Bonjour à tous et à toutes !

Je viens quérir votre aide car j'aimerais écrire un livre. Je viens donc chercher des avis sur le sujet dont j'ai envie d'écrire. Voilà ma maquette :

1- Vice-versa.
Dans la rue, il fait beau et chaud. Parfois, il pleut et il fait froid. Puis des fois, un peu des deux. Certains moments, il arrive même qu’il neige et que le temps soit glacial. Et puis un jour un peu de tout. Notre nature est complexe, pourtant elle arrive à se mélanger, elle. Même si la plupart de ces faits sont physiquement prouvés, elle n’a pas eu besoin d’aide pour réussir à coordonner notre humanité. A organiser chaque espèce vivante. A planifier chaque besoin de la planète, à mettre chaque choses à l’endroit où elles doivent être et tout cela en les rendant utiles. Malheureusement, les Hommes en ont décidés autrement. Oui il le faut, mais ils modifiés des structures en décidant qu’elles soient inutiles. Ils ont ordonnés des modifications de l’essence même de la nature en modifiant des propriétés d’espèce vivantes, comme par exemple en clonant des cellules. Mais la nature a t- elle besoin de cela pour conserver certains animaux ? Evidemment, le clonage n’as pas que cela pour but, mais la nature ne peut-elle pas compter sur la volonté des humains pour la préservation de notre planète et de sa population? La réalité, c’est que non. Non, car l’espèce humaine a d’autre chose en tête. Non car cette espèce là est en train de s’autodétruire en multipliant les conflits pour des ressources naturelles indispensables aujourd’hui. Non parce que, la majorité de l’espèce que je représente n’as plus le temps de se consacrer aux magnificences de la nature, car elle est obnubilée par le fait de s’enrichir. Et s’enrichir par n’importe quels moyens, en ruinant des vies. En tuant parfois. En abimant notre planète.
Trêve d’eternels vérités sur l’écologie, j’en viens au sujet principal de ce chapitre : « Notre nature est complexe, pourtant elle arrive à se mélanger, elle ». Oui, car bien que l’humanité tente de s’enrichir, les humains sont tous différents. Egaux, mais différents. Et a cause de ces différence l’Homme ne se mélange pas à d’autres hommes car il en a peur, il en éprouve du dégoût ou il n’aime tout simplement pas ces différences. Ainsi, je parle du riche envers le pauvre. Je parle de quelques blancs envers quelques noirs. Je parle de la différence de culture. Je parle du civilisé et de sa haine envers le sauvage. Je parle de toutes ces équations humaines qui ne sont, et ne peuvent pas êtres résolues. Voilà qu’en quelque phrase je résume l’humanité d’aujourd’hui.
Maintenant, j’en viens au Vice. Comme le dirait Eisenheim dans l’Illusionniste, « Toutes les plus grandes religions parlent de la survie de l'âme après la fin de la vie. Mais alors, que signifie mourir ? » Mourir ? Mourir c’est mourir. Mourir c’est plusieurs sens, plusieurs croyances. Mais mourir c’est de la peine, c’est du mal. C’est de la douleur pour les proches et les familles. La mort, même voulue, c’est une chose mauvaise. Mais parfois, le malheur de la mort unit les gens dans la chaleur. Dans ce cas, ou sont les chaleurs de nos cœurs d’humains lorsque le journal annonce des morts par centaines ou par milliers dans des attentats ? Ou sont les chaleurs de nos cœurs lorsque le présentateur du journal télévisé, neutre, annonce la disparition d’un père ou d’un fils dans un conflit lointain ? Ou est notre compassion, ou est notre amour ou notre amitié envers ces gens dont la vie s’arête brutalement ? En fait, ou est, encore une fois, notre humanité . . . ?
Finalement, à tout vice il y a un Versa. Heureusement, certains hommes et certaines femmes ont conservés de leur humanité pour ces gens qui meurent chaque jour. Et d’ailleurs, bien heureusement tous les humains ne reste pas insensible a la mort de leurs proches. Certains pleurent. Certains cachent leurs larmes. Certains rejoignent leurs morts. Mais tous, sans exception, éprouvent quelque chose lors de la mort de quelqu’un qui nous est cher. Le peut d’humanité qu’ils leurs restent les trainent là, à la cime des arbres près d’une tombe. Et parfois, ils font même un peu plus car on peut en retrouver certains au même endroit, assis. Dans la rosée du matin, dans la brume des jours tristes, ou dans la bruine des nuitées a contempler des ossements de leurs frères ou sœurs. C’est donc ainsi que l’on déduit que notre espèce n’est pas invincible. N’est pas insensible, et finalement, garde en soit des sentiments qui se font de plus en plus rares. Et si je vous parle de cela aujourd’hui c’est pour ça. Pour ces sentiments, parce que je suis fier que notre planète soit encore peuplée de Vivants comme cela. Parce que je suis fier qu’il reste encore de cette humanité là en chacun de nous, malgré une époque de décence, de résistance et de silence comme celle que nous vivons actuellement. C’est donc sur ce peu d’humanité restant que j’ai choisis d’écrire et sur l’entraide qui existe toujours.

Désolé. Pardon. MAIS:

Autant pour moi.

Bien vu anonyme pour vice versa, c'était drôle...
Firexgamer, je n'y connais rien en bouquin, mais j'en lis quelques uns. C'est quoi que tu veux écrire? Un essai, une nouvelle, un document?

J'ai lu ce que tu as écrit et il y a de l'idée, mais je ne vois pas trop où tu veux en venir. Tu veux développer ce que tu as écrit là ou c'est juste ton point de départ de ce que tu veux écrire?