Merci Melie
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Je ne trouve pas l'url pour le mettre en mp3.

Voila pour le MP3 : http://www.saezlive.net/media/view/266/2-decembre-2012-le-blog-de-start-up

Dommage on y apprend pas grand chose de plus que sur les autres interview récentes (France inter et Télérama) Mis a part le fait qu'il est beaucoup beaucoup plus sûr de lui quand il parle, il n'y à plus la fragilité que l'on avait sur France inter.

Saez Lauréat d'un prix de l'Académie Charle Cros :

http://www.charlescros.org/pdf/palmares2012.pdf

Saez Lauréat d'un prix de l'Académie Charle Cros :

http://www.charlescros.org/pdf/palmares2012.pdf

Pour revenir à l'ITW de " start up " qui sera dispo le 10 décembre, on y apprend des choses intéressantes sur le diaporama audio, à savoir que Damien a kiffé la mano negra, bon ok rien d'étonnant quand on sait qu'il adore les clashs mais c'est pas souvent qu'il énumére les groupes qu'il aime et qu'ils l'ont inspiré...
D'habitude c'est touujours " j'ai été bercé avec barbara, brel, ferré, brassens etc..."

Damien se dévoile de plus en plus je trouve. Ca fait bizarre, mais c'est intéressant.

Qui a déjà entendu Debbie ne peux pas douter d'une certaine influence Mano Negraesque quand même ! Moi ce que j'attend c'est le "oui, bon ok, Noir Dez c'est de la bombe".

Qui a déjà entendu Debbie ne peux pas douter d'une certaine influence Mano Negraesque quand même ! Moi ce que j'attend c'est le "oui, bon ok, Noir Dez c'est de la bombe".

il insiste de plus en plus sur le fait que petit il avait des souci psychologique également. C'est intéressant mais j'ai l'impression de rentré dans son intimité et c'est un poil gênant.

@lebossducine : au moment de la sortie de Debbie où tout le monde lui disait que ça ressemblait à du Noir Des', Damien disait que c'était clairement un hommage à la Mano Negra.

@Mug : peut-être on en apprendra un peu plus dans la suite de l'interview dans Starter...

@Mug : Dépressif, parfois suicidaire, mégalomane, alcoolique, fumant comme un pompier, exhibitionniste mais tremblant comme une feuille en interview, légère tendance à être mono-maniaque , égocentrique, autoritaire, impulsif...

Saez n'a jamais était l'exemple parfait d'un esprit sain dans un corps sain.

Apparemment, un article figurera demain dans l'Express.

http://static.lexpress.fr/assets/487/sommaire_249425.pdf

C'est bien, mais après avoir longtemps passé pour un chanteur pour "ados attardés", il va faire le grand écart et passer pour un chanteur "intello".
(mais Miami devrait recadrer cela ?)

Un article dans un magazine musical (il y en a encore?), ce serait bien aussi.

Article du magazine Causette :
http://pix.toile-libre.org/?img=1354658321.jpg
http://pix.toile-libre.org/?img=1354658497.jpg

J'ai l'impression de relire le même article à chaque fois.

Il vend beaucoup.
Il fait pas de promo (mais quand même un peu)
Il s'en fout de l'argent (mais pas tout à fait)
Il a des parents (non ? si!)
Il est pas connu (mais tout le monde le connait)

Et sinon, l'album ? 27 titres c'est pas suffisant pour avoir un truc à dire ??

J'aime beaucoup cet article ! On y apprends rien de spécial, il n'y a pas de critique pure de l'album, quelques phrases de Saez ça-et-là, qui forme un joli tout. Un de mes articles préférés depuis la sortie de l'album, on sent surtout un grand respect pour l'artiste.

J'ai l'impression de relire le même article à chaque fois.

Il vend beaucoup.
Il fait pas de promo (mais quand même un peu)
Il s'en fout de l'argent (mais pas tout à fait)
Il a des parents (non ? si!)
Il est pas connu (mais tout le monde le connait)

Et sinon, l'album ? 27 titres c'est pas suffisant pour avoir un truc à dire ??

Oui enfin là, je n'aurais pas écouté l'album, ou je ne connaîtrait pas l'artiste, il n'y a rien qui pourrait ne serait-ce que me donner envie d'aller écouter un ou deux titres. Il y a à peine une description de l'album. Je ne demande pas une exégèse, juste de quoi ça s'agit, dans quel style, une petite impression globale, pourquoi c'est diffèrent du reste. Saez, quand même, il y a matière à donner envie, merde !

http://zikcard.com/actu/article/saez-carene

Il y avait un article dans l'Est Républicain, mais pour le voir il faut être abonné : http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2012/10/29/saez

Oui enfin là, je n'aurais pas écouté l'album, ou je ne connaîtrait pas l'artiste, il n'y a rien qui pourrait ne serait-ce que me donner envie d'aller écouter un ou deux titres. Il y a à peine une description de l'album. Je ne demande pas une exégèse, juste de quoi ça s'agit, dans quel style, une petite impression globale, pourquoi c'est diffèrent du reste. Saez, quand même, il y a matière à donner envie, merde !

nan mais ils nous appellent les "saezistes" quoi... -__-'

(je sais, ça fait pas du tout avancer le débat )

L'article de l'Express que j'ai tout retapé avec mes petits doigts :

Les clefs de Saez (ça m'a fait rire)

Un rock en colère, entre Brel et Noir Désir, des concerts à guichet fermé, une passion pour les mots, et un nouvel album, Messina. Parcours d'un chanteur atypique.

