Premier topic, c'est le moment parfait je pense Car pour les lecteurs, les motivés Ou les spectateurs, témoins de mon évolution Véritables apôtres de mon bonheur L'écrire me procure, un peu plus que la joie dans la veine Après un tour avec l'Hélène.. Eh oui, eh oui, Lili ouvre son topic Du lourd en prévision, d'la bonne lyric Et on verra mais y a du slam, & peut être du rock de grand mère qui viendra s'ajouter aux maquettes Et moi ça me permet, de me mettre bien, car c'est enregistré & confié à la sûreté des réseaux. Grossomodo, je l'ai dans le baba, mais pas le temps d'écrire à la main, trop d'encre sur les doigts, Pas l'temps pour l'écriture, je recherche une scribe ainsi qu'une muse (sur rouen) d'ailleurs, C'est mon topic, pour une fois que je suis Prince autour des perfides & des loups Quand les mirages chassent! Let's go. Alice n°one, ébauche_ Ca boom? Dans les partys, sur les dancefloor Pauvres petites fleurs fait sa pétasse Pour une bouteille, t’as vu jeunesse Fini les révoltes dans les tasses Et les émeutes dans les cafés, Le temps des hooligans, Des temps de haine, Des cris, des chiens, des rages Perdu dans la fourmilière Des vices dans la chaire Et ton cul vendu aux enchères! Ta grand mère sur ebay 04:24Alice qu'est-ce ? 04:24Moi Peuple de felé Ma haine, mon échappatoire poupée T’aurais du venir, c’est la pleine lune Mon côté bestial est réanimé Comme la blondasse dans KB De l’hémoglobine sur les écrans C’est c’que le p’tit peuple veut voir Allez chérie, viens tirer un coup Ou j’serai obliger encore une fois De m’échapper dans l’illusion, Les avatars en 3D, les booms, Barcelona Saunas, piscines, mers & le surf du bonheur La vague du destin, cultiver chanvre & maïs au Marroco Gouter l’opium, s’prendre pour Rimbaud, Du traffic en Orient, perdons nos bras A sa mémoire, à Tunis, dans les camps On pense à Jacky, Pas Herrer, pas d’erreur Mesrine, mes rimes sont à ton honneur Aux bonheurs des p’tits marchées Tu t’es enfilé de billets puis t’as filé A bord d’une belle voiture Et d’une jolie poule douce Et d’une jolie poule douce Alice elle va revenir Le blue magic bus est là Pour que dans les bras, les malins Se fassent la malle dans les maux de feu nos chagrins Hé baby, c’était hier, qu’on s’est rencontré, Qu’on a voyagé, dans les Provences et les champs Les antiquités et les règnes des Empereurs T’as vu l’ampleur que ça a pris Pour un rien on s’est perdu, T’as vu nos remplaçants, Sans mauvaise arrogance, à nos souliers Ils ne peuvent même pas grimper Tu vois l’délire baby Jeunesse sous acide & trip infini Viens au petit matin, à la machine à café Puis dans les draps de satin, Je te chanterai mes mots sans égaux Ma dalle sans faille Et mon bonheur sans égale, oh oui oh oui Petite fille crie dans la nuit T’as vu chérie tout est possible Grâce aux fruits des passions, sans déchaîner les colères Eve a déconné & vous voilà en cloque Et en sang, du gore dans les draps, obliger d’faire ça façon hardcore Purifier la nature, soigner vous dans les montagnes Et vos cœurs comme les écrouelles n’en finiront jamais de s’infecter Morsures d’ado dans le coup Papa t’es plus dans l’coup Quand je te vois, en chagrin, devant ta télé Putain c’que j’ai pitié Pour tous ces clandestins, ces âmes libres, ces immigrés Qu’on vécu au temps des Portes & des perches purs Des belles voitures, des coccinelles dans les près Et de la solidarité pour s’exiler C’est sur les routes des traffic, Papa Que t’as pu partir pour Mexico Sans pour autant faire du trafic et se prendre pour un gangster Belle-mère n’est pas une Winchester Dad calme toi, ou ça finira façon Morrisson Oeudipe, dans les complexes & les dédales des dalles Je les ai compris, alors dans l’infini des complaintes du nirvana Gare aux balances, aux mauvaises plaintes Car l’heure est aux anar’ Aux pillards, aux kleptos, aux paradoxes des temps, Des idéaux bizarre, le beau sera toujours dans l’aléatoire Alors allons voir la mer, j’écrirai des rimes à la Baudelaire Tandis que Ken fera du bon beat, à slamer mes lyrics Guillaume nous emmènera voir les criques Toujours les bons filons, Fini le cri de maman qui baisent & de la débandade dans le pantalon Mon frère renoi ça c’est pour toi Le bonheur dans l’apport, bientôt à nous les grands appartements La vie de dandy, je te l’ai promise T’inquiète pas l’ami qu’on va s’intégrer Passer crème dans les champs de blé Les montagnes, les capitaux, au sommet des finances Où le peuple crie famine et les gouvernements pensent A une solution sans soumission, Impossible, Rambo a accompli sa mission.. La patate façon coke ou fixe dans la veine Et descente dans la plaine Des p’tites peines pour les vils Et des chagrins dans nos villages J’fais de l’art moderne Obliger pour m'en sortir D’avoir un parloir, un exutoire Et puis vendre ma veine Et mon talent Aux délinquants, aux mécréants Petites vies en cachets Des toubibs corrompu à l’état La médecine a pris pour bible L’ennemi Numéro 1 de J. Mesrine Au feu les marxismes, à nous les fascismes Allons allons, apprenons le sadisme Puisque c’est ça qui les fait kiffer Regarde ta boîte, tes footballeurs comme proxénètes On guette & on revend les belles minettes T'as vu la gueule de nos réseaux Flamme dans nos jardins, incendies dans nos cultures Fini la jachère et les étés pourris Sûr maintenant c'est 2012, tout le monde se jalouse Pour un peu d’flouze t’es sur la p’louse A l'orée du blé & des marchands de sable On t'endort pour une poignée d'or Nouveaux comboy dans les westerns Modernisation, capitalisme & feux nos agriculteurs Allons, fumons ! Peuple de l'herbe Les idées enfumées, inspirée jusqu'à l'os Je pars sur mon voilier pour Montpellier Vers des horizons lointains, chemins des passions, feu dans les prisons Elise dans l'asile, Alice aux p'tits délices Dans les ruelles du Paradis On t'a confondu avec Hélène Petit bout de beauté, éphémère dans l'air A l'ère des cons au pouvoir, & des problèmes dans la mémoire L'histoire & le devoir Non mec, c'est la religion, l'intolérance & l'abattoir La satisfaction est le début des préliminaires Tu t’sens heureux c’est que t’es berné Par le système, les influences sur la conscience Système scolaire en fire Des armes dans les écoles, guerillas dans les classes Et flicaille dans les récrés Sûr m’sieur le préfet, ton gamin est bien protégé A l’orée des galères, des bateaux, des immigrés dans les flots d’la noyade Alors que les salauds, les beaux dans les flots d’la drague Se noient les générosités d’une jolie Juliette Comme avec Roméo, ou Rocco, ça finira, à coup de dague Dans la panse, ou gouffres intimes de nos méandres Pour tous mes frères crevés dans les rues, palestiniens et irakiens Ca sert à rien, dans les armes, les vices de la culture, On t'apprend la merde & comment sauver son cul, En mode Elvis ou Claude François, Un peu d'talent & t'es la nouvelle star D'la pop à l'Elysée, mais t'as vu ce qui passe à la télé Tout est à jeter à l'évier Sauf les lyrics des derniers MC Oxmo, le doc' & les niggaz oubliés Dans les guettos pourris new yorkais Ségrégation dans nos bus Tous guetter par le phénomène des puces Fini les p'tites poules dans les beaux quartiers Et l'amour à l'arrière des taxis Bonjour la taxe & les arriérés Poupée va s'faire violer par trois fous cagoulés Et la justice, oui la justice Police dans les rues, trop de flicaille couleur bleu azur dans nos ruelles, Eh oui mon frère c'est la damnation. Le mode révolution est ON. Et la marche est en place, tu connais la chanson. Le temps des cerises est revenu, des solidaires, Fini les solitaires, bud stop ton bad Et viens triper sous ce que tu veux tant que tu planes, Tout là haut perché on s'est rejoint. Sous les effets d’la beauté d’un joint Roulé par mes soins, dans la magie des nuits, Dans l’illusion des cris Petite fille jouit, mouille et file à la playa J’en n’ai pas fini avec ton cas T’as vu l’état des vices de l’Etat, Impôts, boxons dans les locaux El loco est revenu pour foutre le feu aux corrompus Pourris à tous les niveaux Sers la main à l’allégorie d’la démagogie Et promis t’auras récompense et argent dans la panse Au siècle des corrompus, on séquestre c’qui reste de la mémoire des militants Des travailleurs, des marchands d’or, de rêve & d’ailleurs.. Nos idoles, nos modèles, nos cultures dans le sein des drogues durs, des seins moelleux, Des monroes, des fachos, adieu les manson, welcome la nouvelle playstation Toujours à la recherche d’une muse A la Van Gogh, j’ai besoin d’une tulipe, D’une élise en craquage, de la fête dans les boulevards Et une scribe à la belle écriture Et enfin on fera de la bonne littérature… Pour les lettrés, les cultivés, Je laisse les autres dans la merde, On verra comment ils sauveront leur cul Quand les plus grands, les prédateurs Les mangeront tout cru… Petite sauve ton cul Avant que le loup garou Egaré dans les brumes de la lune N’arrivent, affamé, l’arme en main Prêt à défoncer, broyer, n’importe quelle minette A l’allure de Maryline, la beauté immaculé façon cocaïne Mais retiens toi d’aller plus loin, Dans les tentations des pays d’ailleurs C’est les milles et une nuit Et je suis seul, là, à taper la machine Sauvons nos maux Sauvons mes mots Contre quelques beaux discours, J’en veux, encore encore encore D’la poudre dans le nez, c’est Scorsese & les Rollings Au temps des magazines, des censures Des fautes dans les essais Des Voltaires, des Kerouac enterrés J’essaye de sauver nos héritages De la spontanéité dans l’écrit De l’overdose dans la prose Sous influence & modèle Pas des tops, évidence, des écrivains Des talentueux, des Bukowski A la façon des Vian, de Verlaine & des Nabokov Exilé depuis la Russie, le froid & le Sahara blanc La mort dans la ville, des fantômes dans les guettos No man’s land and ghost cities Sex, drugs, rock’n’roll & seventies C’est pas le meme délire Alors à petit pas on avance dans les dédales De nos ancêtres, au fil des ambitions, des talents, des passions On se sent cobaye à cause de l’Etat La conséquence est là, il nous a trop foutu sur la paille ! Et fini les sexes party dans les champs de paille Seul les plages & les bikinis intéressent les p’tites chéries, Les bols de riz…Fini les sages, ciao Bouddha. Dans un charmant terrier_ Ecrit de 2008, quand le coeur était ouvert aux putains, aux catins des bas chemins... Dans un charmant terrier Un lapin et sa compagne y vivaient Ce couple durait dans la quiétude Mais le lapin, avait pris pour habitude, Fidèle à sa réputation, De faire preuve de séduction (7) Auprès des jolies filles. Ainsi, une nuit où il était encore parti …Faire des folies Sa compagne après de mauvaises rêveries (11) Se réveilla et quelle ne fut son anxiété ! Remarquant l’absence de sa moitié (9) Inquiète, elle l’attendu toute la nuit. L’infidèle s’endormit, à peine rentré chez lui. Les crépuscules passèrent Et le coquin enchaîna les prises éphémères. A la cocue, Il n’en fallut pas d’avantage, Pour comprendre l’échec de son mariage. (11) Lorsqu’il rentra, la nuit suivante Il n’aperçut pas l’absence de son aspirante Mais, durant sa promenade à l’aurore Quelle ne fut sa frayeur ! Croisant sa lapine au bras d’un autre mâle Dans sa tête résonna cette morale : a « A vouloir l’univers On finit Solitaire. » Voilà, j'aime le contact & tout & tout, donc on devrait bien s'entendre; petit peuple solidaire, lors de la tournée. Je commence le 5 & après on verra mais ça promet d'être ouf. J'suis hyper chaud pour le vagabondage, l'angoisse, la poisse, la mauvaise prose, l'attente & la galère pour traverser les horizons à la revoyure de nos lumières, petit Damien sur son tricycle, on bave à l'idée d'un nouveau disque..Le cycle n'est pas terminé, les p'tits vices s'ront toujours là, bien placé, bien calé, à l'orée des puissants, impuissance dans les pornos, normal on essaye de t'berner, ô poubellier ô poubellier, avec ta benne, regarde toi, à frimer sur ton beau camion, à la façon des fous, des présidents sur leurs avions. Alors que.. t'as même pas de quoi te payer le téléthon.. Enfin voilà, c'est la spontanéité, assez chiant en ce moment, ça m'a pris y a un mois depuis que j'ai ouvert les yeux, depuis je n'arrive plus à les fermer. HIC. Impossible de dormir, les idées pleins la te-té, j'aimerai me réveiller... Allez, un p'tit dernier, & vous me direz si ça plaît... « Elise S. – Portrait d’une fée. » Ebauche n°1. C’est drôle comme la souffrance peut rapprocher les gens. Le monde est bâti sur des contradictions. Ce qui nous brise peut aussi bien nous former. On se ressemble beaucoup en un sens, comme moi elle a perdu ses repères mais elle apprend à vivre sans. A ma façon, elle s’est elle-même créée son propre chemin, qu’elle forge et qu’elle trace au fil de ses expériences, de ses aventures. Chacun de ses pas l’emmène vers l’inconnu. Un futur aléatoire avec l’espoir d’avoir choisi la bonne direction. Mais voyager à contre-sens elle s’en balance, se frayer sa propre route c’est aller à l’encontre des brebis, c’est faire face au berger, aux incendies, au danger. Elle a bien saisi que le bonheur, pour y accéder, elle doit s’en faire sa propre idée, qu’il appartient à tout un chacun. Que ce n’est pas en suivant la masse qu’on y parviendra, qu’il faut prendre des risques, comme celui de se retrouver seul, à contre-sens. Mais, à cette belle personne, j’ai juré fidélité, alors jamais elle ne connaîtra à nouveau solitude. Je la connais depuis à peine deux ans mais au premier regard j’ai su, j’ai compris ce qu’était une bonne personne, j’ai vu toutes ses qualités flotter autour d’elle, la plus belle aura que j’ai pu percevoir jusqu’à ce jour. J’ai été aimanté, véridique. Derrière ses longs cheveux existe un soleil pouvant éclairer n’importe quel paumé, moi le premier. Je parle bien sûr de son fameux sourire avec ses grandes dents écarlates. Je lui dirai un jour : « si on t’a donné des dents aussi longues, c’est pour que tu puisses croquer la vie, alors fais-le Elise, fais-le». Ce sourire est bénéfique pour tous. Elle illumine comme les étoiles la nuit tombée, comme ces poissons qui brillent dans la Méditerranée, elle embellit nos pauvres faces. En plus de ça, elle a l’âme et l’imagination de l’artiste. Les images, en elle, débordent tellement qu’elle est obligé de les reproduire sur papier. Elle fait parti de ceux qui peuvent voir les étoiles en plein jour, de ceux qui préfèrent l’imaginaire au réel, ceux qui sont mal à l’aise ici, qui cherchent sans jamais trouver place. Plus attirée par ses chimères que par la bourse. " P.S : J'avais assez peur de m'exposer sur la toile vu que l'heure est à la pale copy & aux duplicata. Fini le temps des Littéraires, des correspondances, des belles lettres, etc. Peace_ P.S2 : En mode artistique jusqu'au bout, j'ai eu l'envie de m'exhiber, vraiment besoin d'un échappatoire & l'impulsion, écrire sous pression, car on sait qu'encore une fois le sommeil ne viendra pas, car l'agonie est toujours là, chez les gauchos comme les militaires des indes et des églises... Tout ça pour dire, quelques photos pour accompagner les "écrits" [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash1/hs334.ash1/28870_1378774101693_1002108063_31130579_6741709_n.jpg[/img]
Lili Il y a 14 ans

Premier topic, c'est le moment parfait je pense
Car pour les lecteurs, les motivés
Ou les spectateurs, témoins de mon évolution
Véritables apôtres de mon bonheur
L'écrire me procure, un peu plus que la joie dans la veine
Après un tour avec l'Hélène..
Eh oui, eh oui, Lili ouvre son topic
Du lourd en prévision, d'la bonne lyric
Et on verra mais y a du slam, & peut être du rock de grand mère qui viendra s'ajouter aux maquettes
Et moi ça me permet, de me mettre bien, car c'est enregistré & confié à la sûreté des réseaux.
Grossomodo, je l'ai dans le baba, mais pas le temps d'écrire à la main, trop d'encre sur les doigts,
Pas l'temps pour l'écriture, je recherche une scribe ainsi qu'une muse (sur rouen) d'ailleurs,
C'est mon topic, pour une fois que je suis Prince autour des perfides & des loups
Quand les mirages chassent!

