
Mais p*bip* si ça t’intéresse pas ce topic t'y va pas et puis basta
parce que là il vont parler un moment de caca vu que c'est un bon révélateur de l'état de santé de leurs mômes qui passent leurs journées à manger (en donc à chier), à pleurer et à dormir
eh les gens.....vu la tournure que prends le topic, moi je vous conseillerais de sortir un peu plus.
les bébés ça peut se faire garder, juste histoire de voir autre chose que des dégradés de couches.
y a pas une crèche encore sur SL? c'est mal organisé ici.
Je le laisse déjà à la nounou en journée, ensuite c'est pas simple de se détacher de son ptit bout.
Et je n'ai pas encore de baby sitter.
Le caca c'est la vie
les bébés ça peut se faire garder, juste histoire de voir autre chose que des dégradés de couches.
des fois y'a des dégradés de couches qui sont plus intéressants que certains posts...
Ton jour viendra.
Moi depuis que je suis toute petite je suis traumatisée par l'acte de l'accouchement. C'est... une vision absolument horripilante pour moi. Brrrrr. ça me donne des frissons rien que d'y penser.
Et bien c'est encore plus horrible que tu ne le penses. Avec encore plus de sueur de sang de liquide chelou sur le sol... ou dans la poubelle prévu à cet effet.
Moi depuis que je suis toute petite je suis traumatisée par l'acte de l'accouchement. C'est... une vision absolument horripilante pour moi. Brrrrr. ça me donne des frissons rien que d'y penser.
pareil que toi, et j'ai honte de le dire, quand on me demande pourquoi je n'ai pas d'enfant, j'ai un blocage psychologique, je crois, tant à l'idée d'accoucher qu'à l'idée d'être responsable d'un enfant.
Moi depuis que je suis toute petite je suis traumatisée par l'acte de l'accouchement. C'est... une vision absolument horripilante pour moi. Brrrrr. ça me donne des frissons rien que d'y penser.
Et bien c'est encore plus horrible que tu ne le penses. Avec encore plus de sueur de sang de liquide chelou sur le sol... ou dans la poubelle prévu à cet effet.
Ouais, ben si j'accouche un jour, hors de question que mon amour assiste à ça !
vous êtes vachement encourageant pour d'éventuels futurs parents
ça fait froid dans le dos ...
effectivement, ce n'est pas si simple d'expulser un être d'environ 3 kg qui a été créé et qui a grandit en toi pendant 9 mois
après, il y a quand même beaucoup de femmes (dont je fais partie) qui y retournent une 2ème fois, alors ça ne doit pas être si traumatisant que ça finalement 
je pense que si tu es prête psychologiquement à avoir un enfant, la peur de l'accouchement s'estompe d'elle même petit à petit, face à la joie de ce qui vient après (en tout cas quand l'enfant est désiré, sinon c'est une autre histoire)
roh la la mais c'est clair, vous êtes flippants...
pour ma part, l'envie d'un bébé est venue d'un coup. C'était pas du tout dans mes plans pendant très longtemps et un jour j'en ai eu envie. Et à partir du moment où on en a envie, on en a TRES envie... on y pense rapidement jour et nuit
sinon pour l'accouchement... je crois que j'y ai pensé à la seconde où j'ai vu le test positif. Je me suis dit : bon ben voilà, maintenant il va bien falloir qu'il sorte un jour ^^J'ai pas mal flippé en début de grossesse et puis finalement en 9 mois on apprend à maitriser un peu la peur... y'en reste hein, mais on est pas lachées comme ça. Y'a les cours de préparation à l'accouchement, les dizaines d'heures à surfer sur internet pour tout apprendre (d'ailleurs c'est peut être à éviter ça ) et les conseils et récits de l'entourage (ça aussi c'est à éviter je crois )
Et puis le jour J, rien ne se passe réellement comme on l'a imaginé. Mais ça se passe. C'est pas forcément une partie de plaisir. La douleur est présente la plupart du temps mais faut bien essayer de garder en tête que c'est une douleur temporaire. Et quand elle prend fin cette douleur, c'est un moment extraordinaire.
Pour ma part, tout n'a pas été simple ce jour là pour différentes raisons. J'avais du mal à croire toutes celles qui disaient que ce moment pouvait être magique. Je voyais rien de magique dans cet acte très "médicalisé" au final.
Mais une fois que le bébé est arrivé, ça a réellement été magique. J'ai vu ses p'tits yeux qui semblaient me regarder et là.. paf... une vague d'amour immense <3
Quand au papa, il y a quelques années, j'aurais dit que je refusais se présence. Mais là pour rien au monde j'aurais voulu accoucher toute seule D'ailleurs, seule, je sais pas si j'y serais arrivée Pouvoir broyer la main de quelqu'un est parfois d'un secours non négligeable. Ca fait du bien de se sentir soutenue dans cette épreuve. Et pi il peut bien faire ça non ?
Plus sérieusement, je pense que c'est un moment qui rapproche vraiment. Bon il faut éviter qu'il en voit trop hein.. enfin bref !
Tout ça pour dire que bizarrement, malgré tout ce qui s'est passé ce jour là... au bout de quelques semaines après l'accouchement, on recommence à envisager la possibilité de revivre ça une seconde fois... c'est donc que c'est pas si terrible que ça. En plus tous les accouchements sont différents...
