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"Si t'es pas d'accord avec nous, alors va t'en et va parler ailleurs, mais tais-toi ici, dictateur!", qu'ils disent sans même ciller...
C'est cool de déformer les propos des gens. :)
Tu sais très bien ce que voulais dire mes/nos messages...
C'est mon dernier message sur ce HS .
Ok, donc, ca m'a beaucoup fait rire pendant au moins 2 minutes, mais on va p'tre pas y passer la nuit.
Donc merci de :
1) revenir sur le sujet initial (le nouvel album, pour ceux qui seraient perdus) ;
2) d'utiliser un ton un peu plus cordial / un peu moins agressif pour la suite.
Ah non mais là, je rigole grave !
Quand j'ai commencé à lire tes posts @Boo², j'ai vite saisi que tu parlais de moi. C'était donc pas vraiment nécessaire le : " je citerai pas de nom "...
" Album de recyclage ", " des chansons sur les mauvais albums " etc...
Bon je vais pas retaper tous ce que j'avais mis sur ce sujet, mais en effet j'ai donné mon avis sur l'album " Miami " que j'ai, par ailleurs, bien rangé avec le reste de la discographie EXTRAORDINAIRE DU DIEU SAEZ ! ( parce que oui ton petit protégé est un Dieu, ça va de soi )
Rassures-toi, j'en ai dit des bêtises. Mais à aucun moment j'ai eu la prétention de dire que ma pensée était universelle.
En plus, cela ne m'empêche pas d'écouter cet album de temps en temps.
Après excuse-moi t'es bien gentil, mais si j'ai envie de dire que je le trouve décevant cet opus, que je trouve que les textes manquent cruellement de subtilités ( bien que ça soit volontaire de la part de Damien ) et bien déjà ça n'engage que moi et de plus, il y en a beaucoup qui partage le même avis que toi. Donc tu vois, tout va bien.
Parait-il qu'on appelle ça la subjectivité, enfin je crois...
Quant au recyclage, pour moi c'est pas péjoratif déjà et puis c'est juste une supposition de ma part.
Voilà pour faire court.
T'as le droit de trouver que " Miami " est un chef-d'oeuvre mais t'as aussi le droit de te taire quand on ne partage pas ton avis. ;)
Cordialement
De toute façon, pour l'instant, on n'a aucune nouvelle information concernant un album pour 2015. Je ne vois pas comment on pourrait en savoir plus sans le lui demander directement ^^'
(je suis nase pour les transitions, désolé :x )
EDIT je tente de contacter cinq7, j'espère qu'ils répondront ... je suis peut-être trop optimiste =/
[quote]Quand j'ai commencé à lire tes posts Boo² , j'ai vite saisi que tu parlais de moi. C'était donc pas vraiment nécessaire le : " je citerai pas de nom "...[/quote]
Suffisance powaa ! Te place pas en épicentre comme ça poulet, t'es loin d'être le/la seule à dire que Miami est un album "de chanson récupérée et compilée", et c'est tout ce que je vous reproche, à toi et aux autres (car il y a bien plus d'un message qui dit ceci, que ce soit ici ou sur YT) : de dire d'un album "film" et très bien construit (que tu apprecies et juge comme tu le veux) qu'il n'est que recyclage, là où tout prend un sens assez complet, assez linéaire. C'est au mieux, de la bêtise, au pire, de l'irrespect. Après bien sûr tout un chacun reste libre de faire et dire ce qu'il veut... tout comme moi d'y répondre.
[quote]Après excuse-moi t'es bien gentil, mais si j'ai envie de dire que je le trouve décevant cet opus, que je trouve que les textes manquent cruellement de subtilités ( bien que ça soit volontaire de la part de Damien ) et bien déjà ça n'engage que moi et de plus, il y en a beaucoup qui partage le même avis que toi. Donc tu vois, tout va bien.
Parait-il qu'on appelle ça la subjectivité, enfin je crois...