Let's go.


Alice n°one, ébauche_


Ca boom?
Dans les partys, sur les dancefloor
Pauvres petites fleurs fait sa pétasse
Pour une bouteille, t’as vu jeunesse
Fini les révoltes dans les tasses
Et les émeutes dans les cafés,
Le temps des hooligans,
Des temps de haine,
Des cris, des chiens, des rages
Perdu dans la fourmilière
Des vices dans la chaire
Et ton cul vendu aux enchères!
Ta grand mère sur ebay
04:24Alice
qu'est-ce ?
04:24Moi
Peuple de felé
Ma haine, mon échappatoire poupée
T’aurais du venir, c’est la pleine lune
Mon côté bestial est réanimé
Comme la blondasse dans KB
De l’hémoglobine sur les écrans
C’est c’que le p’tit peuple veut voir

Allez chérie, viens tirer un coup
Ou j’serai obliger encore une fois
De m’échapper dans l’illusion,
Les avatars en 3D, les booms, Barcelona
Saunas, piscines, mers & le surf du bonheur
La vague du destin, cultiver chanvre & maïs au Marroco
Gouter l’opium, s’prendre pour Rimbaud,
Du traffic en Orient, perdons nos bras
A sa mémoire, à Tunis, dans les camps
On pense à Jacky, Pas Herrer, pas d’erreur
Mesrine, mes rimes sont à ton honneur
Aux bonheurs des p’tits marchées
Tu t’es enfilé de billets puis t’as filé
A bord d’une belle voiture
Et d’une jolie poule douce
Et d’une jolie poule douce
Alice elle va revenir
Le blue magic bus est là
Pour que dans les bras, les malins
Se fassent la malle dans les maux de feu nos chagrins
Hé baby, c’était hier, qu’on s’est rencontré,
Qu’on a voyagé, dans les Provences et les champs
Les antiquités et les règnes des Empereurs
T’as vu l’ampleur que ça a pris
Pour un rien on s’est perdu,
T’as vu nos remplaçants,
Sans mauvaise arrogance, à nos souliers
Ils ne peuvent même pas grimper
Tu vois l’délire baby
Jeunesse sous acide & trip infini
Viens au petit matin, à la machine à café
Puis dans les draps de satin,
Je te chanterai mes mots sans égaux
Ma dalle sans faille
Et mon bonheur sans égale, oh oui oh oui
Petite fille crie dans la nuit
T’as vu chérie tout est possible
Grâce aux fruits des passions, sans déchaîner les colères
Eve a déconné & vous voilà en cloque
Et en sang, du gore dans les draps, obliger d’faire ça façon hardcore
Purifier la nature, soigner vous dans les montagnes
Et vos cœurs comme les écrouelles n’en finiront jamais de s’infecter
Morsures d’ado dans le coup
Papa t’es plus dans l’coup
Quand je te vois, en chagrin, devant ta télé
Putain c’que j’ai pitié
Pour tous ces clandestins, ces âmes libres, ces immigrés
Qu’on vécu au temps des Portes & des perches purs
Des belles voitures, des coccinelles dans les près
Et de la solidarité pour s’exiler
C’est sur les routes des traffic, Papa
Que t’as pu partir pour Mexico
Sans pour autant faire du trafic et se prendre pour un gangster
Belle-mère n’est pas une Winchester
Dad calme toi, ou ça finira façon Morrisson
Oeudipe, dans les complexes & les dédales des dalles
Je les ai compris, alors dans l’infini des complaintes du nirvana
Gare aux balances, aux mauvaises plaintes
Car l’heure est aux anar’
Aux pillards, aux kleptos, aux paradoxes des temps,
Des idéaux bizarre, le beau sera toujours dans l’aléatoire
Alors allons voir la mer, j’écrirai des rimes à la Baudelaire
Tandis que Ken fera du bon beat, à slamer mes lyrics
Guillaume nous emmènera voir les criques
Toujours les bons filons,
Fini le cri de maman qui baisent & de la débandade dans le pantalon
Mon frère renoi ça c’est pour toi
Le bonheur dans l’apport, bientôt à nous les grands appartements
La vie de dandy, je te l’ai promise
T’inquiète pas l’ami qu’on va s’intégrer
Passer crème dans les champs de blé
Les montagnes, les capitaux, au sommet des finances
Où le peuple crie famine et les gouvernements pensent
A une solution sans soumission,
Impossible, Rambo a accompli sa mission..
La patate façon coke ou fixe dans la veine
Et descente dans la plaine
Des p’tites peines pour les vils
Et des chagrins dans nos villages
J’fais de l’art moderne
Obliger pour m'en sortir
D’avoir un parloir, un exutoire
Et puis vendre ma veine
Et mon talent
Aux délinquants, aux mécréants
Petites vies en cachets
Des toubibs corrompu à l’état
La médecine a pris pour bible
L’ennemi Numéro 1 de J. Mesrine
Au feu les marxismes, à nous les fascismes
Allons allons, apprenons le sadisme
Puisque c’est ça qui les fait kiffer
Regarde ta boîte, tes footballeurs comme proxénètes
On guette & on revend les belles minettes
T'as vu la gueule de nos réseaux
Flamme dans nos jardins, incendies dans nos cultures
Fini la jachère et les étés pourris
Sûr maintenant c'est 2012, tout le monde se jalouse
Pour un peu d’flouze t’es sur la p’louse
A l'orée du blé & des marchands de sable
On t'endort pour une poignée d'or
Nouveaux comboy dans les westerns
Modernisation, capitalisme & feux nos agriculteurs
Allons, fumons ! Peuple de l'herbe
Les idées enfumées, inspirée jusqu'à l'os
Je pars sur mon voilier pour Montpellier
Vers des horizons lointains, chemins des passions, feu dans les prisons
Elise dans l'asile, Alice aux p'tits délices
Dans les ruelles du Paradis
On t'a confondu avec Hélène
Petit bout de beauté, éphémère dans l'air
A l'ère des cons au pouvoir, & des problèmes dans la mémoire
L'histoire & le devoir
Non mec, c'est la religion, l'intolérance & l'abattoir
La satisfaction est le début des préliminaires
Tu t’sens heureux c’est que t’es berné
Par le système, les influences sur la conscience
Système scolaire en fire
Des armes dans les écoles, guerillas dans les classes
Et flicaille dans les récrés
Sûr m’sieur le préfet, ton gamin est bien protégé
A l’orée des galères, des bateaux, des immigrés dans les flots d’la noyade
Alors que les salauds, les beaux dans les flots d’la drague
Se noient les générosités d’une jolie Juliette
Comme avec Roméo, ou Rocco, ça finira, à coup de dague
Dans la panse, ou gouffres intimes de nos méandres
Pour tous mes frères crevés dans les rues, palestiniens et irakiens
Ca sert à rien, dans les armes, les vices de la culture,
On t'apprend la merde & comment sauver son cul,
En mode Elvis ou Claude François,
Un peu d'talent & t'es la nouvelle star
D'la pop à l'Elysée, mais t'as vu ce qui passe à la télé
Tout est à jeter à l'évier
Sauf les lyrics des derniers MC
Oxmo, le doc' & les niggaz oubliés
Dans les guettos pourris new yorkais
Ségrégation dans nos bus
Tous guetter par le phénomène des puces
Fini les p'tites poules dans les beaux quartiers
Et l'amour à l'arrière des taxis
Bonjour la taxe & les arriérés
Poupée va s'faire violer par trois fous cagoulés
Et la justice, oui la justice
Police dans les rues, trop de flicaille couleur bleu azur dans nos ruelles, Eh oui mon frère c'est la damnation.
Le mode révolution est ON.
Et la marche est en place, tu connais la chanson.
Le temps des cerises est revenu, des solidaires,
Fini les solitaires, bud stop ton bad
Et viens triper sous ce que tu veux tant que tu planes,
Tout là haut perché on s'est rejoint.
Sous les effets d’la beauté d’un joint
Roulé par mes soins, dans la magie des nuits,
Dans l’illusion des cris
Petite fille jouit, mouille et file à la playa
J’en n’ai pas fini avec ton cas
T’as vu l’état des vices de l’Etat,
Impôts, boxons dans les locaux
El loco est revenu pour foutre le feu aux corrompus
Pourris à tous les niveaux
Sers la main à l’allégorie d’la démagogie
Et promis t’auras récompense et argent dans la panse
Au siècle des corrompus, on séquestre c’qui reste de la mémoire des militants
Des travailleurs, des marchands d’or, de rêve & d’ailleurs..
Nos idoles, nos modèles, nos cultures dans le sein des drogues durs, des seins moelleux,
Des monroes, des fachos, adieu les manson, welcome la nouvelle playstation
Toujours à la recherche d’une muse
A la Van Gogh, j’ai besoin d’une tulipe,
D’une élise en craquage, de la fête dans les boulevards
Et une scribe à la belle écriture
Et enfin on fera de la bonne littérature…
Pour les lettrés, les cultivés,
Je laisse les autres dans la merde,
On verra comment ils sauveront leur cul
Quand les plus grands, les prédateurs
Les mangeront tout cru…
Petite sauve ton cul
Avant que le loup garou
Egaré dans les brumes de la lune
N’arrivent, affamé, l’arme en main
Prêt à défoncer, broyer, n’importe quelle minette
A l’allure de Maryline, la beauté immaculé façon cocaïne
Mais retiens toi d’aller plus loin,
Dans les tentations des pays d’ailleurs
C’est les milles et une nuit
Et je suis seul, là, à taper la machine
Sauvons nos maux
Sauvons mes mots
Contre quelques beaux discours,
J’en veux, encore encore encore
D’la poudre dans le nez, c’est Scorsese & les Rollings
Au temps des magazines, des censures
Des fautes dans les essais
Des Voltaires, des Kerouac enterrés
J’essaye de sauver nos héritages
De la spontanéité dans l’écrit
De l’overdose dans la prose
Sous influence & modèle
Pas des tops, évidence, des écrivains
Des talentueux, des Bukowski
A la façon des Vian, de Verlaine & des Nabokov
Exilé depuis la Russie, le froid & le Sahara blanc
La mort dans la ville, des fantômes dans les guettos
No man’s land and ghost cities
Sex, drugs, rock’n’roll & seventies
C’est pas le meme délire
Alors à petit pas on avance dans les dédales
De nos ancêtres, au fil des ambitions, des talents, des passions
On se sent cobaye à cause de l’Etat
La conséquence est là, il nous a trop foutu sur la paille !
Et fini les sexes party dans les champs de paille
Seul les plages & les bikinis intéressent les p’tites chéries,
Les bols de riz…Fini les sages, ciao Bouddha.



Dans un charmant terrier_
Ecrit de 2008, quand le coeur était ouvert aux putains, aux catins des bas chemins...



Dans un charmant terrier
Un lapin et sa compagne y vivaient
Ce couple durait dans la quiétude
Mais le lapin, avait pris pour habitude,
Fidèle à sa réputation,
De faire preuve de séduction (7)
Auprès des jolies filles.
Ainsi, une nuit où il était encore parti
…Faire des folies
Sa compagne après de mauvaises rêveries (11)
Se réveilla et quelle ne fut son anxiété !
Remarquant l’absence de sa moitié (9)
Inquiète, elle l’attendu toute la nuit.
L’infidèle s’endormit, à peine rentré chez lui.
Les crépuscules passèrent
Et le coquin enchaîna les prises éphémères.
A la cocue, Il n’en fallut pas d’avantage,
Pour comprendre l’échec de son mariage. (11)

Lorsqu’il rentra, la nuit suivante
Il n’aperçut pas l’absence de son aspirante
Mais, durant sa promenade à l’aurore
Quelle ne fut sa frayeur !
Croisant sa lapine au bras d’un autre mâle
Dans sa tête résonna cette morale : a
« A vouloir l’univers
On finit Solitaire. »



Voilà, j'aime le contact & tout & tout, donc on devrait bien s'entendre; petit peuple solidaire, lors de la tournée. Je commence le 5 & après on verra mais ça promet d'être ouf. J'suis hyper chaud pour le vagabondage, l'angoisse, la poisse, la mauvaise prose, l'attente & la galère pour traverser les horizons à la revoyure de nos lumières, petit Damien sur son tricycle, on bave à l'idée d'un nouveau disque..Le cycle n'est pas terminé, les p'tits vices s'ront toujours là, bien placé, bien calé, à l'orée des puissants, impuissance dans les pornos, normal on essaye de t'berner, ô poubellier ô poubellier, avec ta benne, regarde toi, à frimer sur ton beau camion, à la façon des fous, des présidents sur leurs avions. Alors que.. t'as même pas de quoi te payer le téléthon..

Enfin voilà, c'est la spontanéité, assez chiant en ce moment, ça m'a pris y a un mois depuis que j'ai ouvert les yeux, depuis je n'arrive plus à les fermer. HIC. Impossible de dormir, les idées pleins la te-té, j'aimerai me réveiller...

Allez, un p'tit dernier, & vous me direz si ça plaît...


« Elise S. – Portrait d’une fée. »
Ebauche n°1.

C’est drôle comme la souffrance peut rapprocher les gens. Le monde est bâti sur des contradictions. Ce qui nous brise peut aussi bien nous former. On se ressemble beaucoup en un sens, comme moi elle a perdu ses repères mais elle apprend à vivre sans. A ma façon, elle s’est elle-même créée son propre chemin, qu’elle forge et qu’elle trace au fil de ses expériences, de ses aventures. Chacun de ses pas l’emmène vers l’inconnu. Un futur aléatoire avec l’espoir d’avoir choisi la bonne direction.
Mais voyager à contre-sens elle s’en balance, se frayer sa propre route c’est aller à l’encontre des brebis, c’est faire face au berger, aux incendies, au danger. Elle a bien saisi que le bonheur, pour y accéder, elle doit s’en faire sa propre idée, qu’il appartient à tout un chacun. Que ce n’est pas en suivant la masse qu’on y parviendra, qu’il faut prendre des risques, comme celui de se retrouver seul, à contre-sens.
Mais, à cette belle personne, j’ai juré fidélité, alors jamais elle ne connaîtra à nouveau solitude. Je la connais depuis à peine deux ans mais au premier regard j’ai su, j’ai compris ce qu’était une bonne personne, j’ai vu toutes ses qualités flotter autour d’elle, la plus belle aura que j’ai pu percevoir jusqu’à ce jour. J’ai été aimanté, véridique.
Derrière ses longs cheveux existe un soleil pouvant éclairer n’importe quel paumé, moi le premier. Je parle bien sûr de son fameux sourire avec ses grandes dents écarlates. Je lui dirai un jour : « si on t’a donné des dents aussi longues, c’est pour que tu puisses croquer la vie, alors fais-le Elise, fais-le». Ce sourire est bénéfique pour tous. Elle illumine comme les étoiles la nuit tombée, comme ces poissons qui brillent dans la Méditerranée, elle embellit nos pauvres faces.
En plus de ça, elle a l’âme et l’imagination de l’artiste. Les images, en elle, débordent tellement qu’elle est obligé de les reproduire sur papier. Elle fait parti de ceux qui peuvent voir les étoiles en plein jour, de ceux qui préfèrent l’imaginaire au réel, ceux qui sont mal à l’aise ici, qui cherchent sans jamais trouver place. Plus attirée par ses chimères que par la bourse.
"


P.S : J'avais assez peur de m'exposer sur la toile vu que l'heure est à la pale copy & aux duplicata. Fini le temps des Littéraires, des correspondances, des belles lettres, etc.

Peace_


P.S2 : En mode artistique jusqu'au bout, j'ai eu l'envie de m'exhiber, vraiment besoin d'un échappatoire & l'impulsion, écrire sous pression, car on sait qu'encore une fois le sommeil ne viendra pas, car l'agonie est toujours là, chez les gauchos comme les militaires des indes et des églises...