Inconnu célèbre, Damien Saez, 35 ans, en impose à la chanson. Depuis douze ans il remplit les plus grandes salles en toute discrétion, suivi par une armée de fidèles. D'où vient donc ce chanteur phénomène ?

Du conservatoire de musique.

Sur scène sa guitare prend feu. Pourtant, Damien Saez, l'enfant terrible du rock, a fait ses classes au conservatoire de Dijon. "J'étais un gamin solitaire, confesse t-il, mon seul compagnon c'était le piano. Plus tard je me suis rendu compte que le choix de cet instrument sédentaire avait été une façon de m'opposer à la vie nomade que j'avais vécue petit car on arrêtait pas de déménager." Sa mère est éducatrice spécialisée, son beau-père, réalisateur à France 3.
Des professeurs de français lui donnent le goût du verbe, à 17 ans il dévore les grands auteurs. "A 17 ans je passais des nuits entières à discuter avec mes parents. Saez se définit encore aujourd'hui comme "un fils d'Artaud". Prêt à en découdre. Quand il s'installe à Paris, après des petits boulots en usine, il refuse de signer tête baissée des contrats avec les maisons de disques : "j'avais appris à dire non". Son premier album, Jours Étranges, en 1999 est un électrochoc pour la planète lycéenne, 300 000 fans se rallient autour d'un hymne des années Luc Ferry : Jeune et Con. Saez est lancé.

Du chant des révoltés.

Mais d'abord de la chanson française. "Mes références à Brel, Barbara, Ferré ou Brassens [qu'il connait par coeur] sont explicites. L'écriture poétique parfaite selon moi, c'est arriver à combiner la simplicité des Copains d'abord et le souffle de Supplique pour être enterré sur la plage de Sète." Saez s'inscrit dans la tradition romantique, lyrique, tourmentée, et dans la chanson éditoriale impulsive, crachée. Ainsi, le morceau Fils de France, posté sur internet en réaction au premier tour de la présidentielle de 2002. Ou ce J'accuse, en 2010, coup de gueule façon Zola pour dénoncer la société de consommation. L'affiche - une femme nue dans un chariot - sera censurée. "La chanson engagée a tous les symptômes d'un cadavre. Moi je m'envisage comme celui qui, au sein d'un village, fait chanter et danser. Je viens davantage de ce terreau que de Boboland". Dans son dernier disque, Messina, comme dans les précédents, les soleils noirs de ses amours s'imbriquent dans des airs militants. Et ses odes à la chair sont des manifestes écorchés. " Une oeuvre doit être gueulée, un chanteur exprime son opinion avec sa voix, même si je trouve un peu mégalo de graver son propre cri. "

De l'indépendance.

Signé par Universal à ses débuts, Damien Saez s'en échappe en 2005. "Tout se passait dans la lutte et dans la douleur." Depuis il finance ses disques et coproduit ses spectacles. Ses tournées sillonnent les Zéniths sans aucune promotion. Damien Saez fait ce qu'il lui plait, porté par un public qui le plébiscite quelles que soient ses embardées discographiques et le rythme de son inspiration. Le triple album Messina, - en tête des ventes dès sa sortie en septembre dernier -, sera bientôt suivi d'un autre CD, Miami. "Ma démarche est artisanale, humble et cohérente. De la conception du disque jusqu'au prix auquel il est vendu. Je n'ai pas besoin de parler de moi dans des talks-shows. Ma musique se suffit à elle-même". D'une certaine manière, Damien Saez poursuit avec le public les conversations qu'il avait dans sa chambre, à 17 ans, avec ses parents.

Gilles Médioni.

L'Express.

Merciii d'avoir tout recopié !! Je suis sûr que c'est au boulot que tu l'as fait

"D'une certaine manière, Damien Saez poursuit avec le public les conversations qu'il avait dans sa chambre, à 17 ans, avec ses parents."
C'est exactement comme ça que je le conçois aussi.

Il parle un peu tout seul depuis 13 ans alors...

Il parle un peu tout seul depuis 13 ans alors...

Il parle un peu tout seul depuis 13 ans alors...

nan mais ils nous appellent les "saezistes" quoi... -__-'

(je sais, ça fait pas du tout avancer le débat )

Je vous propose un nouveau point "tendance" qui montrerait l'impact du début de tournée:
http://www.google.fr/trends/explore#q=%22damien%20saez%22&cmpt=q

On retrouve les niveaux d'octobre 2010.

Et pour l'anecdote, c'est l'Office du Tourisme de Chatillon qui va être content http://www.google.fr/trends/explore#q=chatillon%20sur%20seine

Intéressante, la répartition géographique des recherches où Nancy et Reims sont désormais en tête (après Dijon)...

http://www.lexpress.fr/culture/musique/video-rencontre-avec-saez-une-oeuvre-doit-etre-gueulee_1195348.htm

tu voulais plutôt dire : http://www.lexpress.fr/culture/musique/video-rencontre-avec-saez-une-oeuvre-doit-etre-gueulee_1195348.html?xtmc=saez&xtcr=1