Quant au recyclage, pour moi c'est pas péjoratif déjà et puis c'est juste une supposition de ma part.[/quote]
Que t'aimes pas le fond (dealer de meuca qu glisse et qui traverse une époque noire qu'il domine d'abord et qui se fait bouffer ensuite), que t'en penses quelque chose, soit. Mais si l'artiste te dit "j'ai concu cet album comme ça, sur ce plan là, et la trame en est la suivante", essaye de pas le contredire, hein : je pense qu'il sait de quoi il parle. Check ensuite les itw sur Miami (chewing-gum ?), et revient me dire que c'est un album recyclage. T'es plus dans l'avis, t'es dans le déni. Point barre.
Et c'est pour ça aussi que j'veux pas citer de gens, parce qu'on en arrive sur du "pour moi le recyclage c'est pas péjoratif", là où l'ensemble des propos tenaient un fond tout autre à la base. Perso j'retrouve plus l'interview mais Saez a dit que Miami était à ses yeux un des albums les plus cohérents qu'il ait fait.
J'vais pas aller quote et noter tous les pseudos (entre les fils des live et ce fil là, déjà y'a du boulot) des mecs qui soutiennent la même chose que toi : que Miami est un recyclage. Que ce soit toi ou Jean-Eudes, que vous soyez un ou soixante à soutenir la même chose, ça ne change rien à ma réaction, ni à la portée, hein. Lâche ton égo, que je vous cite ou non ici t'es que des mots.
Bon j'ai tout synthétisé, j'pense pas qu'on puisse aller plus loin dans le floutage du bon-sens : il est pas question de vos gouts, quand vous parlez "d'album recyclage" et de "foutage de gueule".
PS : je voue pas un culte à Saez, hein, je sais pas pourquoi tu pars en walk comme aç. C'est rassurant d'infantiliser les propos de son interlocuteur et de l'imaginer en groupie pour avoir à moins cerner le fond de son propos ? Au contraire, pour tout te dire : l'homme (l'ours, que vous l'appelez...) me rebute au plus haut point, l'artiste m'exaspère souvent, et Miami est un des rares albums (avec Debbie) qui soit perfect à mes yeux. Cya.
Quand j'ai commencé à lire tes posts Boo² , j'ai vite saisi que tu parlais de moi. C'était donc pas vraiment nécessaire le : " je citerai pas de nom "...
Suffisance powaa ! Te place pas en épicentre comme ça poulet, t'es loin d'être le/la seule à dire que Miami est un album "de chanson récupérée et compilée", et c'est tout ce que je vous reproche, à toi et aux autres (car il y a bien plus d'un message qui dit ceci, que ce soit ici ou sur YT) : de dire d'un album "film" et très bien construit (que tu apprecies et juge comme tu le veux) qu'il n'est que recyclage, là où tout prend un sens assez complet, assez linéaire. C'est au mieux, de la bêtise, au pire, de l'irrespect. Après bien sûr tout un chacun reste libre de faire et dire ce qu'il veut... tout comme moi d'y répondre.
Après excuse-moi t'es bien gentil, mais si j'ai envie de dire que je le trouve décevant cet opus, que je trouve que les textes manquent cruellement de subtilités ( bien que ça soit volontaire de la part de Damien ) et bien déjà ça n'engage que moi et de plus, il y en a beaucoup qui partage le même avis que toi. Donc tu vois, tout va bien.
Parait-il qu'on appelle ça la subjectivité, enfin je crois...
Quant au recyclage, pour moi c'est pas péjoratif déjà et puis c'est juste une supposition de ma part.
Que t'aimes pas le fond (dealer de meuca qu glisse et qui traverse une époque noire qu'il domine d'abord et qui se fait bouffer ensuite), que t'en penses quelque chose, soit. Mais si l'artiste te dit "j'ai concu cet album comme ça, sur ce plan là, et la trame en est la suivante", essaye de pas le contredire, hein : je pense qu'il sait de quoi il parle. Check ensuite les itw sur Miami (chewing-gum ?), et revient me dire que c'est un album recyclage. T'es plus dans l'avis, t'es dans le déni. Point barre.
Et c'est pour ça aussi que j'veux pas citer de gens, parce qu'on en arrive sur du "pour moi le recyclage c'est pas péjoratif", là où l'ensemble des propos tenaient un fond tout autre à la base. Perso j'retrouve plus l'interview mais Saez a dit que Miami était à ses yeux un des albums les plus cohérents qu'il ait fait.