Tout ça pour dire, quelques photos pour accompagner les "écrits"

[img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-sjc1/hs305.snc3/28870_1378773261672_1002108063_31130578_6477480_n.jpg[/img] "Ces vers du "Voyage" éclairent à eux seul l'entreprise du poète. Esprit vagabond, toujours mobile, Baudelaire explore les dédales de la conscience~" [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-sjc1/hs325.snc3/28870_1378777381775_1002108063_31130585_4163533_n.jpg[/img] On verra, tu disais, ô toi Judas, Le couteau dans la chair, Et le chibre de mon meilleur Assassin d'amitié Dans sa chambre, vous, vous vous êtes donné A des plaisirs malsain, TU donnes ton sein comme la catin qui nourrit le nourrisson Petit ourson est sous acide, regarde la réalité, génération à écouter du B2O Booba est devenu un gangster actif du monde des propagandes, des publicistes, des p'tites fortunes & des grosses blindes... Smith & Wesson, c'est ça nos nouvelles épopées. Flinguons nous, une balle c'est mieux que rien quand t'as pas d'idée. Quand ni les pensées, les maux, les songes, les idéeaux, se font la malle à tour de rôle dans les flots des cycles, dans les fléaux des vices, moi je cherche la piste.. A l'horizon des belles maisons, je chante la vie, peut être bien que le temps des cerises, des solidaires, va revenir à l'air, de la bonne tendance, à nous l'époque & un meilleur ère. A l'heure où les bas-âges sont dans l'agonies des cries. Et l'image de nos misères à tous les étages. Du moyen-âge on passe à la pop music, on s'la joue à l'anglaise, des p'tits filons, du p'tit pilon & après c'est fini pour le p'tit peuple. Regarde, ta chanson française à l'Elysée, et tous les clampins trouvés dans la rue, allume ta télé, vomis jusqu'à t'arracher les tripes, tu la sens la bile? [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-sjc1/hs325.snc3/28870_1378769701583_1002108063_31130569_5627009_n.jpg[/img] Regard dans l'amer Pas de belle vue sur la mer Façon îles, barques & armistices Vagues douces, belles poules aux artifices Tu fais la maligne, mais tu trouves force Seulement dans les maux, les flots, tu tombes à l'eau A la façon du Bouddha, les hommes ne t'ont pas compris, tu as perdu la tête, Tu as perdu l'écorce, au réveil des féroces, reprends des forces, petite poule, Respire, pour une dernière bouffée d'air, Avant les cieux, le nouvel ère, tout ce qu'on s'était promis En s'éclatant la race dans l'hémisphère A la trouvaille, carte un trésor, on recherche -la beauté dans l'éphémère Au vague du bonheur, on plane, pas besoin de plus, la bourgeoisie Les vils, villes & capitaux ne m'interéssent guère Et quand je vois mes frères en guerre, putain ça fait mal Comme le couteau qui te tranche la carotide, Comme nos voyages sous acides... [En parlant d'eux] A nos voyages sous acides On se souvient du lointain Dans nos rétons ne ne voit que du vide Alors on fonce à l'image des trains A des années lumières de nos chagrins Ivresse dans la veine en vain_ Y a pas mal de progrès dans ce que je fais mais j'ai l'impression de rester bloquer dans l'erreur, le manque d'originalité, l'influence de mes aïeux (dont damien, vous avez remarqué, le hic c'est que j'adore le style, c'est la littérature fluide & douce comme j'aime en lire ou en écouter j'aimerai, comme van gogh, trouver mon propre style, marquer mon temps comme Tony Parker \o/ & feu les plumes parker, les belles lettres bien formés des jolies filles dans l'âge du développement, comme on s'amusait, à courir dans les champs, petite lila tu es parti, à la façon des gouttes de pluie... [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-snc3/hs305.snc3/28870_1378778461802_1002108063_31130586_6077380_n.jpg[/img] Sonnez tocsins dans les campagnes. Du bouche à oreille De la bouche à l'oreille La langue de ma belle Se fait la malle Sous la braguette c'est comme un flot de paillettes Autour d'une grosse baguette/ [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash1/hs334.ash1/28870_1378780581855_1002108063_31130588_1539745_n.jpg[/img] Stop ton Bad P'tit Bud, Ecoute le Docteur, Le toubib est de retour Dans les bacs du bonheur Orgasme et jouissance à tous les étages... Afficher davantage Fini l'âge des églises, des desseins en carton, Des dessins sur les bastons. Les keupons sont chauds Allez Bud, wake up Eclate ton bob & listen to Peter Tosh Or Police On My Back Retourne au classicisme des origines, Quand les mots avaient sens Et le sang n'était pas vain dans la veine.. [img]http://sphotos.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-sjc1/hs305.snc3/28870_1378790462102_1002108063_31130600_2364162_n.jpg[/img] "Extrait d'un Journal d'un Condamné_" Mode Transmission : ON. Too much muchacho L’homme moderne a pris la vague Du Surf dans les nuages... Afficher davantage A se croire au dessus de tous Tu te perds dans les airs Et l’hélicoptère aura ta tête Comme Le cavalier ou ce Cher Nick Qui te _ sans avoir besoin d’tête Comme le bourgeois, oh petit peuple réveilles toi Incendies dans les prairies, égorgements dans la porcherie Et vous, la bande d’agneau, à tourner à l’anis Vous attendez le changement, mais le bouleversement viendra d’en bas Alors, réveillez vous, torche en main, Oh le gitan, mon frère tsigane, sois fort, sois brave Sors de ta caravane, exhibe ton art dans les flammes Sonnons l’alarme, sonnons l’alarme Pyromanie dans les bureaux Du feu dans les voitures Nagasaki dans nos verdures Du sang sur nos desseins De l’encre noire plein les mains C’est les tâches de l’espoir C’est pas les lâches perchés au sommet du désespoir Sur qui on pourra compter quand reviendra le noir Petits enfants & gribouillages Même mes neveux du bas âge Savent parler avec union, Synchronisons nos chansons Plutôt crever que ressembler Aux capitalistes, au fond des chiottes ils s’abandonnent A jouer au poker, à s’prendre pour des Tony Mais ces mecs sont à pendre Ils n’ont que la haine dans la veine Et le sang violet comme les nazis Du rock à la gainsbarre dans les p’tits bars Et toi le facho, toi tout là haut Pourri à l’os, corrompu à la chair Comme ta mère, sur ebay, mise aux enchères. Tu peux crever, tu peux t’noyer. Le 16 a tout compris, C’est rouler comme le permis Et s’attacher aux Marguerittes Des beaux prénoms, des belles tulipes, Dans les maisons, dans les chansons Fini les cœurs dans les chorales Et les mœurs des sœurs dans la paroisse Maintenant c’est sodomites en masse Et fêlés ou HP sur ton curriculum vitae c’est parfait pour être l’abbé, On s’branle sur les p’tits gamins, Et dans le porno je t’ai cherché Elisa toi t’es parti, à la façon d’la ThildMa Dans les rues du Miami, C’est le Mia au Paradis Alors comme l’homme pressé moi j’ai juté Plutôt que pleurer pour les Judas Des fautes sur nos épitaphes J’appellerai Charles pour un bon graff Bien stylé, un truc qui marque, Comme les 20 ans de l’ami Earl, De sa famille poilue aux junkos déchus Du pékos à 40 dollards, owi sûr qu’on s’prend pour des richards Soignons la corruption, débarassons nous de nos maisons Brûlons les services, les commerces et les propriétaires Les banques & le soit disant système égalitaire Les vieux ont tout compris, le 16 s’est planté, Jeunesse a perdu & elle n’est pas conne mais abruti Dès l’âge des tout petits on leur fait bouffer la purée Tu veux être fort & BG ? Bouffe de la merde verte en boîte à la Popeye Tu t’es fais berné, la petite souris est une nympho Les nymphes sont au fond de l’eau et Le Père No Est sponsorisé par Coca Cola, les Mac et le porno On s’en fout, dans les cocktails, les petites partys C’est la folie, Bouddha m’l’a dit. Mais à l’orée des feux de camp J’ai peur mon ami que la noyade soit inévitable Des flammes dans les idées Au moins les migraines sont passées Sans les pilules du belle Etat, t’as vu la gueule Et ton état, à tous les étages, Dans le bel âge ou le moyen âge On est foutu, déchu, perdu Petit peuple dans les p’tites rues Et des idéaux tous nus A la façon de Cam C’est l’immaculée, Maryline sous héroïne Tu vois mon frère, tends moi ta veine Et du bonheur, je t’en filerai De toi, j’ferai un héros Mais non, mais non, choisis ton camp Entre Petit Bobo qui s’est noyé dans les flots Dans la drague, les mots et la vague Dague dans la chair Corrompu tu t’es vendu Vendetta aux Enfers des guettos Je guette si la Maria elle est là Mais non, mais non petits agneaux, Revenons à nos moutons Les tox & les vieux croutons/ Les corrompus déchus ou les préssés Toc toc dans la te-té, acide comme le citron Pamplemousse, mousse à bière Et ta mise en bière, Re-penses y pour ton épitaphe Mon pote peut t’faire un bon graff’ Alors à la vente aux enchères Aux marchés des enfers Groupies dans l’assemblée Elle mouille pour K-mini T’as vu l’délire en Picardie Au regard des bouseux, consanguins, cris Chris s’enterre dans la schyzophrénie C’est comme le regard des Puissants L’enfer c’est les autres, L’enfer c’est les autres De la grâce dans nos jardins Lueur au lendemain Aux p’tits bourgeoins, oh bourgeoisie Tu vends ton cul pour du billet Prends ton ticket pour retirer Ton fric sale, ton fric sale Oh pourriture, tu t’étales dans la confiture Des maux, des vices, des fléaux C’est pour bientôt, la noyade dans l’eau Hurlement dans les p’tits bois Attaché par mes frères gitans Des paysans dans les montagnes Ils vont te saigner, t’traîner en caravane Oh pourriture, préssé ou capitaliste déchu T’es foutu, damné, con dans l’attente Du meilleur, de paradis Pardi, t’es bloqué aux barrages des routes de normandie Mon frère, fais demi tour Sheitan t’attend ici, décolle pour Miami. Tout les pourris dans la capital Brulerons comme les lumières du 18ème Et la haine dans les idées, des révoltes dans les cafés Remplacer par le PMU, oh p’tit béber arrête un peu Le speed, l’exta & les douilles au pneu Système égalitaire je t’en prie File la vaseline qu’on se l’enfile à tous les coins d’rues De l’arme blanche, des blessures dans la hanche On passe aux anarchies dans les batîments De la pop dans les idées Oh non, oh non Suivons la direction, de la magie dans les réseaux Au feu Petit Potter Je t’aurai, j’t’aurai comme Voldemort Ta fin est proche, ici c’est la vraie vie Sans reproche t’es fini Appelle Hermione, mes potes & oim Dans les cités & dans les restaus On la bouffera jusqu’au soulier Sa magie volée, son intimité violée Timide par nature Déchiré par les vautours Des fléaux dans les capitaux Le vice circule dans les billets Les têtes de cons des présidents Dans l’union, dans la mondialisation Au sommet des couillons, Petit peuple de cons, si ça continue Ce sera l’exil ou la bastille A l’ancien Temps, l’ancien régime J’ai pas fini d’te digérer, Les louis, les charles & les règnes Des dictatures dans les p’tites cours & des femmes au foyer Petites gamines dans les églises A cette époque pouvaient prier Sans s’faire matter, sans s’faire violer Maintenant on t’met de l’or dans ton champagne Et on oublie d’faire la jachère dans nos campagnes Oyé oyé, les burgers ont gagné Fini le temps d’la nutrition, bienvenues aux multi compagnies Des quick au p’tits chinois, On n’en veut pas, on n’en veut pas Mon jaune me suffira Pas comme ton p’tit chèque en fin de mois Les X-men ont perdu Tartuffe s’est vu victorieux Plus besoin de la Victoria On remplace sa p’tite bourge Par une Maria Duchesse des coins du Nigéria Petite négresse dans les champs de beuh D’la plage, des feux & des marées On en veut, on en veut comme de la bouffe Dans nos ventres vides comme les poches De mes frères dans les villes Dans les rues, au sommet des crus Et des capital, dans le bordel des capitaux Les p’tits banquiers s’mettent peuple à dos. D’la merde dans les idées On s’en sortira qu’en fin d’année Avec la récolte du cher Pierrot Paul ou Jack, si jamais t’as besoin d’une vanne Ou d’un poème Passe un appel, passe un appel Sonne le 911, & tu verras ce que t’auras De l’incendie dans les idées, pyromanies dans nos lits Eh oui eh oui l’école est fini Ici la culture c’est d’la confiture On en bouffe, & on la chie en cash, En chiasse ou en liquide Tu vois le délire, la métaphore Dans le for de nos corps Les p’tits châteaux des temps anciens Des sultans, des Abbassydes Pillage dans les églises Chrétiens dans les arènes Genre t’es un saint Car t’as d’la veine Et du sang dans les mains Aux armes citoyens des cœurs Tous dans le chemin, dans les terrains On s’enterre à la façon Des nains dans les mines Et des pines à l’assemblée Des nains pour te diriger Peuple lève toi, montre ta fierté D’la pop music comme représentante Genre combattante mais juste gagnante Le bon filon, le bon pilon J’sais l’renifler, ou le sniffer Mais au grand jamais je n’irai Dans les boulevards, à la façon des p’tits belges" Beau pavé qui serait honoré de finir dans la poire d'un CRS \o/ SOS, trop d'écriture, cerveau en ebullition, dans la fumée de mes idées, solitude noirceur & obscurité influent mes dessins... Ce texte est trois fois/quatre fois plus long dans l'intégral. Merci aux courageux, & soyez francs sur les critiques, Re-peace.
Lili Il y a 14 ans



"Ces vers du "Voyage" éclairent à eux seul l'entreprise du poète. Esprit vagabond, toujours mobile, Baudelaire explore les dédales de la conscience~"


On verra, tu disais, ô toi Judas,
Le couteau dans la chair,
Et le chibre de mon meilleur
Assassin d'amitié
Dans sa chambre, vous, vous vous êtes donné
A des plaisirs malsain,
TU donnes ton sein comme la catin qui nourrit le nourrisson
Petit ourson est sous acide, regarde la réalité, génération à écouter du B2O
Booba est devenu un gangster actif du monde des propagandes, des publicistes, des p'tites fortunes & des grosses blindes...
Smith & Wesson, c'est ça nos nouvelles épopées. Flinguons nous, une balle c'est mieux que rien quand t'as pas d'idée. Quand ni les pensées, les maux, les songes, les idéeaux, se font la malle à tour de rôle dans les flots des cycles, dans les fléaux des vices, moi je cherche la piste..
A l'horizon des belles maisons, je chante la vie, peut être bien que le temps des cerises, des solidaires, va revenir à l'air, de la bonne tendance, à nous l'époque & un meilleur ère. A l'heure où les bas-âges sont dans l'agonies des cries. Et l'image de nos misères à tous les étages. Du moyen-âge on passe à la pop music, on s'la joue à l'anglaise, des p'tits filons, du p'tit pilon & après c'est fini pour le p'tit peuple. Regarde, ta chanson française à l'Elysée, et tous les clampins trouvés dans la rue, allume ta télé, vomis jusqu'à t'arracher les tripes, tu la sens la bile?


Regard dans l'amer
Pas de belle vue sur la mer
Façon îles, barques & armistices
Vagues douces, belles poules aux artifices
Tu fais la maligne, mais tu trouves force
Seulement dans les maux, les flots, tu tombes à l'eau
A la façon du Bouddha, les hommes ne t'ont pas compris, tu as perdu la tête,
Tu as perdu l'écorce, au réveil des féroces, reprends des forces, petite poule,
Respire, pour une dernière bouffée d'air,
Avant les cieux, le nouvel ère, tout ce qu'on s'était promis
En s'éclatant la race dans l'hémisphère
A la trouvaille, carte un trésor, on recherche -la beauté dans l'éphémère
Au vague du bonheur, on plane, pas besoin de plus, la bourgeoisie
Les vils, villes & capitaux ne m'interéssent guère
Et quand je vois mes frères en guerre, putain ça fait mal
Comme le couteau qui te tranche la carotide,
Comme nos voyages sous acides...
[En parlant d'eux]
A nos voyages sous acides
On se souvient du lointain
Dans nos rétons ne ne voit que du vide
Alors on fonce à l'image des trains
A des années lumières de nos chagrins
Ivresse dans la veine en vain_



Y a pas mal de progrès dans ce que je fais mais j'ai l'impression de rester bloquer dans l'erreur, le manque d'originalité, l'influence de mes aïeux (dont damien, vous avez remarqué, le hic c'est que j'adore le style, c'est la littérature fluide & douce comme j'aime en lire ou en écouter j'aimerai, comme van gogh, trouver mon propre style, marquer mon temps comme Tony Parker \o/ & feu les plumes parker, les belles lettres bien formés des jolies filles dans l'âge du développement, comme on s'amusait, à courir dans les champs, petite lila tu es parti, à la façon des gouttes de pluie...




Sonnez tocsins dans les campagnes.
Du bouche à oreille
De la bouche à l'oreille
La langue de ma belle
Se fait la malle
Sous la braguette c'est comme un flot de paillettes
Autour d'une grosse baguette/




Stop ton Bad P'tit Bud,
Ecoute le Docteur,
Le toubib est de retour
Dans les bacs du bonheur
Orgasme et jouissance à tous les étages... Afficher davantage
Fini l'âge des églises, des desseins en carton,
Des dessins sur les bastons.
Les keupons sont chauds
Allez Bud, wake up
Eclate ton bob & listen to Peter Tosh
Or Police On My Back
Retourne au classicisme des origines,
Quand les mots avaient sens
Et le sang n'était pas vain dans la veine..




"Extrait d'un Journal d'un Condamné_"


Mode Transmission : ON.