Merci pour ce témoignage un peu plus rassurant idem 
Des fois je me dis qu'on est seulement le fruit d'un désir égoïste. Quand on veut être parent, on n'assouvit que son propre besoin, pas celui de son gosse ; et ça aussi c'est un truc que j'aime pas. Je sais pas, tu éduques une future personne en devenir, comme vous et moi, ça a un impact juste énorme. Surtout pour lui faire vivre une vie pas forcément hyper agréable... Ouais, c'est exactement l'impression que j'ai ; que si on est sur terre, c'est seulement par égoïsme de nos parents, rien de plus. A un moment ils crèvent ou on se casse et on est plantés comme des cons. Et comme on ne sert plus à assouvir l'égoisme de nos parents, alors on a envie d'exercer le sien et on fait des gosses. Quelle perspective réjouissante...
je pense pas que le cadre que je vais offrir à mon enfant est si terrible que ça... bien sur que le monde dans lequel on vit est loin d'être parfait. Mais dans ce monde imparfait, on a la chance de manger à notre faim, d'être bien entourés etc etc... on fait partie des grands privilégiés.
mais même dans un monde utopique où tout serait parfait, les parents ne pourraient pas offrir avec certitudes de belles perspectives d'avenir à leur progéniture. Tout peut changer tellement vite...
sinon je suis pas vraiment d'accord avec l'égoïsme de procréer ... je vois ce que tu veux dire Spleen, mais je trouve le terme un peu réducteur. Ok quand on fait un enfant, on ne lui demande pas son avis (par la force des choses ), mais faire un enfant c'est une chance qu'on donne à un être d'exister. A partir du moment où le bébé nait, je dirais même que c'est tout le contraire de l'égoïsme : les parents font passer leur propre personne au second plan et ils donnent tout ce qui leur est possible de donner à leur enfant.
Après on peut aussi disserter sur le bonheur : bien sur qu'on peut pas promettre un avenir parfait à son enfant mais comme le dit papa Samurai, on lui apporte le bonheur par petites touches. Des calins, des jeux etc quand il est petit et d'autres choses par la suite. Quand je vois mon bébé sourire quand je lui fais des bisous sur les pieds, j'ai pas l'impression qu'il regrette d'être là
En ce qui concerne l'accouchement, ça ne m'a jamais fait peur. Par contre j'ai été très déçue d'avoir 2 césariennes, mais le principal c'est que tout s'est bien passé et que tout le monde va bien. Sinon, j'ai eu le même avis que Spleen pendant environ 28 ans. Je m'imaginais donc vivre sans enfant. Mais comme le dit idem, l'envie m'est venue d'un coup et je ne pensais plus du tout pareil: de toutes façons, je ne pensais plus qu'à une chose, celle d'avoir un enfant (et immédiatement si possible!!!). Bref, la chanson "Pour y voir" résume bien mon état d'esprit.
apres je ferai en sorte de lui donner les bonnes bases pour qu'ils s'en sortent et soit heureux.
Et c'est quoi, "les bonnes bases pour qu'il soit heureux" ? C'est facile de rendre un bébé heureux. On lui fourgue son biberon dans la bouche, on lui fait des chatouilles pour le faire rire, on lui fait des petits bisous, et c'est heureux, un bébé. Mais une fois qu'il sera ado, et encore plus adulte, tu crois que c'est toujours lié à une simple histoire de "bonnes bases durant son enfance" ? Avoir tout ce qu'il faut entre les mains pour réussir et défaillir d'un coup d'un seul, c'est tellement courant... Un bébé a seulement besoin de l'amour des parents pour être heureux. Et plus tard ?
je suis pas vraiment d'accord avec l'égoïsme de procréer [...] faire un enfant c'est une chance qu'on donne à un être d'exister.
A partir du moment où le bébé nait, je dirais même que c'est tout le contraire de l'égoïsme : les parents font passer leur propre personne au second plan et ils donnent tout ce qui leur est possible de donner à leur enfant.
J'ai une vision assez nihiliste de la vie (ce qui ne veut pas dire que je suis dépressive ni rien hein \o/) donc j'ai dû mal à concevoir l'existence comme "une chance". Je vois pas en quoi c'est une chance de naître, de vivre des trucs cools, des trucs moins cools, de faire des gosses, de crever, de n'être plus rien, et de laisser après son gosse vivre des trucs cools, des trucs moins cools, de lui laisser faire des enfants, de crever, et de recommencer comme ça jusqu'à ce que la planète Terre explose. Je comprends également où tu veux en venir mais je persiste et je signe ; on ne fait pas un gosse pour les autres, ni parce que dans sa générosité infinie on veut donner la chance à un petit être de vivre. Si tu veux faire un gosse, c'est pour te donner l'impression que tu as une raison de vivre, que tu as réussi quelque chose, pour combler TA vie, et comme l'a dit justement Damien, "pour que tu me fasses croire que tout ça n'est pas vain" (d'ailleurs, tout est dans le "croire"
). Même si on doit faire des concessions, des sacrifices, même si on souffre avec son enfant quand il doit traverser des choses difficiles (maladies par exemple), même s'il faut cesser son égoïsme pour éduquer correctement, même si... Et puis je ne crois tout simplement pas trop à la famille. Quand je me vois, quand je vois les autres, je me dis que c'est un gros bordel prévisible à mille kilomètres et je me demande si tout ça vaut vraiment le coup. En tant que parents, sûrement. C'est fascinant, ce petit être qui sort de ton corps et qui évolue sous tes yeux, ouais, c'est sûr. Mais après...
(Je tiens un discours un peu noir, mais je vous assure que je vais bien \o/)
Faire un gosse n'est pas une etape pour justifier ta raison de vivre.
Voilà, c'est la seule certitude que j'aie pour le moment.
L'argumentaire m'intéresse donc.
EDIT : Ouais bon j'ai relu mon message précédent on dirait vraiment une ado dépressive. Je m'exprime hyper mal et je ne sais même pas ce que je pense exactement au fond. Tout ça reste au stade "réflexions diverses et inutiles", ne prenez jamais ce que je dis à la lettre x)