J'vais pas aller quote et noter tous les pseudos (entre les fils des live et ce fil là, déjà y'a du boulot) des mecs qui soutiennent la même chose que toi : que Miami est un recyclage. Que ce soit toi ou Jean-Eudes, que vous soyez un ou soixante à soutenir la même chose, ça ne change rien à ma réaction, ni à la portée, hein. Lâche ton égo, que je vous cite ou non ici t'es que des mots.
Bon j'ai tout synthétisé, j'pense pas qu'on puisse aller plus loin dans le floutage du bon-sens : il est pas question de vos gouts, quand vous parlez "d'album recyclage" et de "foutage de gueule".
PS : je voue pas un culte à Saez, hein, je sais pas pourquoi tu pars en walk comme aç. C'est rassurant d'infantiliser les propos de son interlocuteur et de l'imaginer en groupie pour avoir à moins cerner le fond de son propos ? Au contraire, pour tout te dire : l'homme (l'ours, que vous l'appelez...) me rebute au plus haut point, l'artiste m'exaspère souvent, et Miami est un des rares albums (avec Debbie) qui soit perfect à mes yeux. Cya.
C'est dingue quand même sur n'importe quel forum tu tombes toujours sur des personnes qui se sur-quote et se tire dans les pattes...
[quote="Boo²"]les petits analystes de jukebox de comptoir[/quote]PRÉSEEENNTTT!!!
les petits analystes de jukebox de comptoirPRÉSEEENNTTT!!!
POUI POUI
Ca me rend nostalgique ce troll :( mais évidemment que Miami envoie du pâté!
Édit: j'ai kiffé la comparaison avec la palette de couleurs de Picasso ;)
@Boo²
C'est toi qui fait une erreur dès le départ, c'est toi qui minimise l'oeuvre Messina, et rien que ça fait toute la différence.
On peut s'amuser à dire que Miami est une phase B de "J'accuse" histoire de refourguer quelques titres pas trop mal et repartir en tournée, ça reste un avis comme un autre.
Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.
Le triple album est tellement puissant, qu'il rend dispensable tout le reste de l'oeuvre de Saez. Faut s'imaginer un chanteur inconnu qui sort un tel opus, c'est la nouvelle star de la chanson française reléguant le reste dans les égouts. C'est Saez donc ça reste confidentiel, c'est frustrant.
Ecouter 5 fois de suite Rochechouart tient de l'exploit, alors que Les Magnifiques demande bien plus rien que pour comprendre le texte.
Bref, je voulais te répondre, parce que je suis souvent déçu de voir à quel point Messina est dévalué même auprès de ses fans les plus durs.
Histoire de mettre tout le monde d'accord...
[i]Marie[/i] sur Messina... si ça c'est pas du recyclage... enfin je dis ça... moi j'en prends tous les 4 matins du recyclage comme ça s'il faut hein !
[small]Et voila que je deviens hautain[/small]
[quote="viper82"]Et voila que je deviens hautain[/quote]
Bouarf, "deviens" c'est vite dit, t'as déjà des accents hautains par moments :D
Et voila que je deviens hautain
Bouarf, "deviens" c'est vite dit, t'as déjà des accents hautains par moments
[quote="viper82"]Histoire de mettre tout le monde d'accord...
[i]Marie[/i] sur Messina... si ça c'est pas du recyclage... enfin je dis ça... moi j'en prends tous les 4 matins du recyclage comme ça s'il faut hein !
[small]Et voila que je deviens hautain[/small][/quote]
Excellent :)
Après, je suis pas d'accord, Marie est juste sublimée pour rentrer dans le moule du triple album, on a jamais une version avec cette qualité en live, on serait donc resté avec une vidéo bas de gamme sur youtube tout compressée.
Histoire de mettre tout le monde d'accord...
Marie sur Messina... si ça c'est pas du recyclage... enfin je dis ça... moi j'en prends tous les 4 matins du recyclage comme ça s'il faut hein !
Et voila que je deviens hautain
Excellent
Après, je suis pas d'accord, Marie est juste sublimée pour rentrer dans le moule du triple album, on a jamais une version avec cette qualité en live, on serait donc resté avec une vidéo bas de gamme sur youtube tout compressée.