Too much muchacho
L’homme moderne a pris la vague
Du Surf dans les nuages... Afficher davantage
A se croire au dessus de tous
Tu te perds dans les airs
Et l’hélicoptère aura ta tête
Comme Le cavalier ou ce Cher Nick
Qui te _ sans avoir besoin d’tête
Comme le bourgeois, oh petit peuple réveilles toi
Incendies dans les prairies, égorgements dans la porcherie
Et vous, la bande d’agneau, à tourner à l’anis
Vous attendez le changement, mais le bouleversement viendra d’en bas
Alors, réveillez vous, torche en main,
Oh le gitan, mon frère tsigane, sois fort, sois brave
Sors de ta caravane, exhibe ton art dans les flammes
Sonnons l’alarme, sonnons l’alarme
Pyromanie dans les bureaux
Du feu dans les voitures
Nagasaki dans nos verdures
Du sang sur nos desseins
De l’encre noire plein les mains
C’est les tâches de l’espoir
C’est pas les lâches perchés au sommet du désespoir
Sur qui on pourra compter quand reviendra le noir
Petits enfants & gribouillages
Même mes neveux du bas âge
Savent parler avec union,
Synchronisons nos chansons
Plutôt crever que ressembler
Aux capitalistes, au fond des chiottes ils s’abandonnent
A jouer au poker, à s’prendre pour des Tony
Mais ces mecs sont à pendre
Ils n’ont que la haine dans la veine
Et le sang violet comme les nazis
Du rock à la gainsbarre dans les p’tits bars
Et toi le facho, toi tout là haut
Pourri à l’os, corrompu à la chair
Comme ta mère, sur ebay, mise aux enchères.
Tu peux crever, tu peux t’noyer.
Le 16 a tout compris,
C’est rouler comme le permis
Et s’attacher aux Marguerittes
Des beaux prénoms, des belles tulipes,
Dans les maisons, dans les chansons
Fini les cœurs dans les chorales
Et les mœurs des sœurs dans la paroisse
Maintenant c’est sodomites en masse
Et fêlés ou HP sur ton curriculum vitae
c’est parfait pour être l’abbé,
On s’branle sur les p’tits gamins,
Et dans le porno je t’ai cherché
Elisa toi t’es parti, à la façon d’la ThildMa
Dans les rues du Miami, C’est le Mia au Paradis
Alors comme l’homme pressé moi j’ai juté
Plutôt que pleurer pour les Judas
Des fautes sur nos épitaphes
J’appellerai Charles pour un bon graff
Bien stylé, un truc qui marque,
Comme les 20 ans de l’ami Earl,
De sa famille poilue aux junkos déchus
Du pékos à 40 dollards, owi sûr qu’on s’prend pour des richards
Soignons la corruption, débarassons nous de nos maisons
Brûlons les services, les commerces et les propriétaires
Les banques & le soit disant système égalitaire
Les vieux ont tout compris, le 16 s’est planté,
Jeunesse a perdu & elle n’est pas conne mais abruti
Dès l’âge des tout petits on leur fait bouffer la purée
Tu veux être fort & BG ? Bouffe de la merde verte en boîte à la Popeye
Tu t’es fais berné, la petite souris est une nympho
Les nymphes sont au fond de l’eau et Le Père No
Est sponsorisé par Coca Cola, les Mac et le porno
On s’en fout, dans les cocktails, les petites partys
C’est la folie, Bouddha m’l’a dit.
Mais à l’orée des feux de camp
J’ai peur mon ami que la noyade soit inévitable
Des flammes dans les idées
Au moins les migraines sont passées
Sans les pilules du belle Etat, t’as vu la gueule
Et ton état, à tous les étages,
Dans le bel âge ou le moyen âge
On est foutu, déchu, perdu
Petit peuple dans les p’tites rues
Et des idéaux tous nus
A la façon de Cam
C’est l’immaculée, Maryline sous héroïne
Tu vois mon frère, tends moi ta veine
Et du bonheur, je t’en filerai
De toi, j’ferai un héros
Mais non, mais non, choisis ton camp
Entre Petit Bobo qui s’est noyé dans les flots
Dans la drague, les mots et la vague
Dague dans la chair
Corrompu tu t’es vendu
Vendetta aux Enfers des guettos
Je guette si la Maria elle est là
Mais non, mais non petits agneaux,
Revenons à nos moutons
Les tox & les vieux croutons/
Les corrompus déchus ou les préssés
Toc toc dans la te-té, acide comme le citron
Pamplemousse, mousse à bière
Et ta mise en bière,
Re-penses y pour ton épitaphe
Mon pote peut t’faire un bon graff’
Alors à la vente aux enchères
Aux marchés des enfers
Groupies dans l’assemblée
Elle mouille pour K-mini
T’as vu l’délire en Picardie
Au regard des bouseux, consanguins, cris
Chris s’enterre dans la schyzophrénie
C’est comme le regard des Puissants
L’enfer c’est les autres,
L’enfer c’est les autres
De la grâce dans nos jardins
Lueur au lendemain
Aux p’tits bourgeoins, oh bourgeoisie
Tu vends ton cul pour du billet
Prends ton ticket pour retirer
Ton fric sale, ton fric sale
Oh pourriture, tu t’étales dans la confiture
Des maux, des vices, des fléaux
C’est pour bientôt, la noyade dans l’eau
Hurlement dans les p’tits bois
Attaché par mes frères gitans
Des paysans dans les montagnes
Ils vont te saigner, t’traîner en caravane
Oh pourriture, préssé ou capitaliste déchu
T’es foutu, damné, con dans l’attente
Du meilleur, de paradis
Pardi, t’es bloqué aux barrages des routes de normandie
Mon frère, fais demi tour
Sheitan t’attend ici, décolle pour Miami.
Tout les pourris dans la capital
Brulerons comme les lumières du 18ème
Et la haine dans les idées, des révoltes dans les cafés
Remplacer par le PMU, oh p’tit béber arrête un peu
Le speed, l’exta & les douilles au pneu
Système égalitaire je t’en prie
File la vaseline qu’on se l’enfile à tous les coins d’rues
De l’arme blanche, des blessures dans la hanche
On passe aux anarchies dans les batîments
De la pop dans les idées
Oh non, oh non
Suivons la direction, de la magie dans les réseaux
Au feu Petit Potter
Je t’aurai, j’t’aurai comme Voldemort
Ta fin est proche, ici c’est la vraie vie
Sans reproche t’es fini
Appelle Hermione, mes potes & oim
Dans les cités & dans les restaus
On la bouffera jusqu’au soulier
Sa magie volée, son intimité violée
Timide par nature
Déchiré par les vautours
Des fléaux dans les capitaux
Le vice circule dans les billets
Les têtes de cons des présidents
Dans l’union, dans la mondialisation
Au sommet des couillons,
Petit peuple de cons, si ça continue
Ce sera l’exil ou la bastille
A l’ancien Temps, l’ancien régime
J’ai pas fini d’te digérer,
Les louis, les charles & les règnes
Des dictatures dans les p’tites cours
& des femmes au foyer
Petites gamines dans les églises
A cette époque pouvaient prier
Sans s’faire matter, sans s’faire violer
Maintenant on t’met de l’or dans ton champagne
Et on oublie d’faire la jachère dans nos campagnes
Oyé oyé, les burgers ont gagné
Fini le temps d’la nutrition, bienvenues aux multi compagnies
Des quick au p’tits chinois,
On n’en veut pas, on n’en veut pas
Mon jaune me suffira
Pas comme ton p’tit chèque en fin de mois
Les X-men ont perdu
Tartuffe s’est vu victorieux
Plus besoin de la Victoria
On remplace sa p’tite bourge
Par une Maria
Duchesse des coins du Nigéria
Petite négresse dans les champs de beuh
D’la plage, des feux & des marées
On en veut, on en veut comme de la bouffe
Dans nos ventres vides comme les poches
De mes frères dans les villes
Dans les rues, au sommet des crus
Et des capital, dans le bordel des capitaux
Les p’tits banquiers s’mettent peuple à dos.
D’la merde dans les idées
On s’en sortira qu’en fin d’année
Avec la récolte du cher Pierrot
Paul ou Jack, si jamais t’as besoin d’une vanne
Ou d’un poème
Passe un appel, passe un appel
Sonne le 911, & tu verras ce que t’auras
De l’incendie dans les idées, pyromanies dans nos lits
Eh oui eh oui l’école est fini
Ici la culture c’est d’la confiture
On en bouffe, & on la chie en cash,
En chiasse ou en liquide
Tu vois le délire, la métaphore
Dans le for de nos corps
Les p’tits châteaux des temps anciens
Des sultans, des Abbassydes
Pillage dans les églises
Chrétiens dans les arènes
Genre t’es un saint
Car t’as d’la veine
Et du sang dans les mains
Aux armes citoyens des cœurs
Tous dans le chemin, dans les terrains
On s’enterre à la façon
Des nains dans les mines
Et des pines à l’assemblée
Des nains pour te diriger
Peuple lève toi, montre ta fierté
D’la pop music comme représentante
Genre combattante mais juste gagnante
Le bon filon, le bon pilon
J’sais l’renifler, ou le sniffer
Mais au grand jamais je n’irai
Dans les boulevards, à la façon des p’tits belges"

Beau pavé qui serait honoré de finir dans la poire d'un CRS \o/ SOS, trop d'écriture, cerveau en ebullition, dans la fumée de mes idées, solitude noirceur & obscurité influent mes dessins...
Ce texte est trois fois/quatre fois plus long dans l'intégral.
Merci aux courageux, & soyez francs sur les critiques,
Re-peace.

On voit ton influence principale. L'ombre y rôde dans chaque vers. Mais, bel effort de création. Tu as des choses à dire, des comptes à régler. Tu prends du plaisir dans ce que tu rejettes. Sympa cette photo avec le billet de 10€..Gainsbourg jadis brûlait un bifton de 500 balles. Cela me fait penser à ce sketch de Poelvoorde, lorsqu'il tente de brûler sa carte bleue^^. Cela dit, c'est très compliqué d'écrire sur le dégout, sur la colère, sur le trouble..Saez lui-même n'y arrive pas toujours. Mais continue d'écrire, de "t'exhiber" (selon tes propos) si ça te plaît. =)
Link de Nova Il y a 14 ans

On voit ton influence principale. L'ombre y rôde dans chaque vers.
Mais, bel effort de création. Tu as des choses à dire, des comptes à régler. Tu prends du plaisir dans ce que tu rejettes. Sympa cette photo avec le billet de 10€..Gainsbourg jadis brûlait un bifton de 500 balles. Cela me fait penser à ce sketch de Poelvoorde, lorsqu'il tente de brûler sa carte bleue^^.

Cela dit, c'est très compliqué d'écrire sur le dégout, sur la colère, sur le trouble..Saez lui-même n'y arrive pas toujours.

Mais continue d'écrire, de "t'exhiber" (selon tes propos) si ça te plaît. =)

Ouais & putain d'ombre.. Ca changera rapidement, là c'est à cause de j'accuse, principalement, j'vais me remettre à écouter des trucs un peu bateau, j'risquerai rien. Après j'imagine que c'est pas le seul problème, même si essentiel. Ecriture dans les métros_ 1er Mai. Le temps des muguets. Lili au camp des nazis, Du vice chez les fous Et des gros clous Pour nos dessous Fini flash & orgasmes Bonjour marasme & toxicomanie Des dents qui grincent Aux p'tites manies, Regardez-vous, frères & soeurs Dans la contemplation de leur vie Ils vous étouffent dans leur parole L'heure est aux casseroles, T'as vu ta télé, star dans les académies, Ils vendent du rêve dans les partys Du déhanché dans les boites de Paris Au viol dans les p'tits bois De Boulogne ou autre on s'en cogne Tous dans la danse, On s'essaye aux différences Des p'tites lueurs aux grandes frayeurs Au Royaume des secondes "chances" Ici comme à Paris Midnight Express dans les stations Des p'tits trains, des p'tits chevaux, Du PMU dans les pubs, fini les tournées Le rock'n'roll, les assemblées, Propagande dans nos marchés, Corruption à la publicité Des capitaux pour les rigolos, On joue la comédie, on se noie dans les théâtres Le Cid est toujours là, planqué entre p'tites frappes Et les rictus des bourgeoisies Là haut dans les opéras, On est piégé à la manière des rats Adieu bohèmes & beaux poèmes, A nous les Don Juan & l'artisanat des Républiques A l'allure des gouttes dans la tempête Les bals sous domination pirate Des voiliers, des boat on passe aux boîtes Où la culture sent l'ordure, J'fais les cents pas & que vois-je? Des bonnes femmes dans la crasse des balais La Castafiore a la voix cassée La Castafiore s'est perdu, Dans les p'tites rues, chez les vicieux En voie vers une nouvelle virée, Au coeur des business légaux L'oraison est aux héros Alors que l'enfance de ma génération Vis avec son temps dans les cocktails Dans l'espace, on cherche des ails Imposture dans les Amériques T'as vu le moyen de vie des no-life Sans hygiène, entre pizza & caféine Branlette devant les écrans, Youtube diffuse des p'tits enfants Qui dans les p'tites soirées, Se voient gâtés, se voient dénudées Au fil des couturières, des amoureuses, Des fraîches crémières aux ouvrières Le 1er Mai ça va éclater, Pas besoin de programme, de méga-diffusion, Des réseaux, des tâches dans les toiles, A l'arrache, à la hache, On coupera les têtes de l'Elysée, Qui s'entête dans le blé, Raison perdu, œillères retrouvés Des absolutismes au classicisme, Moi j'ai trouvé le karma, Aux aléas des routes, j'ai croisé les sages, Les Bouddhas, les marxistes en rage Qui refusent l'illusion, qui refusent mirages Maman, tu t'en souviens? Des beautés & des joies du mariage, Tandis qu'aujourd'hui on s'engage Fini les amoureux du troisième âge Parisiens, Parisiennes, Prostitution en chaîne, Taylor a gagné, les cons sont tombés Comme les gouttes dans les averses, Des p'tits trous dans les converses Ca fait hippy, ça fait huppé! Duperie à tous les étages, Seigneur contemporain cherche vassal Pour un tour dans le sale, dans l'anal, Fini les bandits classieux, Bienvenue les dandys aux idées creuses Bouffe ta banane sur internet, C'est ça ta liberté? Du confort dans l'erreur T'as raison, tu crois voler dans les hauteurs Alors que tu nages dans les excréments de nos soirées A réfléchir, à lire & à créer On joue des mots & d'la musique, Ca commence par des jeux d'mots, Et fini par l'éclat de nos idéaux, des gros mots Dans les cours des récrés, Des crèches, des maternelles, prions pour leur génération, Déjà qu'on est passé, au cours des horizons Aux péchés dans les capitaux, fini les pèches dans les arbres, Les cultures dans les bleds de nos voisins Adieu Sud & modestie dans les commerces Au gré des averses, dans l'essai on traverse Les siècles de nos ancêtres C'est l'extase en tase-manie Salut l'despo, salut l'franco, Au pays des agneaux, sous la poigne des bourreaux, Bourrasque dans les villes là où philanthropie est derrière les barreaux Dans la cage résonne les rages de nos héros Les Hugo, les Sartre, les Balzac, Vieille littérature, ô sacre de la culture; A l'heure des maladies, Du sexe en transmission, comme les virus dans les PC Comme le peuple né nez dans la merde des WC Et des cachetons aux goûts de Paradis Des artifices dans les écrits, Fini la spontanéité des camarades Des fleurs du mal à la floraison des mâles Sur les balcons, on admire nos horizons, Avec Tulipe & les amis On se rapelle des premières mélodies Des lumières, de la Jacquerie, Des grands Jackys dans les rêveries Du trafic de quartier aux vols dans les mirages C'est la psychologie des foules, entrons tous dans le moule Formatage à tous les âges Mais non, mais non! Pour des euros on s'fout nu sur la toile Femme d'hier, des combats de nos frontières Dans les tranchées, les immigrées se voient violées Burka ou Air France il faut choisir Dans l'héxagone de nos provinces On t'avais prévenu, il faudra maintenant guérir La plaie immortelle, condamnés, séquestrés dans les pinces Des gouvernements, des p'tits princes, La camisole a perdu l'immaculée, Censure, démagogie, la direction est filé aux fêlés Des sentiments atrophiés & des p'tits discours pour t'encu_ Obliger de s'exiler en Asie pour fuir l'Asile des élysées Petit peuple endormi c'est l'heure de sortir du coma Comme avant, le temps des cerises va revenir Pour de nouveaux temples dans les églises, Moralité en dessous de tout, Curé bien nourri deviendra fou Corrompu par les polices, les milices & le gros sou Mais, pour satisfaire les villageois Offre leur de bonnes récoltes, Façon anciennes époques, quand les beaux temps Des vrais Princes, allons vers la Florence Retrouvons Léo, Botticelli & les Printemps A la brillance des cathédrales, Les architectures comme l'agriculture Ont été remplacé par les dictatures Des fachos en pâture, des milices fascistes S.O.S dans les foyers, S.S dans les terriers Brûlons du juif, brûlons du juif, On a la solution finale, comme c'est original! Ciao Temps des cerises, des belles églises, Des camélias dans les prairies Pyromanie, pas pire manie Que foutre le feu à nos cahiers, Fini la glace dans les batailles, A nous les guerres totales Qui vont avec nos systèmes totalitaires Totalement inégalitaire, la vie n'a pas de prix Pourtant sans le sou t'es obligé de vendre ta chair Dans les party, les hôpitaux, les psychiatries, Dans l'obligation d'vivre à l'allure des trains Des p'tites putains dans les cachots Des p'tits cachets pour vivre dans les réseaux Génération sous les fléaux, en flammes sont nos idéaux La pluie, les vents & les métros Ont pris la tendance du toujours trop/ Dans les stations, les radios, le Monde Et les journaux, on voit nos frères Comme des chiens, en chaîne, en laisse Ils se laissent faire par les fous & les fourrières Alors ouais, ta petite couturière noyé dans les fourmilières Epuisée par les préssées, les bureaux, les hommes d'affaires Elle cherche à s'en aller, à respirer ailleurs, On est d'accord : C'est la haine dans les émissions Et la débandade dans les pantalons Frère de sang empoisonnés sous le contrôle des publicistes Quand la culture devient complémentaire Sonnons l'alarme dans les clairières Des effluves dans les poissonneries Dans les veines, le venin agit Génération Tanguy, t'aimerai suivre le cours de ta vie Sauf que ta pouf est toujours en cloque, Lorsque t'es toujours en loque. Moi j'ai trouvé le surci Dans les trafics & les soucis Dans la vie de mes écrits, On peut chanter, on peut danser, Petit peuple c'est pas fini 1er Mai, on attend le retour des muguets Des joies, des sourires aux éclats Et les printemps déchaînés Hiroshima dans l'Etat, plus personne nous surveillera A la loupe, grâce aux fibres des technologies, L'espionnage & le voyeurisme sont à l'heure Mis à jour dans la nuit, dans la ronde Quand l'orage gronde, J'ai peur comme les p'tites fleurs sous les souliers ETAT en sale état, des belles paroles dans les fascismes Du FN & du racisme à la télé De l'audimat dans les prisons, Petits garçons regardent la boîte & apprend Aux heures de pointes, à l'allure des discours, Les mots choisis, les cerveaux sous contrôle On sent que quelque a mal joué son rôle Peuple ou Etat? Qui blâmer? Entre populasse, crasse & masse, Sûr que Voltaire était sûr de lui Que les gouvernements seront à leur paroxysme Quand Monde d'en bas se came pour faire du cyclisme...
Lili Il y a 14 ans

Ouais & putain d'ombre.. Ca changera rapidement, là c'est à cause de j'accuse, principalement, j'vais me remettre à écouter des trucs un peu bateau, j'risquerai rien.
Après j'imagine que c'est pas le seul problème, même si essentiel.


Ecriture dans les métros_
1er Mai.
Le temps des muguets.


Lili au camp des nazis,
Du vice chez les fous
Et des gros clous
Pour nos dessous
Fini flash & orgasmes
Bonjour marasme & toxicomanie
Des dents qui grincent
Aux p'tites manies,
Regardez-vous, frères & soeurs
Dans la contemplation de leur vie
Ils vous étouffent dans leur parole
L'heure est aux casseroles,
T'as vu ta télé, star dans les académies,
Ils vendent du rêve dans les partys
Du déhanché dans les boites de Paris
Au viol dans les p'tits bois
De Boulogne ou autre on s'en cogne
Tous dans la danse,
On s'essaye aux différences
Des p'tites lueurs aux grandes frayeurs
Au Royaume des secondes "chances"
Ici comme à Paris
Midnight Express dans les stations
Des p'tits trains, des p'tits chevaux,
Du PMU dans les pubs, fini les tournées
Le rock'n'roll, les assemblées,
Propagande dans nos marchés,
Corruption à la publicité
Des capitaux pour les rigolos,
On joue la comédie, on se noie dans les théâtres
Le Cid est toujours là, planqué entre p'tites frappes
Et les rictus des bourgeoisies
Là haut dans les opéras,
On est piégé à la manière des rats
Adieu bohèmes & beaux poèmes,
A nous les Don Juan & l'artisanat des Républiques
A l'allure des gouttes dans la tempête
Les bals sous domination pirate
Des voiliers, des boat on passe aux boîtes
Où la culture sent l'ordure,
J'fais les cents pas & que vois-je?
Des bonnes femmes dans la crasse des balais
La Castafiore a la voix cassée
La Castafiore s'est perdu,
Dans les p'tites rues, chez les vicieux
En voie vers une nouvelle virée,
Au coeur des business légaux
L'oraison est aux héros
Alors que l'enfance de ma génération
Vis avec son temps dans les cocktails
Dans l'espace, on cherche des ails
Imposture dans les Amériques
T'as vu le moyen de vie des no-life
Sans hygiène, entre pizza & caféine
Branlette devant les écrans,
Youtube diffuse des p'tits enfants
Qui dans les p'tites soirées,
Se voient gâtés, se voient dénudées
Au fil des couturières, des amoureuses,
Des fraîches crémières aux ouvrières
Le 1er Mai ça va éclater,
Pas besoin de programme, de méga-diffusion,
Des réseaux, des tâches dans les toiles,
A l'arrache, à la hache,
On coupera les têtes de l'Elysée,
Qui s'entête dans le blé,
Raison perdu, œillères retrouvés
Des absolutismes au classicisme,
Moi j'ai trouvé le karma,
Aux aléas des routes, j'ai croisé les sages,
Les Bouddhas, les marxistes en rage
Qui refusent l'illusion, qui refusent mirages
Maman, tu t'en souviens?
Des beautés & des joies du mariage,
Tandis qu'aujourd'hui on s'engage
Fini les amoureux du troisième âge
Parisiens, Parisiennes,
Prostitution en chaîne,
Taylor a gagné, les cons sont tombés
Comme les gouttes dans les averses,
Des p'tits trous dans les converses
Ca fait hippy, ça fait huppé!
Duperie à tous les étages,
Seigneur contemporain cherche vassal
Pour un tour dans le sale, dans l'anal,
Fini les bandits classieux,
Bienvenue les dandys aux idées creuses
Bouffe ta banane sur internet,
C'est ça ta liberté? Du confort dans l'erreur
T'as raison, tu crois voler dans les hauteurs
Alors que tu nages dans les excréments de nos soirées
A réfléchir, à lire & à créer
On joue des mots & d'la musique,
Ca commence par des jeux d'mots,
Et fini par l'éclat de nos idéaux, des gros mots
Dans les cours des récrés,
Des crèches, des maternelles, prions pour leur génération,
Déjà qu'on est passé, au cours des horizons
Aux péchés dans les capitaux, fini les pèches dans les arbres,
Les cultures dans les bleds de nos voisins
Adieu Sud & modestie dans les commerces
Au gré des averses, dans l'essai on traverse
Les siècles de nos ancêtres
C'est l'extase en tase-manie
Salut l'despo, salut l'franco,
Au pays des agneaux, sous la poigne des bourreaux,
Bourrasque dans les villes là où philanthropie est derrière les barreaux
Dans la cage résonne les rages de nos héros
Les Hugo, les Sartre, les Balzac,
Vieille littérature, ô sacre de la culture;
A l'heure des maladies,
Du sexe en transmission, comme les virus dans les PC
Comme le peuple né nez dans la merde des WC
Et des cachetons aux goûts de Paradis
Des artifices dans les écrits,
Fini la spontanéité des camarades
Des fleurs du mal à la floraison des mâles
Sur les balcons, on admire nos horizons,
Avec Tulipe & les amis
On se rapelle des premières mélodies
Des lumières, de la Jacquerie,
Des grands Jackys dans les rêveries
Du trafic de quartier aux vols dans les mirages
C'est la psychologie des foules, entrons tous dans le moule
Formatage à tous les âges
Mais non, mais non!
Pour des euros on s'fout nu sur la toile
Femme d'hier, des combats de nos frontières
Dans les tranchées, les immigrées se voient violées
Burka ou Air France il faut choisir
Dans l'héxagone de nos provinces
On t'avais prévenu, il faudra maintenant guérir
La plaie immortelle, condamnés, séquestrés dans les pinces
Des gouvernements, des p'tits princes,
La camisole a perdu l'immaculée,
Censure, démagogie, la direction est filé aux fêlés
Des sentiments atrophiés & des p'tits discours pour t'encu_
Obliger de s'exiler en Asie pour fuir l'Asile des élysées
Petit peuple endormi c'est l'heure de sortir du coma
Comme avant, le temps des cerises va revenir
Pour de nouveaux temples dans les églises,
Moralité en dessous de tout,
Curé bien nourri deviendra fou
Corrompu par les polices, les milices & le gros sou
Mais, pour satisfaire les villageois
Offre leur de bonnes récoltes,
Façon anciennes époques, quand les beaux temps
Des vrais Princes, allons vers la Florence
Retrouvons Léo, Botticelli & les Printemps
A la brillance des cathédrales,
Les architectures comme l'agriculture
Ont été remplacé par les dictatures
Des fachos en pâture, des milices fascistes
S.O.S dans les foyers, S.S dans les terriers
Brûlons du juif, brûlons du juif,
On a la solution finale, comme c'est original!
Ciao Temps des cerises, des belles églises,
Des camélias dans les prairies
Pyromanie, pas pire manie
Que foutre le feu à nos cahiers,
Fini la glace dans les batailles,
A nous les guerres totales
Qui vont avec nos systèmes totalitaires
Totalement inégalitaire, la vie n'a pas de prix
Pourtant sans le sou t'es obligé de vendre ta chair
Dans les party, les hôpitaux, les psychiatries,
Dans l'obligation d'vivre à l'allure des trains
Des p'tites putains dans les cachots
Des p'tits cachets pour vivre dans les réseaux
Génération sous les fléaux, en flammes sont nos idéaux
La pluie, les vents & les métros
Ont pris la tendance du toujours trop/
Dans les stations, les radios, le Monde
Et les journaux, on voit nos frères
Comme des chiens, en chaîne, en laisse
Ils se laissent faire par les fous & les fourrières
Alors ouais, ta petite couturière noyé dans les fourmilières
Epuisée par les préssées, les bureaux, les hommes d'affaires
Elle cherche à s'en aller, à respirer ailleurs,
On est d'accord :
C'est la haine dans les émissions
Et la débandade dans les pantalons
Frère de sang empoisonnés sous le contrôle des publicistes
Quand la culture devient complémentaire
Sonnons l'alarme dans les clairières
Des effluves dans les poissonneries
Dans les veines, le venin agit
Génération Tanguy, t'aimerai suivre le cours de ta vie
Sauf que ta pouf est toujours en cloque,
Lorsque t'es toujours en loque.
Moi j'ai trouvé le surci
Dans les trafics & les soucis
Dans la vie de mes écrits,
On peut chanter, on peut danser,
Petit peuple c'est pas fini
1er Mai, on attend le retour des muguets
Des joies, des sourires aux éclats
Et les printemps déchaînés
Hiroshima dans l'Etat, plus personne nous surveillera
A la loupe, grâce aux fibres des technologies,
L'espionnage & le voyeurisme sont à l'heure
Mis à jour dans la nuit, dans la ronde
Quand l'orage gronde,
J'ai peur comme les p'tites fleurs sous les souliers
ETAT en sale état, des belles paroles dans les fascismes
Du FN & du racisme à la télé
De l'audimat dans les prisons,
Petits garçons regardent la boîte & apprend
Aux heures de pointes, à l'allure des discours,
Les mots choisis, les cerveaux sous contrôle
On sent que quelque a mal joué son rôle
Peuple ou Etat? Qui blâmer?
Entre populasse, crasse & masse,
Sûr que Voltaire était sûr de lui
Que les gouvernements seront à leur paroxysme
Quand Monde d'en bas se came pour faire du cyclisme...










A la recherche d'une muse, A la recherche d'une jolie interprète, A la voix brisé, au sang brûlé Petite chante les printemps En repensant l'ancien Temps, Allez, allez, envoyez vos flows, Par millier, des flots de paroles Des kilomètres de vers; A l'heure où c'est fini les solidaires, Moi, en solitaire je m'éclate, Dans l'éclat de vos sourires, Dans l'ivresses des nuits faites d'envies Jouissance, abstinence Des bandits on passe aux dandys Même les drugs changent, Génération p'tite coupure, Snif du pneu & crève heureux Sûr que ma génération est gâté Dans les batailles de l'illusion Quand reste que le virtuel, Moi j'dis Adieu ma génération, Des cons seuls gravant des p'tits mots Avant, à Noel on voulait du Molestine Avant, à Noel on songeait aux clémentines Tout comme Poe, on écrivait des histoires étranges Dans le change monnaie, tout ça est dépassé Alors à l'orée de feux nos champs de blé, C'est fini les p'tites prairies, à l'or du blé/ Dans l'écoute, sous les gouttes, je repense aux Strange Days Des Morrissons, des fous, des Mansons Pas les p'tites maryline au p'tit cutter Qui dans la chair s'enfonce lame au coeur Adieu les campagnes, les clairières, les jachères Moi j'avance vers la capital, des p'tits vers pleins mes cahiers Et à l'écoute, c'est les Jours Etranges qui défilent Dans l'iphone, dans l'iPod, t'as vu le paradoxe, On l'heure où tout un chacun cherche Sans pour autant se mett' en mode chevrotine/ Mais non, mais non, On est à l'heure des consoles, Playstation. Play dans la station. Métro, chaos, opéra raté à l'apéro Des p'tits rats traînent dans les beaux restos Et nous, ptit peuple du Premier Mai Des révoltes, des travailleurs, prolétaires, Coco, Rouge au coeur, c'est le Coeur au Carreau Populasse laisser sur le carreau Tu l'as sens la carrote, fini les charlots, Les belles filles des rues, à l'heure d'la mondialisation, D'la folie, des réseaux, impossibler de trouver une belle frenchie Dans nos rues, sur nos trottoirs, flirtant avec les lampadaires, Au temps des lampes & des lumières Artifices, simule, fais la mule, télécharge moi dans ta chatte Que du bonheur pour tes p'tites pattes/ La rage_ Je serai à Paris ce week end, si y en a qui veulent faire un peu de rock'n'roll de grand mère à la mémoire des révoltés, des travailleuses oubliées dans les baby boom, c'est dorénavant bébé dans les booms. Faut changer ça.. Donc si ça vous dit, envoyez un mail : just.vincent@hotmail.fr / Peace
Lili Il y a 14 ans

A la recherche d'une muse,
A la recherche d'une jolie interprète,
A la voix brisé, au sang brûlé
Petite chante les printemps
En repensant l'ancien Temps,
Allez, allez, envoyez vos flows,
Par millier, des flots de paroles
Des kilomètres de vers;
A l'heure où c'est fini les solidaires,
Moi, en solitaire je m'éclate,
Dans l'éclat de vos sourires,
Dans l'ivresses des nuits faites d'envies
Jouissance, abstinence
Des bandits on passe aux dandys
Même les drugs changent,
Génération p'tite coupure,
Snif du pneu & crève heureux
Sûr que ma génération est gâté
Dans les batailles de l'illusion
Quand reste que le virtuel,
Moi j'dis Adieu ma génération,
Des cons seuls gravant des p'tits mots

Avant, à Noel on voulait du Molestine
Avant, à Noel on songeait aux clémentines
Tout comme Poe, on écrivait des histoires étranges
Dans le change monnaie, tout ça est dépassé
Alors à l'orée de feux nos champs de blé,
C'est fini les p'tites prairies, à l'or du blé/
Dans l'écoute, sous les gouttes, je repense aux Strange Days
Des Morrissons, des fous, des Mansons
Pas les p'tites maryline au p'tit cutter
Qui dans la chair s'enfonce lame au coeur


Adieu les campagnes, les clairières, les jachères
Moi j'avance vers la capital, des p'tits vers pleins mes cahiers
Et à l'écoute, c'est les Jours Etranges qui défilent
Dans l'iphone, dans l'iPod, t'as vu le paradoxe,
On l'heure où tout un chacun cherche
Sans pour autant se mett' en mode chevrotine/
Mais non, mais non,
On est à l'heure des consoles,
Playstation. Play dans la station.
Métro, chaos, opéra raté à l'apéro
Des p'tits rats traînent dans les beaux restos
Et nous, ptit peuple du Premier Mai
Des révoltes, des travailleurs, prolétaires,
Coco, Rouge au coeur, c'est le Coeur au Carreau
Populasse laisser sur le carreau
Tu l'as sens la carrote, fini les charlots,
Les belles filles des rues, à l'heure d'la mondialisation,
D'la folie, des réseaux, impossibler de trouver une belle frenchie
Dans nos rues, sur nos trottoirs, flirtant avec les lampadaires,
Au temps des lampes & des lumières
Artifices, simule, fais la mule, télécharge moi dans ta chatte
Que du bonheur pour tes p'tites pattes/
La rage_