En fait quand on vous dis qu'ici c'est le sujet sur l'hypothétique futur album et pas sur Miami vous en avez rien à foutre c'est ça?
Voilà pour vous: http://www.saezlive.net/topics/view/3830/miami-vos-avis-sur-l-album?page=17#182983
[quote="Julien.R"]@Boo²
C'est toi qui fait une erreur dès le départ, c'est toi qui minimise l'oeuvre Messina, et rien que ça fait toute la différence.
On peut s'amuser à dire que Miami est une phase B de "J'accuse" histoire de refourguer quelques titres pas trop mal et repartir en tournée, ça reste un avis comme un autre.
Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.
Le triple album est tellement puissant, qu'il rend dispensable tout le reste de l'oeuvre de Saez. Faut s'imaginer un chanteur inconnu qui sort un tel opus, c'est la nouvelle star de la chanson française reléguant le reste dans les égouts. C'est Saez donc ça reste confidentiel, c'est frustrant.
Ecouter 5 fois de suite Rochechouart tient de l'exploit, alors que Les Magnifiques demande bien plus rien que pour comprendre le texte.
Bref, je voulais te répondre, parce que je suis souvent déçu de voir à quel point Messina est dévalué même auprès de ses fans les plus durs.[/quote]
Chuuuuuut ! Ne réveille pas la bête...
Debbie/Messina = les deux chef-d’œuvres de Saez. ( J'accuse, vlp, GB/Katagena restent du lourd également )
Boo²
C'est toi qui fait une erreur dès le départ, c'est toi qui minimise l'oeuvre Messina, et rien que ça fait toute la différence.
On peut s'amuser à dire que Miami est une phase B de "J'accuse" histoire de refourguer quelques titres pas trop mal et repartir en tournée, ça reste un avis comme un autre.
Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.
Le triple album est tellement puissant, qu'il rend dispensable tout le reste de l'oeuvre de Saez. Faut s'imaginer un chanteur inconnu qui sort un tel opus, c'est la nouvelle star de la chanson française reléguant le reste dans les égouts. C'est Saez donc ça reste confidentiel, c'est frustrant.
Ecouter 5 fois de suite Rochechouart tient de l'exploit, alors que Les Magnifiques demande bien plus rien que pour comprendre le texte.
Bref, je voulais te répondre, parce que je suis souvent déçu de voir à quel point Messina est dévalué même auprès de ses fans les plus durs.
Chuuuuuut ! Ne réveille pas la bête...
Debbie/Messina = les deux chef-d’œuvres de Saez. ( J'accuse, vlp, GB/Katagena restent du lourd également )
@Bisounour
Moi c'est uniquement pour espérer qu'il lise le forum et qu'il se dise "putain je vais faire mieux que Messina", j'ose imaginer un album électro.
Souvent quand on part pour faire "mieux que" on se vautre, le meilleur moyen de faire bien étant de faire différent..
[quote=Julien.R ]Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.[/quote]
C'est là que tu vois que Saez a raison et qu'on ne sait plus lire à notre époque. J'suis pas du genre à taper dans le manichéisme froid comme toi et je dissocie Messina de Miami. Messina est un album gigantesque, mais qui n'a pas la même trame et la même essence que Miami, qu'il est irrespectueux et faussé, selon les itw de l'artiste, de qualifier "d'album recyclage" et de nier le film et la fresque sociale qu'il représente.
C'est en ça qu'il s'éloigne (et supplante ?) de J'accuse, et qu'on ne peut PAS le qualifier comme certains ici le font : Le personnage (dealer, puissant qui finit bouffé et en blues) est palpable, l'environnement est bien dépeint (miami, les filles, les cadillac, les rapports à l'argent et au sexe) : il est plus cohérent (pas de tricycle jaune wtf).
On se contredit pas, mec, je vois pas pourquoi tu me dis ça : j'ai toujours dit que Messina était gigantesque, mais ça n'en laisse pas moins Miami à défendre devant vos verves imprécises.
Tout le génie de Miami est dans les correspondances entre les textes, et dans sa trame. Bref, parle leur de fond, ils te parlent de leurs gouts.