Je serai à Paris ce week end, si y en a qui veulent faire un peu de rock'n'roll de grand mère à la mémoire des révoltés, des travailleuses oubliées dans les baby boom, c'est dorénavant bébé dans les booms. Faut changer ça..
Donc si ça vous dit, envoyez un mail : just.vincent@hotmail.fr /
Peace

[size=10]J'ai publié ça sur FB, c'est pas passé, censuré en deux heures, je m'en doutais, normal, mais ils assurent leur RG_ J'sais pas si vous connaissez Michel Onfray, perle rare dans la philosophie contemporaine, mais il a rencontré notre petit despo' en 2007, & ça a donné quelque chose comme ça, je publie pas l'article entier car j'arrive pas à l'lire sans gerber & ce soir j'ai décidé d'être posé, j'reviens d'un road trip face à la nature, de la verdure à la montagne, des campagnes aux mers enchainés, où j'y ai sacrifié toutes mes futilités. Et ci-dessous quelques passages clefs qui vous permettront peut être de mieux cerner le profil psychologique de l'aspirant à la présidence de la République française. "agresse, tape, cogne, parle tout seul," "Une, deux, dix,vingt phrases autistes." "Hâbleur, provocateur, sûr de lui" "Cet homme prend toute opposition de doctrine pour une récusation de sa personne" "Cet homme tient donc pour vain, nul, impossible la connaissance de soi" "l'animalité, l'olfaction,l'odorat. Le degré zéro de l'humanité donc " Avant de commenter plus exhaustivement cet entretien, penchons nous briévement sur la notion de psychopathie. Ceux qui sont intéressés par le sujet pourrons se reporter à l'excellent ouvrage "Without Conscience" écrit par celui qui a permis d'immenses avancées dans le domaine : Robert Hare. Tout d'abord il faut avoir à l'esprit que les médias ont dressé un portrait très parcellaire voire même trompeur de la psychopathie. Hannibal Lecter représente une fraction infime et extrême de la population des psychopathes. De nombreux tueurs sanginaires ne sont pas psychopathes et la grande majorité des psychopathes n'ont jamais tué qui que ce soit. Hannibal Lecter peut donc être considéré comme représentatif de la minuscule fraction des psychopathes ratés. En résumé un psychopathe est un individu dépourvu de conscience. Sans tomber dans d'interminables développements philosophico mystiques, la conscience peut être considérée ici comme la capacité d'un individu à éprouver de la compassion, de l'empathie, des remords, des regrets, tout simplement à être touché ému par la souffrance d'autrui. En outre la psychopathie peut être innée (via un héritage génétique autosomal) et/ou acquise. Le résultat étant in fine le même : une absence de conscience, c'est à dire l'absence de ce qui fait l'"humanitude" d'un être humain et l'humanité d'un groupe d'êtres humains. Et ici réside l'un des plus grands pièges, les êtres humains lorsqu'ils sont confrontés à de tels individus leur prêtent des spécificités (liées à la conscience et à son activité) que ceux-ci ne possèdent pas. C'est ainsi qu'une pseudo rationalisation opère, expliquant des comportements discutables comme la manipulation, l'aggressivité, la menace, l'ambition par des causes erronées (dans ces cas-là) comme le surmenage, les difficultés pendant l'enfance, le stress, ... Michel Onfray a merveilleusement débusqué le loup derrière le costume de mère-grand lors de son échange à propos de la phrase de Socrate "Connais toi toi-même". [b][size=29] Extrait de l'échange en question : "Dans la conversation, il confie qu'il n'a jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate «Connais-toi toi-même ». Cet aveu me glace -- pour lui. Et pour ce qu'il dit ainsi de lui en affirmant pareille chose. Cet homme tient donc pour vain, nul, impossible la connaissance de soi ? Autrement dit, cet aspirant à la conduite des destinées de la nation française croit qu'unsavoir sur soi est une entreprise vaine ? Je tremble à l'idée que, de fait, les fragilités psychiques au plus haut sommet de l'Etat, puissent gouverner celui qui règne !" [/b][/size] Pourqu'un individu entame l'Oeuvre, le travail sur soi (qui constitue certainement une des très rares entreprises qui mérite véritablement d'être poursuivie), il doit commencer par observer et comprendre ses croyances, ses peurs, ses mécanismes. Pour cela une dualité est nécessaire : * d'une part, un observateur (la conscience) * d'autre part, un observé (le mental / l'égo) Pour un psychopathe, cette démarche n'a aucun sens car il n'existe littéralement pas d'observateur. Quand Nicolas Sarkosy récuse la phrase de Socrate, ceci n'est pas le fruit d'une réflexion philosophique, d'un manque de connaissance du thème abordé, d'une haine aveugle des philosophes grecs. Non il s'agit simplement et terriblement d'un aveu sincère relatif à sa propre nature. _ Pour l'article complet : http://pouvoiretpsychopathie.hautetfort.com/archive/2007/04/24/entretien-onfray-sarkozy.html Perso j'suis incapable d'en lire plus, c'est à gerber, à transformer le silence de l'agneau en violence de l'hannibal, de l'authentique lecteur des moeurs. Reveille-toi peuple petit mouton_ ___ Après Onfray/Sarko C'est Jules qui fait la nique à Nico/ T'es taillé comme un hobbit pour tenir la bite de la baraque Americaine, Des Rambo, des baraqués, c'est Obama Beach dans la baraque à Bitch, pas besoin de ton Maille-à-mie, j'ai mes amis dans los cities/ Du Canteleu repeins en bleu aux balances qui coulent dans la Seine comme ta merde dans ta veine, C'est l'retour de Vichy dans la benne, pas d'azur dans nos ruelles, juste des coups d'opinel pour les infidèles, des fautes sur les murs & les couturières sont d'retour pour recoudre nos sutures, sûr qu'on a la haine au front comme J-M La petite peine featuring Nico le Néo-facho, nettoyons ça au karcher sur le ring/ Envoie le beat, on va revenir au temps des beat-nik, des jazzmen des Vian en Flash dans les manèges des orgasmes au théâtre du Blues, la musique est là, antithèse de nos états, t'as vu la gueule de nos préfets? Fier de descendre des près, des singes & des dinos plutôt que sortir des jupons d'ta mère l'démon, le Sheitan est partout, sache qu'y a du vrai partout & du faux dans tout_ La magie des paradoxes, tu contrôles ou t'es dominé, choisis ton camp, nature ou infrastructure, méga-manufactures déportés façon Juif par les nazis, les nico en crise, on les calme avec nos tam-tam, dans ta gueule ça fait BAM, ose me parler des classes, des masses, des races & tu verras que j'ai la colère du chien enragé, tu veux nous caser grâce à tes limites, à tes p'tits codes, avec tes satellites tu veux tout décoder même la langue d'E.T, même les cris des Yétis, c'est du Spielberg dans nos faubourgs, c'est la mélancolie des gerbes, fini les belles germes, c'est toi qu'on va planter mégalomane aux sales manies - comme tes mains - qui violent les filles dans les bordels, dans les partys, dans les manifs! Allez, envoie le beat, allume le stick & c'est parti : Petit nain, retourne dans les mines Avec tes micro-mains, tes aristo-crassies Ici c'est pas les resto du coeur, calme ta vessie Sinon, ENSEMBLE, on t'enchainera sur une mine & ça s'réglera à la baramine/ Style barbarie moyen-âgeuse avec ta nouvelle technologie Ton p'tit confort, que tu prônes si fort Terroriste en choeur, terreur triste pour nos soeurs/ T'inquiète pas qu'on va s'en sortir; Sans tes party à dix milliards, On vise pas que le dollar, on a la haine, dans les crash, les p'tits mollards Pour les dieux du bobards; Pour les fils de salopard; Les micros, les RG, les blédars du Capital, Les taupes du Capitol; délateur sans coeur, balance tu pèses léger - toi & tes idées; On réveillera PARIS, on pari Ami sans âme? T'oses insulter les grecs, les dieux de l'olympe Alors sans déc on va pas "LOLer" Rigolo de néo-libéraux, tu sentiras nos MAUX Des écrits extrêmes à nos cris de HAINE, T'as fais de l'El Dorado la Sou-France Et les gros sous ont transformé Nos Donald en Pic-sou, Campagne de Macs Fini les cascades, les rodéos, les roméos; Apple quand tu nous tiens, Eve quand tu déteins Dans les vils, sur les vilains; Appelle les télécons pour du crédit, téléphone rose & PèrNo' A noel, il est parti loin l'noé & son arc-en ciel, Fini les Christ & les J.MOULIN Plus que des Chris dans les campagnes, Schizophrénie dans nos refrains, Folie, oh oui, oh oui, pour mes re-frès - doux comme le miel Folles à lier comme nos curés, les bonnes soeurs qui tapent; Frappe petite frappe encore une fois sur mes pairs Et tu goûteras la puissance des prophéties, des profs en rogne dans les cities; POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS Le collectif a gagné; fini les Socrates, ils ont mis l'académie sur le trottoir Dealeur d'aurore, dealeur d'illusion, des paradis artificiels on passe aux paradis SUPERficielles Comme les culs des minettes -attaché à la superbe ficelle & qui tournent à Sarcelle Ne restent que des aristos du cul, qui se vendent; des corrompus, Platon ne sera jamais mis à plat par les rois du béton; Laisse tomber Société tu m'auras pas Moi & ma belle aura, Société tu m'auras pas Comme t'as pécho Renaud; Comme t'as bouffé les idéaux, la mémoire des Homos; Des misérables victorieux - des Hugo Et des gitans dans les camps! Et des tsiganes planqués dans les campagnes! Société tu n'auras pas Société. J'ai tout compris, des jack à mes potes T'es là, toi, avec ta belle psychiatrie, tes cachets pour nous cacher, Tes pilules pour nous planquer! Là, avec ta chimie des blondes, S.S S.O.S C.R.S faut que ça CESSE! T'es là, TOI dans l'aléas des calculs, des ADN ARMES de Destruction NATIVES ARMES de Déglingué Nationaliste Et ça rime toujours avec fasciste... Toujours dans l'extrême, dis-moi qu'est-ce que t'aimes? Le profit, la grandeur, le contrôle des foules grâce à la psychose des choses, Tu vois comme ça saigne, entre bavure & vengence, souviens-toi des émeutes, des tas de têtes tombés Par mes frères qu'on a brûlé, qu'on a ramené puis délaissé! Chiens d'la casse, chienne en crasse, en LAISSE comme nos JOURNAUX. Mais pour en revenir à nos moutons... Société tu m'auras pas! Tu te sers de la nostalgie, toujours àl pour la ramener avec le peuple martyrisé; Société anti-sémite, Société libéraliste Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines, C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros. Micro despot, micro escroc, micro PC, Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare] Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets, J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer Et j'ai regardé : Société, Toi, t'es là avec ton Devoir de Mémoire, au lieu d'faire ton devoir de Morale, Tu vends ta mort à prix cher, avant on payer pour le paradis, maintenant on met de côté pour la mise en bière; Ivrognerie oblige, enivrez-vous, de l'excès au décès; sûr qu'ils vont payer! La DETTE de l'etat c'est pas 100 Miliards de dolls, Poupée, crache ta rage sur leur visage, t'as vu la gueule de leur état, Etau, coup de couteau dérrière les barreaux, au pays des bourreaux On gagnera la contrôle des taureaux s'il le faut, Eux ont pris le contrôle des terreaux, des terasses, des grosses liasses. POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS De Lille à la ce-fran d'en bas, Du Nil à nos belles villes; Tu veux nous dominer, nous plonger, régner sur tous; Quand nous on subit le martyr des élysées Quand nous on va la cramer ta marianne des campagnes Toi tu sais que t'es rien sans nous, Alors t'attaches nos mains, liens déliés dans les délires des félés Nous on arrache les capitaux, les capilaires, les commissaires, Ma belle France - des lumières Des hémisphères, des mélanges qui t'dérangent Quand l'occident s'arrange avec l'orient Quand l'occident a bouffé Adam, Soeur voilé, sire violé dans les campagnes Par les compagnes des îles; C'est Mac Fly en feat. avec les p'tites bites du Sky, Fini les coups de blues, y a plus que des bleus dans nos ruelles; Plus que des p'tites frappes en vélo volé, à l'opinel Et trop dka-vo dans l'oasis, comme dit Mr Yo, Alors c'est tout nouveau, c'est à la de-mo, now c'est illico dans l'caniveau; Illicite chez les militants des terres, Gars à ta gare - petite garce - on la transformera en CAVE Pas pour les camés, on t'consumera aussi vite qu'une camel, Gare à toi, vigilance aux Robinson des bois Du Blois à nos toits, Ce sera Pyromanie sur TOI qui prône le multiple MOI, Ce sera le grand incendie pour combler nos Noirs, On fera des bars à pines des baramines Des bols de Chine, Des Marques à l'étau à ton polo - maqué, marqué - cramé par ton vieux bédo coupé à l'eau, Mort aux cons, on vous fume comme un beau marroco, T'as fais du Maghreb un lieu de vacance; Lobotomisation, obliger d'se mettre en mode labo Coupe ta Cam en mode B.E.P chimie En mode Chichi, les nico on les nique, Jusqu'à la moelle, jusqu'au derme, Pas de quasiment, génération TOUT ou RIEN Génération des vils, Populace en crasse, Masse à la DAS T'as fais du SIDA un commerce, vendre de la sécu Fini l'époque où l'on pouvait faire tourner l'taquet Comme le pét, now obliger d'foutre du latex sur sa quequette/ On rallumera la flamme, on allumera ta FEMME Fausse brune, imposture des couleurs, Au sommet des apparences, t'as transformé mes Pères Les Rimbaud, les Voltaire, Les Rousseau, les Baudelaire En pairs autodafés au lieu de les épitapher dans l'aléatoire des mémoires C'est Hélène qu'a bu la tasse, trop de caféïne dans l'héroïne. POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS Société anti-sémite, Société libéraliste Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines, C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros. Micro despot, micro escroc, micro PC, Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare] Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets, J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer Et j'ai regardé : Frère d'errance, chien des crans cran d'arrêt dans l'arrête, craque l'allumette sur l'essence, Ils ont craqué nos lunes avec leur sat' Au temps des élites, piraterie dans les toiles Fini les bacchanales, les femmes à poils, Politique anti-capillaire, politique atomique Des nucléaires pour les p'tits jap' Des spy-kids dans les bols de pattes Même Walt Disney se prostitue dans le salle, Dans les cinés, du Trois D en Avatar Fini les beaux-chars de Troie, Quand t'as pris le contrôle des métampsychoses Arrête Jules si tu peux, Pas besoin de virgules, juste des vers qui coulent Comme nos douilles, comme l'essence des mes COUILLES, Fini le bel-âge, les p'tits moyens, les bons Jacquots, les vrais, les grands Jacques Les Jacouille, les Jacqueries, les Jacky Au pays des tunes & des voitures customisés Comme ta blondasse, comme ta pétasse, Regarde tes lolos refaits comme Michael Fini les Jacksons, les Harley Davidson, Au pays des danseuses, au milieu des descentes Du coca à la paille on passe à la coco de Mexico Pour s'mettre HIGH, pour s'faire d'la MAILLE Ton sourire j'vais le tailler, comme t'as coupé ma verdure, ma nourriture, mes belles patures Ordure t'as pourri nos bols de riz Pas d'bol, tu vas sentir nos cris, Grâce à l'encre, autodafé dans tes décrets Pays des intermédiaires, fini l'beau Siècle; Les Colbert, les Saint-Louis, jachère dans nos clairières, Des familles nucléaires qu'on explose à l'atomique Connais-toi toi même, si tu veux qu'on t'aime Ah ah, Moi tu me reconnaîtras quand on t'cramera sur le toit de tes illusoires; De nos idées noirs, prend Garde aux fils Des messes violés, baffés, frappés Mesrines mes rimes sont à ton honneur Parole d'homme interné dans les Quartiers Les Hautes Sécurités, regarde nos guettos Des caméras pour nos impôts, tu payes plus cher l'antivol que l'vélo, Sûr qu'on va t'violer toi & loves Génération SEX-TOY-STORY Pas b'soin d'loft, juste de la flotte Et le poison dans nos boissons T'as trouvé LA SOLUTION FINAL Dans l'anal, chez les joueurs de violons Jeunesse étudiante, chiennes errantes Dans les airs, écoute ma voix en colère Diffusion dans la veine, transmission en hiver Télécharge ma haine, transfusion de peine Rage & courage, des flèches pour vos carreaux_ Société anti-sémite, Société Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines, C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros. Micro despot, micro escroc, micro PC, Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare] Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets, J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer Et j'ai regardé : POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS Epoque des classes, des codes, des modes, fini les tendancieux, welcome les faSho, les nouveaux Boileau Moi j'enterre tes classicismes, au temps des populaires Populace en laisse, masse trop las France d'en Bas, frères des bars, des mèches dans les basse-cours, fils à papa, heureusement 'reste les MAMA Comme Oxmo, j'épuise mes os & mes mots Dans le flots des réseaux, dans les nouveaux fléaux Pestilence, Guerre des finances, Famine en CHINE On a la dalle, ça vient d'la rue, ça vient des bases d'Al Quaïda, Hip Hip Hourra Hip hip hip la pipe, fini les hippies Fini les piquouze à la pisse pour nos duchesse, Les rastafari îvres au sky, révolté les mères Ciao muchacho, tout mou, fini les too much Now c'est tout moche au temps des hics Des tics en micro-filtre, tueurs de pics, de sommets, regarde les r'traités/ En mode économie, en mode traitres anti-famille, Oh oui Mamie, rock'n'roll pour les frivoles, Fini les noels, le bon christ s'est transformé en terroriste, Toujours les mains sales; dans la cheminée Ils croient illuminés nos idées avec leur corruption Alors ce sera la Nuit des Longs Barreaux, Des gros barbares, t'inquiète AMI Bulgare Nos soi-disantes tares nous rendent ANAR Pas b'soin d'se vendre dans La Nuit des Blaireaux, Ce sera la nuit des Gros Bourreaux, Fais gaffe bourgeoise des faubourgs C'est pas avec ton Beaubourg que tu vas nous bourrer la gueule, hurlements & gueules de bois; Pas b'soin d'mentir sur son vécu, t'es vaincu, Moi c'est Robin des Bois qui r'vient du Blois pour boire avec Toi, Frère de rue, frères des crues_ Et on chiera dans ta culture, dans tes centres Macro-commercial, big mac-ro des p'tits héros, Alors avec Kiril & sa prunelle, on brûlera tes ailes d'artificielles, On brûlera ton ciel des super-fils de putain, De catins, prostitution des coeurs, Des soeurs en putes, des frères en chute C'est le front de la Haine, la cité des Dieux, Ze pequeno le déglingué m'a tout appris, Dès la naissance l'Etat m'a tout pris Alors dans les prières de mes proches, moi, j'ai retrouvé la nostalgie d'hier, Les vrais proverbes, les pros d'la prose, pas besoin d'repos, POLICE MILICE FAUT LIBERER Société anti-sémite, Société Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines, C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros. Micro despot, micro escroc, micro PC, Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare] Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets, J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer Et j'ai regardé : Ecoute, les gouttes, acide dans les torrides; J'suis pas Rimbaud, j'arrêtera pas à 20ANS Pour mener une vie de trafiquant, ciao Vincent l' truand, dorénavant c'est Jules aux mils crépuscules, J'veux pas d'tes prix, d'tes académies, ton tapis rouge sang garde le pour tes stars de cinéma; J'préfère les Truffaut à l'oeil truffé, les Kurosawa au temps des samouraïs & des Godard pour les anars, On vise les étoiles, le système lunaire & les belles terres Oh yes mon frère, toujours dans la lune, Des belles nanas au sommets des mats A l'eau facho, j'suis le matelots des Faux De l'authenticité des té-cis, on s'rase pas les sourcils, On garde la be-bar comme les talibans, Autour de moi; pin-up sur les bancs & de l'argent qui remplace le sang Y a plus de place pour nos bancs de thon, On revient au ban; J'aime à penser qu'Ils ferment les gares pour qu'nos clochards s'endorment à la belle étoile; Direct branché de la moelle à la dune; Pas besoin de thunes pour les rêveurs, le fil de la pensée qui pique comme l'aiguille, Frérot pose ton taquet, joue d'la prose & fais du tac-au-tac, sois au taquet comme Cam; Dans l'Mil, on s'en fout d'tes millions, nos mains sont moins sales que ton pognon, Embrasez-moi, embrassez-vous, allume-moi poupée & j'te jure que j'te montrerai; La joie des filles de la rue, des grosses noix pour Calme mes émois du sur-moi, calme mon mois de Mai cherry, Au temps des belles cerises on n'aura plus besoin d'grosses mises, ni d'prise pour être relié; aux Dieux, aux puissances; les contrôleurs des sens, Alors, on roule, on roule dans la réserve, On roule, on roule sans gasoil, sans rétro Pas besoin d'ça pour la mémoire, si tu te retournes c'est coups de couteau dans le dos; du crade dans la rate façon pirate/ Sens l'essence qui saigne du corps; c'est le Christ qui s'fait sévices dans les prémices des délices d'Alice. C'est déjà fait, quand toi tu lisais des contes de fées Lacets défaits, poches troués, Ton seul pote c'est toi & ta poche, Ton seul pote c'est toi & ton porche, Ton seul pote c'est toi & tes proches Ton seul pote c'est toi & tes cloches, Alors envoie le Dong, envoie le Bang, On va s'la jouer à la king kong Des piles aux loosers d'idées, pas besoin d's'épiler, C'est du sans permis, sur nos vélos refaits, dans nos govas lé-vo aux bobo, La vie c'est pas du légo, t'as cru que c'était la kermesse? Nan c'est la bonne messe -alors moi- ton Etat je le laisse entre les filets de Jack Mes' Ferme les yeux & regarde Ferme ta bouche, arrête le colgate, temps des barrettes, des beurettes sur YouPorn, moi ce que j'aime c'est les mélanges façon Jambon Beurre, Moi c'que j'crains c'est les écrans qui rendent accroc comme l'héro, à cran comme l'artisan sous payés pour ses idéaux; noyé dans le flots des maux, regarde ta mère plongeait dans la toile, mets les voiles & va rejoindre les étoiles/ A tenir un flingue, à bouffer les baltringues/ POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS ESCROC FACHO Le PEUPLE aura TA PEAU_ p.s : comme d'hab ce n'est qu'ébauche en débauche, on verra plus tard, j'pose seulement les bases, y a milles coquilles, plein d'oublie etc. mais c'est ça la magie des aléas. Sautons Nos Controleurs Fiscaux_ Lorsque les compagnies de services partent en campagne de sévices & finissent par sombrer dans le privé c'est qu'il est au moins l'heure d'appendre à crier; Et je pèse mes mots sur une balance à C/ Assez! Les controleurs ont perdu leur goût du contrôle des leurres, Avant ils pouvaient s'amuser à jouer les détectives privés, dorénavant tout l'est, la muse est publique, la mise est critique/ Alors c'est misère à chaque wagon, pour chaque rêveur, chaque vagabond qui tient un putain de crayon; Fini le temps où l'on allait à l'aveuglette au bruit de l'allumette, y avait d'la rage, des cendres et on avait même pas à descendre/ Plus bas, plus bas, toujours abattre les grosses frappes, tous les jours dans le théâtre des p'tits macs; Allez mon frère craque, allez ma soeur éclate, allez tsigane sors de ta caravane & joue là-toi pyromane, allez l'homo tape dans l'cul des salauds/ Fini, fini, l'époque Romane, antiquité oublié, Olympie souillé - toi - & tes beaux sommets Craqué par les nouveaux pirates qui regarde les sommes couler à flots/ Stupide ai-je été en pensant que sur les lignes des sud & du midi le soleil remplacait le mépris, Stupide ai-je été en pensant qu'il était encore l'heure de voyager sans y mettre prix/ Perdu dans la fraude & les contrôles, le bleu n'est plus ciel, le blues est devenu FLOUZE; Aujourd'hui à n'importe quel or, c'est POLICE, MILICE, et t'as vu leur délice?!/ Oh oui, tu jouis quand tu la colles- ton amende; Oh oui, tu cris, c'est la folie, petite mort quand tu fous un clocho à la porte/ Oh oui, oh oui, on va couper tes glandes, tes p'tites amAndes on va les fendre; Et ta face dans les rails, l'hérOs s'efface - la gueule dans la paille, pagaille, aïe, t'es DIE ...fais gaffe à ta MARMAILLE trop HIGH à cause de ta MAILLE/ Alors, on veut des cris dans l'hémisphère car c'est vraiment le minimum qu'on puisse faire; Et s'il faut passer par la révolution, s'il faut démasquer Sion & rebâtir feu nos maisons/ Je serai là, toujours sur la paille en train d'allumer la MECHE; De nos pétards à leur coiff ridicule de petits bourgeois, regarde le trône des nouveaux rois/ A l'élysée, élu par un peuple félée, à l'église on est violé par des curés/ T'as vu la gueule de tes parents blindé, privé, comblé mais à crédit dans la pharmacie Des p'tits cachets pour les planqués, des p'tites pilules pour leur cellules/ Et c'est toujours le même cercle, le même vice, c'est PARCIMONIE lorsqu'il faut donner monnaie aux démunis La vieille richesse est sous anxyolitique quand JEUNESSE se pique! Et pendant qu'on est en communauté basé sur le re-fré DamDam, autant poster mes ressentis du 5/5 A savoir que vous m'avez peut être vu sauter partout, désolé si j'ai fais chier mais c'était nécessaire, c'était thérapeutique & j'voulais voir les gens bouger au lieu de se laisser insulter comme de la merde, mais bon, depuis sûr que j'ai compris que la psychologie des foules, que ce soit en mode Staline ou Morrisson, c'est pas pour moi_ Dit l'insouciant devant l'Bouddha, nature & pourriture quand tu nous tiens dans la veine & que dans l'aiguille ça goutte, ça saigne...Heureusement que nos Pères sont là, les Rimbaud, les Mozart, les Van Gogh, les Molière, les Levi Strauss, les Solidarnosc, Les clochards célestes de la capital, de l'anti-capitaux, des fous capable de tout qui terminent au CAPITOL_ T'as vu comme on souffre dans nos Frances, à l'heure du pluriel, entre la France d'en bas & celle d'en haut maintenant y a même des intermédiaires, au pays d'la coupure, j'te dis pas la rage que j'ai quand j'vois ma verdure coupé au vert pillé... Et j'te parle même pas des camés qui pensent être héroïnomane alors que c'est les plus jeunes qui deviennent junkies à la caféine, au paracétamol, pas besoin de te faire un dessin mon frère je sais que dans les misères, les fléaux modernes, on a les mêmes vies & c'est ainsi que j'ai pu comprendre le sens du mot "frère", on peut dire que t'as fais ça pour moi & j'aimerai -de ce fait- beaucoup partager avec toi. Normal vu tout ce que tu m'as apporté & je suis sûr de faire un sujet parfait, sans petite pression ou grande prétention, j'ai vécu la fight dans les clubs, la cavalerie dans les rues du Paris & qu'est ce que c'est simple. Putain d'summum qui vendent du rêve au petit peuple, c'est la pomme qu'on croque, c'est Eve & Blanche Neige, Sauf qu'il ne reste que des gouttes acides pour les capitaliens, les capitalistes, les capitaines du front des haines, les p'tits capos, les p'tits fachos... Hey STAN, sache que tu m'as beaucoup déçu le 5/5 (ça ressemblait au 6.6.6) je pensais que tu ferais les choses bien mais tu t'es écroulé sous le flot des émotions, des artifices (??? ton regard puait la mort, c'était beau au départ mais y a pas d'espoir dans la drogue tu sais, ça marchait au temps des morrisson, au temps du rock'n'roll, aujourd'hui regarde les gamines crèvent dans les boîtes, les partys, après un gobage d'extase, décès sans excès, juste à cause de la volonté d'un voyage en taz-mania. America quand tu nous tiens, on le sent ton GODE qui blesse... Et les tours d'avance, bientôt ils sauront rattraper par les p'tits chinoises, les vrais filles de joies, P.S : là j'ai fais un retour à rouen, j'ai vécu à la manière de Sallinger dans l'attrape coeur & j'ai retrouvé mon insouciance, mon innocence alors mes traits se sont amincis, je suis devenu belle gueule comme Johnny quand il avait la rage.. Et donc, désolé pour le manque d'ordre mais on fonctionne dans l'instantanée, la spontanéité alors yeah je sais que je suis compris & que jamais tu ne me traiteras de fou car tu sais qu'y en a pas, y a juste les différences que les montagnes artificiels ont crée. La folie des GRANDEURS_ Et donc, demain (12/5) je passe à Paris, puis j'quitterai beaubourg & les grands faubourgs pour Strasbourg, voir s'ils ont la chaleur à la saucisse, où si c'est des rumeurs, j'arrive un jeudi soir alors sûr que si y a d'la jeunesse ça bougera comme les p'tites connes dans les Aston ( ;) ) qui bougent leur fesse sur les danceflooors, fini les danses des fleurs... Le 13 je décolle pour le Sud, peut être Lyon. Et le 14 je serai à Montpell', entre autre pour toi, et je sais que j'retrouverai ce que j'ai pas pu voir en toi mercredi 5. Tu vois j'étais tellement écoeuré que j'ai du me faire souffrance, c'était ouf je sautais partout, je m'éclatais la gueule façon Iggy Pop pour me sentir en vie mais on peut dire que t'as quand même été mon héroïne pendant deux heures surtout que je suis en cure & sevrage total sans cachet où le vice est caché. Alors t'as provoqué le beat, l'orgasme, le flash, le nirvana (que j'ai quasi atteint today, ça aussi c'est quelque chose, bon l'attérissage sera tumultueux, voilà le problème même quand tu ne penses pas être dans l'excès, t'as toujours le tutain de décès au nan-tour... Et le problème avec cette date c'est que t'avais rien de naturel, t'as plané & t'as dégagé du positif (car y en a partout puisqu'il y a l'équilibre, karma, pôle sud/nord, j'ai tout compris en mettant mal mes piles dans mon appareil photo....) & j'ai pu perçevoir l'improviste Mais voilà, le meilleur moment pour moi c'est quand j'ai slammé alors que tu cherchais chanson dans ton carnet, bordel j'avais paumé le mien & restait plus qu'un putain de mobile dans mes POCHES, ciao lunette & chapeau (que j'ai envoyé sur la scène lorsque les bras me portaient, c'était le mode folie qu'était sur ON , c'était la colère & l'espoir, voilà un bon cocktail ROYAL, bien mieux que le mélange Lucy in our Skies Dans la C_ En un mot, t'as perdu la magie de l'aléatoire & de l'éphémère quand t'as commencé à descendre, t'as cru que sur les 5 000 gnous, groupies en crises & toutes les bourgeoisies pourris que t'enfonces dans la déprime alors que t'essayes de leur donner assez d'espoir pour que leur rage éclate.. Il n'y en aurait pas un, à contre-sens, qui la sentirait la trahison? C'est bien d'être rock'n'roll, t'imagines pas la transformation, vraiment à chaque heure je change de vie, j'ai vécu le Flash ou ouais l'attrape coeur & ainsi, dans la crasse, dans la perte du confort, loin des judas ou parmi les ordures, j'ai EVOLUé. Car le matérialisme endoctrinant sûr qu'on le fuit mais quand y a les idées c'est autre chose, on connait tous & même sans avoir les mots, on le sait que rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme. Et c'est ça, avec la grâce de la nature, l'espoir, les images, mes Pères (Brel en est un parmi mil autre, tu vois le lien, tu vois le signe, ça fait encore de nous des frères). Bref, j'espère pouvoir un jour discuter tranquillement au milieu des verres vides comme leur corps perfides qu'on pourra remplir avec nos vers plein, et à la pleine lune ce sera l'osmose sur la dune, on s'en ira revoir le lointain dans le futur, les prairies dans les rêveries, les mamies dans les clairières, les p'tites couturières, les grandes crémières, & la pyromanie dans les grosses financières... P.S2 (3?) : Je touche à tout, & je suis curieux de tout apprendre, sans sauter les étapes bien sûr, envoie moi de la culture Ami, merci infiniment_ [/size]
Lili Il y a 14 ans