Il est par contre très vrai que Messina a les arrangements et le travail orchestral le plus poussé depuis God Bless, ok. Je ne vois cependant pas en quoi ce triptique gigantesque doit occulter les thèses rares, urbaines et violentes (donc très intéressantes) de Miami.
Messina est de loin l'album de Saez le plus passe partout (un des rares que des "non saeziens" écoutent sans souci, et si je ne m'abuse, celui qui a reçu le meilleur accueil critique, sinon) et celui qui reprend le plus les bases et coutumes de la chanson francaise brelienne et barbarienne. Bref, pas de gros risques et de grandes avancées, mais un grand talent. Miami, y'a une paire de couille posée sur la table (et une grande bite en couverture ^^). Là tu défends un couronné.
Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.
C'est là que tu vois que Saez a raison et qu'on ne sait plus lire à notre époque. J'suis pas du genre à taper dans le manichéisme froid comme toi et je dissocie Messina de Miami. Messina est un album gigantesque, mais qui n'a pas la même trame et la même essence que Miami, qu'il est irrespectueux et faussé, selon les itw de l'artiste, de qualifier "d'album recyclage" et de nier le film et la fresque sociale qu'il représente.
C'est en ça qu'il s'éloigne (et supplante ?) de J'accuse, et qu'on ne peut PAS le qualifier comme certains ici le font : Le personnage (dealer, puissant qui finit bouffé et en blues) est palpable, l'environnement est bien dépeint (miami, les filles, les cadillac, les rapports à l'argent et au sexe) : il est plus cohérent (pas de tricycle jaune wtf).
On se contredit pas, mec, je vois pas pourquoi tu me dis ça : j'ai toujours dit que Messina était gigantesque, mais ça n'en laisse pas moins Miami à défendre devant vos verves imprécises.
Tout le génie de Miami est dans les correspondances entre les textes, et dans sa trame. Bref, parle leur de fond, ils te parlent de leurs gouts.
Il est par contre très vrai que Messina a les arrangements et le travail orchestral le plus poussé depuis God Bless, ok. Je ne vois cependant pas en quoi ce triptique gigantesque doit occulter les thèses rares, urbaines et violentes (donc très intéressantes) de Miami.
Messina est de loin l'album de Saez le plus passe partout (un des rares que des "non saeziens" écoutent sans souci, et si je ne m'abuse, celui qui a reçu le meilleur accueil critique, sinon) et celui qui reprend le plus les bases et coutumes de la chanson francaise brelienne et barbarienne. Bref, pas de gros risques et de grandes avancées, mais un grand talent. Miami, y'a une paire de couille posée sur la table (et une grande bite en couverture ). Là tu défends un couronné.
[quote="Boo²"][quote=Julien.R ]Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.[/quote]
C'est là que tu vois que Saez a raison et qu'on ne sait plus lire à notre époque. J'suis pas du genre à taper dans le manichéisme froid comme toi et je dissocie Messina de Miami. Messina est un album gigantesque, mais qui n'a pas la même trame et la même essence que Miami, qu'il est irrespectueux et faussé, selon les itw de l'artiste, de qualifier "d'album recyclage" et de nier le film et la fresque sociale qu'il représente.
C'est en ça qu'il s'éloigne (et supplante ?) de J'accuse, et qu'on ne peut PAS le qualifier comme certains ici le font : Le personnage (dealer, puissant qui finit bouffé et en blues) est palpable, l'environnement est bien dépeint (miami, les filles, les cadillac, les rapports à l'argent et au sexe) : il est plus cohérent (pas de tricycle jaune wtf).
On se contredit pas, mec, je vois pas pourquoi tu me dis ça : j'ai toujours dit que Messina était gigantesque, mais ça n'en laisse pas moins Miami à défendre devant vos verves imprécises.
Tout le génie de Miami est dans les correspondances entre les textes, et dans sa trame. Bref, parle leur de fond, ils te parlent de leurs gouts.
Il est par contre très vrai que Messina a les arrangements et le travail orchestral le plus poussé depuis God Bless, ok. Je ne vois cependant pas en quoi ce triptique gigantesque doit occulter les thèses rares, urbaines et violentes (donc très intéressantes) de Miami.
Messina est de loin l'album de Saez le plus passe partout (un des rares que des "non saeziens" écoutent sans souci, et si je ne m'abuse, celui qui a reçu le meilleur accueil critique, sinon) et celui qui reprend le plus les bases et coutumes de la chanson francaise brelienne et barbarienne. Bref, pas de gros risques et de grandes avancées, mais un grand talent. Miami, y'a une paire de couille posée sur la table (et une grande bite en couverture ^^). Là tu défends un couronné.[/quote]en mêmes temps, et ce même si je partage assez ton avis, tu peux pas nier que "les gens" parlaient de leurs gouts depuis le début, bien avant tes interventions narcisso-masturbatoires, et qu'ils en ont le droit.
Et je te le dis entre nous, garde le pour toi, c'est un scoop, ils ont même le droit d'avoir tort, ca n'en fait pas des sous-hommes ;)
Mais Miami roxx c'est certain!
PS: dans la fresque sociale que représente visiblement Miami, j'ai juste du mal avec la place de Pour Y Voir au début, qui me fait un peu l'effet du Tricycle Jaune wtf de J'Accuse (en moins naze quand même).
(j'avais rep en mp suite à la suppression des posts comme c'est réapparu ici bah je rep ici)
en mêmes temps, et ce même si je partage assez ton avis, tu peux pas nier que "les gens" parlaient de leurs gouts depuis le début, bien avant tes interventions narcisso-masturbatoires, et qu'ils en ont le droit.Le recul dans 10 ans, c'est pas sur Miami, mais sur Messina qu'il faudra l'avoir. Il sera d'ailleurs très dur à Damien Saez de proposer mieux ou l'équivalent tant on sent qu'il a tout mis dedans, il a réussi à orchestrer ses textes comme il avait choisi de ne pas le faire dans PAV, et surtout, l'impression que tout est fait en mieux et plus profond.
C'est là que tu vois que Saez a raison et qu'on ne sait plus lire à notre époque. J'suis pas du genre à taper dans le manichéisme froid comme toi et je dissocie Messina de Miami. Messina est un album gigantesque, mais qui n'a pas la même trame et la même essence que Miami, qu'il est irrespectueux et faussé, selon les itw de l'artiste, de qualifier "d'album recyclage" et de nier le film et la fresque sociale qu'il représente.
C'est en ça qu'il s'éloigne (et supplante ?) de J'accuse, et qu'on ne peut PAS le qualifier comme certains ici le font : Le personnage (dealer, puissant qui finit bouffé et en blues) est palpable, l'environnement est bien dépeint (miami, les filles, les cadillac, les rapports à l'argent et au sexe) : il est plus cohérent (pas de tricycle jaune wtf).
On se contredit pas, mec, je vois pas pourquoi tu me dis ça : j'ai toujours dit que Messina était gigantesque, mais ça n'en laisse pas moins Miami à défendre devant vos verves imprécises.
Tout le génie de Miami est dans les correspondances entre les textes, et dans sa trame. Bref, parle leur de fond, ils te parlent de leurs gouts.
Il est par contre très vrai que Messina a les arrangements et le travail orchestral le plus poussé depuis God Bless, ok. Je ne vois cependant pas en quoi ce triptique gigantesque doit occulter les thèses rares, urbaines et violentes (donc très intéressantes) de Miami.
Messina est de loin l'album de Saez le plus passe partout (un des rares que des "non saeziens" écoutent sans souci, et si je ne m'abuse, celui qui a reçu le meilleur accueil critique, sinon) et celui qui reprend le plus les bases et coutumes de la chanson francaise brelienne et barbarienne. Bref, pas de gros risques et de grandes avancées, mais un grand talent. Miami, y'a une paire de couille posée sur la table (et une grande bite en couverture ). Là tu défends un couronné.
Et je te le dis entre nous, garde le pour toi, c'est un scoop, ils ont même le droit d'avoir tort, ca n'en fait pas des sous-hommes
Mais Miami roxx c'est certain!
PS: dans la fresque sociale que représente visiblement Miami, j'ai juste du mal avec la place de Pour Y Voir au début, qui me fait un peu l'effet du Tricycle Jaune wtf de J'Accuse (en moins naze quand même).
(j'avais rep en mp suite à la suppression des posts comme c'est réapparu ici bah je rep ici)
C'est évident que la trame de Miami est superbe.
Le "pour y voir" ne me dérange pas, c'est une chanson introductrice qui montre notre personnage tourmenté.
Mais un album se note surtout sur la qualité musicale pour moi, et je n'aime pas trop les textes et musiques de Miami (tout comme j'accuse).
Il y a quand même de très bonnes chansons dans cet album (Rot', Le roi)
putain la musique de Cadillac par exemple ca envoie trop du paté en croute (avec des petits cornichons).
Pour Y Voir ne me dérange pas non plus, mais c'est moins cohérent dans la "trame" décrite justement par @Boo²
ou alors fallait la mettre avec les regrets de Pour Y Voir, après No More..
Moi j'adore "Le Roi" parce que c'est ma chanson d'avec @parek en concert ^^ (c'est pas bon les cornichons)
Pour y voir joue parfaitement son rôle dans Miami. Elle commence en acoustique, pour embrayer sur un son lourd qu'on retrouvera en grande partie dans la suite de l'album.
Je ne sais pas si il aurait fallu la mettre avec les regrets, il ne faut pas oublier qu'à la fin le personnage dit "oui merci".
Je pense surtout que Pour y Voir montre clairement le chemin moral parcouru par le personnage : son rapport à la paternité, au futur et au climat social, et son espèce de bipolarité "non merci" "oui merci" ; qui finissent par l'amener à être un "infidèle" (et à devenir ultra braqué et ultra provoc), pour ensuite se perdre dans rochechouard et finir par grimper le seul ascenseur social qui reste à travers Miami : le deal, l'illégal et la facilité qui prendront apogée dans le roi, leur limites dans "des drogues", leur grosbillisme et le "too much" dans "cadillac", et qu'on paiera dans "no more" pour conclure cette immersion dans les rues grises, pathétique et nostalgique, dans "Que sont-elles devenues" ? (et son allusion, encore, à la paternité, sous un autre angle)
Fin je le vois comme ça mais j'ai du mal à mettre des mots dessus : MIami est un glissement, une chute.
Okay, j'ai arrêté d'être agressif, désolé c'est un peu mon essence, aussi. Pardon pour les violentés, j'me fais suivre, promis.
Justement, la trame que tu mets en avant n'est-elle pas la seule chose de positive à extraire de cet album ?
On ne juge pas un album sur les textes et l'idée moteur mais sur le contenu musical, et force est de reconnaître que Miami est en dessous musicalement et on entend des phases B sur chaque titre ou presque, des sons réutilisés, des accords des rythmiques saeziennes. Une idée de génie ne fait pas un chef d'oeuvre.
De plus, y a un élément contradictoire, Messina serait le plus facile à faire écouter, pourtant Miami est un titre commercial à souhait qui a d'ailleurs très bien marché sur Youtube, aucun titre de messina ne dépasse le million.
Perso, si je prends Miami, J'accuse et La fin des mondes, J'veux du nucléaire, pas difficile de les classer musicalement, niveau impact et niveau texte.
Miami n'est pas un album raté, tous les grands artistes sortent des albums en demi-teinte ou juste pour faire plaisir à leurs fans, Miami entre dans cette catégorie, si tu y trouves quelque chose en plus, le pari est réussi.
je ne crois pas que le seul argument "Miami est en dessous musicalement et on entend des phases B sur chaque titre ou presque, des sons réutilisés, des accords des rythmiques saeziennes" (alors que l'ensemble de l'oeuvre de Saez est basé sur une série d'accords limitée) soit suffisant pour qualifier Miami d'album en demi teinte.
Que vous soyez déçu par rapport à vos attentes, et c'est la dessus qu'il faut insister, PAR RAPPORT A VOS ATTENTES POST MESSINA, c'est votre droit (le plus strict comme dirait @Suzie) mais je maintiens que ces assertions catégoriques sur le niveau de Miami, technique ou artistique, ne sont pas légitimes.