J'ai publié ça sur FB, c'est pas passé, censuré en deux heures, je m'en doutais, normal, mais ils assurent leur RG_


J'sais pas si vous connaissez Michel Onfray, perle rare dans la philosophie contemporaine, mais il a rencontré notre petit despo' en 2007, & ça a donné quelque chose comme ça, je publie pas l'article entier car j'arrive pas à l'lire sans gerber & ce soir j'ai décidé d'être posé, j'reviens d'un road trip face à la nature, de la verdure à la montagne, des campagnes aux mers enchainés, où j'y ai sacrifié toutes mes futilités.

Et ci-dessous quelques passages clefs qui vous permettront peut être de mieux cerner le profil psychologique de l'aspirant à la présidence de la République française.

"agresse, tape, cogne, parle tout seul,"

"Une, deux, dix,vingt phrases autistes."

"Hâbleur, provocateur, sûr de lui"

"Cet homme prend toute opposition de doctrine pour une récusation de sa personne"

"Cet homme tient donc pour vain, nul, impossible la connaissance de soi"

"l'animalité, l'olfaction,l'odorat. Le degré zéro de l'humanité donc "


Avant de commenter plus exhaustivement cet entretien, penchons nous briévement sur la notion de psychopathie. Ceux qui sont intéressés par le sujet pourrons se reporter à l'excellent ouvrage "Without Conscience" écrit par celui qui a permis d'immenses avancées dans le domaine : Robert Hare.
Tout d'abord il faut avoir à l'esprit que les médias ont dressé un portrait très parcellaire voire même trompeur de la psychopathie. Hannibal Lecter représente une fraction infime et extrême de la population des psychopathes. De nombreux tueurs sanginaires ne sont pas psychopathes et la grande majorité des psychopathes n'ont jamais tué qui que ce soit. Hannibal Lecter peut donc être considéré comme représentatif de la minuscule fraction des psychopathes ratés.

En résumé un psychopathe est un individu dépourvu de conscience. Sans tomber dans d'interminables développements philosophico mystiques, la conscience peut être considérée ici comme la capacité d'un individu à éprouver de la compassion, de l'empathie, des remords, des regrets, tout simplement à être touché ému par la souffrance d'autrui.

En outre la psychopathie peut être innée (via un héritage génétique autosomal) et/ou acquise. Le résultat étant in fine le même : une absence de conscience, c'est à dire l'absence de ce qui fait l'"humanitude" d'un être humain et l'humanité d'un groupe d'êtres humains.

Et ici réside l'un des plus grands pièges, les êtres humains lorsqu'ils sont confrontés à de tels individus leur prêtent des spécificités (liées à la conscience et à son activité) que ceux-ci ne possèdent pas.

C'est ainsi qu'une pseudo rationalisation opère, expliquant des comportements discutables comme la manipulation, l'aggressivité, la menace, l'ambition par des causes erronées (dans ces cas-là) comme le surmenage, les difficultés pendant l'enfance, le stress, ...

Michel Onfray a merveilleusement débusqué le loup derrière le costume de mère-grand lors de son échange à propos de la phrase de Socrate "Connais toi toi-même".

Extrait de l'échange en question :

"Dans la conversation, il confie qu'il n'a jamais rien entendu d'aussi absurde que la phrase de Socrate «Connais-toi toi-même ». Cet aveu me glace -- pour lui. Et pour ce qu'il dit ainsi de lui en affirmant pareille chose. Cet homme tient donc pour vain, nul, impossible la connaissance de soi ? Autrement dit, cet aspirant à la conduite des destinées de la nation française croit qu'unsavoir sur soi est une entreprise vaine ? Je tremble à l'idée que, de fait, les fragilités psychiques au plus haut sommet de l'Etat, puissent gouverner celui qui règne !"

Pourqu'un individu entame l'Oeuvre, le travail sur soi (qui constitue certainement une des très rares entreprises qui mérite véritablement d'être poursuivie), il doit commencer par observer et comprendre ses croyances, ses peurs, ses mécanismes. Pour cela une dualité est nécessaire :

* d'une part, un observateur (la conscience)

* d'autre part, un observé (le mental / l'égo)

Pour un psychopathe, cette démarche n'a aucun sens car il n'existe littéralement pas d'observateur.

Quand Nicolas Sarkosy récuse la phrase de Socrate, ceci n'est pas le fruit d'une réflexion philosophique, d'un manque de connaissance du thème abordé, d'une haine aveugle des philosophes grecs.

Non il s'agit simplement et terriblement d'un aveu sincère relatif à sa propre nature.

_

Pour l'article complet : http://pouvoiretpsychopathie.hautetfort.com/archive/2007/04/24/entretien-onfray-sarkozy.html
Perso j'suis incapable d'en lire plus, c'est à gerber, à transformer le silence de l'agneau en violence de l'hannibal, de l'authentique lecteur des moeurs.

Reveille-toi peuple petit mouton_


___


Après Onfray/Sarko
C'est Jules qui fait la nique à Nico/

T'es taillé comme un hobbit pour tenir la bite de la baraque Americaine,
Des Rambo, des baraqués, c'est Obama Beach dans la baraque à Bitch, pas besoin de ton Maille-à-mie, j'ai mes amis dans los cities/
Du Canteleu repeins en bleu aux balances qui coulent dans la Seine comme ta merde dans ta veine, C'est l'retour de Vichy dans la benne, pas d'azur dans nos ruelles, juste des coups d'opinel pour les infidèles, des fautes sur les murs & les couturières sont d'retour pour recoudre nos sutures, sûr qu'on a la haine au front comme J-M La petite peine featuring Nico le Néo-facho, nettoyons ça au karcher sur le ring/
Envoie le beat, on va revenir au temps des beat-nik, des jazzmen des Vian en Flash dans les manèges des orgasmes au théâtre du Blues, la musique est là, antithèse de nos états, t'as vu la gueule de nos préfets? Fier de descendre des près, des singes & des dinos plutôt que sortir des jupons d'ta mère l'démon, le Sheitan est partout, sache qu'y a du vrai partout & du faux dans tout_ La magie des paradoxes, tu contrôles ou t'es dominé, choisis ton camp, nature ou infrastructure, méga-manufactures déportés façon Juif par les nazis, les nico en crise, on les calme avec nos tam-tam, dans ta gueule ça fait BAM, ose me parler des classes, des masses, des races & tu verras que j'ai la colère du chien enragé, tu veux nous caser grâce à tes limites, à tes p'tits codes, avec tes satellites tu veux tout décoder même la langue d'E.T, même les cris des Yétis, c'est du Spielberg dans nos faubourgs, c'est la mélancolie des gerbes, fini les belles germes, c'est toi qu'on va planter mégalomane aux sales manies - comme tes mains - qui violent les filles dans les bordels, dans les partys, dans les manifs!

Allez, envoie le beat, allume le stick & c'est parti :

Petit nain, retourne dans les mines
Avec tes micro-mains, tes aristo-crassies
Ici c'est pas les resto du coeur, calme ta vessie
Sinon, ENSEMBLE, on t'enchainera sur une mine & ça s'réglera à la baramine/
Style barbarie moyen-âgeuse avec ta nouvelle technologie
Ton p'tit confort, que tu prônes si fort
Terroriste en choeur, terreur triste pour nos soeurs/
T'inquiète pas qu'on va s'en sortir;
Sans tes party à dix milliards,
On vise pas que le dollar, on a la haine, dans les crash, les p'tits mollards
Pour les dieux du bobards;
Pour les fils de salopard;
Les micros, les RG, les blédars du Capital,
Les taupes du Capitol; délateur sans coeur, balance tu pèses léger - toi & tes idées;
On réveillera PARIS, on pari Ami sans âme?
T'oses insulter les grecs, les dieux de l'olympe
Alors sans déc on va pas "LOLer"
Rigolo de néo-libéraux, tu sentiras nos MAUX
Des écrits extrêmes à nos cris de HAINE,
T'as fais de l'El Dorado la Sou-France
Et les gros sous ont transformé
Nos Donald en Pic-sou,
Campagne de Macs
Fini les cascades, les rodéos, les roméos;
Apple quand tu nous tiens, Eve quand tu déteins
Dans les vils, sur les vilains;
Appelle les télécons pour du crédit, téléphone rose & PèrNo'
A noel, il est parti loin l'noé & son arc-en ciel,
Fini les Christ & les J.MOULIN
Plus que des Chris dans les campagnes, Schizophrénie dans nos refrains,
Folie, oh oui, oh oui, pour mes re-frès - doux comme le miel
Folles à lier comme nos curés, les bonnes soeurs qui tapent;
Frappe petite frappe encore une fois sur mes pairs
Et tu goûteras la puissance des prophéties, des profs en rogne dans les cities;


POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS


Le collectif a gagné; fini les Socrates, ils ont mis l'académie sur le trottoir
Dealeur d'aurore, dealeur d'illusion, des paradis artificiels on passe aux paradis SUPERficielles
Comme les culs des minettes -attaché à la superbe ficelle & qui tournent à Sarcelle
Ne restent que des aristos du cul, qui se vendent; des corrompus,
Platon ne sera jamais mis à plat par les rois du béton;
Laisse tomber Société tu m'auras pas
Moi & ma belle aura,
Société tu m'auras pas
Comme t'as pécho Renaud;
Comme t'as bouffé les idéaux, la mémoire des Homos;
Des misérables victorieux - des Hugo
Et des gitans dans les camps!
Et des tsiganes planqués dans les campagnes!
Société tu n'auras pas
Société. J'ai tout compris, des jack à mes potes
T'es là, toi, avec ta belle psychiatrie, tes cachets pour nous cacher,
Tes pilules pour nous planquer!
Là, avec ta chimie des blondes, S.S S.O.S C.R.S faut que ça CESSE!
T'es là, TOI dans l'aléas des calculs, des ADN
ARMES de Destruction NATIVES
ARMES de Déglingué Nationaliste
Et ça rime toujours avec fasciste...
Toujours dans l'extrême, dis-moi qu'est-ce que t'aimes?
Le profit, la grandeur, le contrôle des foules grâce à la psychose des choses,
Tu vois comme ça saigne, entre bavure & vengence, souviens-toi des émeutes, des tas de têtes tombés
Par mes frères qu'on a brûlé, qu'on a ramené puis délaissé!
Chiens d'la casse, chienne en crasse, en LAISSE comme nos JOURNAUX.
Mais pour en revenir à nos moutons...
Société tu m'auras pas!
Tu te sers de la nostalgie, toujours àl pour la ramener avec le peuple martyrisé;
Société anti-sémite, Société libéraliste
Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines,
C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros.
Micro despot, micro escroc, micro PC,
Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare]
Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets,
J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer
Et j'ai regardé :

Société, Toi, t'es là avec ton Devoir de Mémoire, au lieu d'faire ton devoir de Morale,
Tu vends ta mort à prix cher, avant on payer pour le paradis, maintenant on met de côté pour la mise en bière;
Ivrognerie oblige, enivrez-vous, de l'excès au décès; sûr qu'ils vont payer!
La DETTE de l'etat c'est pas 100 Miliards de dolls,
Poupée, crache ta rage sur leur visage, t'as vu la gueule de leur état,
Etau, coup de couteau dérrière les barreaux, au pays des bourreaux
On gagnera la contrôle des taureaux s'il le faut,
Eux ont pris le contrôle des terreaux, des terasses, des grosses liasses.

POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS

De Lille à la ce-fran d'en bas,
Du Nil à nos belles villes;
Tu veux nous dominer, nous plonger, régner sur tous;
Quand nous on subit le martyr des élysées
Quand nous on va la cramer ta marianne des campagnes
Toi tu sais que t'es rien sans nous,
Alors t'attaches nos mains, liens déliés dans les délires des félés
Nous on arrache les capitaux, les capilaires, les commissaires,
Ma belle France - des lumières
Des hémisphères, des mélanges qui t'dérangent
Quand l'occident s'arrange avec l'orient
Quand l'occident a bouffé Adam,
Soeur voilé, sire violé dans les campagnes
Par les compagnes des îles;
C'est Mac Fly en feat. avec les p'tites bites du Sky,
Fini les coups de blues, y a plus que des bleus dans nos ruelles;
Plus que des p'tites frappes en vélo volé, à l'opinel
Et trop dka-vo dans l'oasis, comme dit Mr Yo,
Alors c'est tout nouveau, c'est à la de-mo, now c'est illico dans l'caniveau;
Illicite chez les militants des terres,
Gars à ta gare - petite garce - on la transformera en CAVE
Pas pour les camés, on t'consumera aussi vite qu'une camel,
Gare à toi, vigilance aux Robinson des bois
Du Blois à nos toits,
Ce sera Pyromanie sur TOI qui prône le multiple MOI,
Ce sera le grand incendie pour combler nos Noirs,
On fera des bars à pines des baramines
Des bols de Chine,
Des Marques à l'étau à ton polo - maqué, marqué - cramé par ton vieux bédo coupé à l'eau,
Mort aux cons, on vous fume comme un beau marroco,
T'as fais du Maghreb un lieu de vacance;
Lobotomisation, obliger d'se mettre en mode labo
Coupe ta Cam en mode B.E.P chimie
En mode Chichi, les nico on les nique,
Jusqu'à la moelle, jusqu'au derme,
Pas de quasiment, génération TOUT ou RIEN
Génération des vils,
Populace en crasse, Masse à la DAS
T'as fais du SIDA un commerce, vendre de la sécu
Fini l'époque où l'on pouvait faire tourner l'taquet
Comme le pét, now obliger d'foutre du latex sur sa quequette/
On rallumera la flamme, on allumera ta FEMME
Fausse brune, imposture des couleurs,
Au sommet des apparences, t'as transformé mes Pères
Les Rimbaud, les Voltaire, Les Rousseau, les Baudelaire
En pairs autodafés au lieu de les épitapher dans l'aléatoire des mémoires
C'est Hélène qu'a bu la tasse, trop de caféïne dans l'héroïne.

POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS


Société anti-sémite, Société libéraliste
Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines,
C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros.
Micro despot, micro escroc, micro PC,
Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare]
Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets,
J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer
Et j'ai regardé :


Frère d'errance, chien des crans cran d'arrêt dans l'arrête, craque l'allumette sur l'essence,
Ils ont craqué nos lunes avec leur sat'
Au temps des élites, piraterie dans les toiles
Fini les bacchanales, les femmes à poils,
Politique anti-capillaire, politique atomique
Des nucléaires pour les p'tits jap'
Des spy-kids dans les bols de pattes
Même Walt Disney se prostitue dans le salle,
Dans les cinés, du Trois D en Avatar
Fini les beaux-chars de Troie,
Quand t'as pris le contrôle des métampsychoses
Arrête Jules si tu peux,
Pas besoin de virgules, juste des vers qui coulent
Comme nos douilles, comme l'essence des mes COUILLES,
Fini le bel-âge, les p'tits moyens, les bons Jacquots, les vrais, les grands Jacques
Les Jacouille, les Jacqueries, les Jacky
Au pays des tunes & des voitures customisés
Comme ta blondasse, comme ta pétasse,
Regarde tes lolos refaits comme Michael
Fini les Jacksons, les Harley Davidson,
Au pays des danseuses, au milieu des descentes
Du coca à la paille on passe à la coco de Mexico
Pour s'mettre HIGH, pour s'faire d'la MAILLE
Ton sourire j'vais le tailler, comme t'as coupé ma verdure, ma nourriture, mes belles patures
Ordure t'as pourri nos bols de riz
Pas d'bol, tu vas sentir nos cris,
Grâce à l'encre, autodafé dans tes décrets
Pays des intermédiaires, fini l'beau Siècle;
Les Colbert, les Saint-Louis, jachère dans nos clairières,
Des familles nucléaires qu'on explose à l'atomique
Connais-toi toi même, si tu veux qu'on t'aime
Ah ah, Moi tu me reconnaîtras quand on t'cramera sur le toit de tes illusoires;
De nos idées noirs, prend Garde aux fils
Des messes violés, baffés, frappés
Mesrines mes rimes sont à ton honneur
Parole d'homme interné dans les Quartiers
Les Hautes Sécurités, regarde nos guettos
Des caméras pour nos impôts, tu payes plus cher l'antivol que l'vélo,
Sûr qu'on va t'violer toi & loves
Génération SEX-TOY-STORY
Pas b'soin d'loft, juste de la flotte
Et le poison dans nos boissons
T'as trouvé LA SOLUTION FINAL
Dans l'anal, chez les joueurs de violons
Jeunesse étudiante, chiennes errantes
Dans les airs, écoute ma voix en colère
Diffusion dans la veine, transmission en hiver
Télécharge ma haine, transfusion de peine
Rage & courage, des flèches pour vos carreaux_

Société anti-sémite, Société
Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines,
C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros.
Micro despot, micro escroc, micro PC,
Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare]
Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets,
J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer
Et j'ai regardé :

POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS


Epoque des classes, des codes, des modes, fini les tendancieux, welcome les faSho, les nouveaux Boileau
Moi j'enterre tes classicismes, au temps des populaires
Populace en laisse, masse trop las
France d'en Bas, frères des bars, des mèches dans les basse-cours, fils à papa, heureusement 'reste les MAMA
Comme Oxmo, j'épuise mes os & mes mots
Dans le flots des réseaux, dans les nouveaux fléaux
Pestilence, Guerre des finances, Famine en CHINE
On a la dalle, ça vient d'la rue, ça vient des bases d'Al Quaïda, Hip Hip Hourra
Hip hip hip la pipe, fini les hippies
Fini les piquouze à la pisse pour nos duchesse,
Les rastafari îvres au sky, révolté les mères
Ciao muchacho, tout mou, fini les too much
Now c'est tout moche au temps des hics
Des tics en micro-filtre, tueurs de pics, de sommets, regarde les r'traités/
En mode économie, en mode traitres anti-famille,
Oh oui Mamie, rock'n'roll pour les frivoles,
Fini les noels, le bon christ s'est transformé en terroriste,
Toujours les mains sales; dans la cheminée
Ils croient illuminés nos idées avec leur corruption
Alors ce sera la Nuit des Longs Barreaux,
Des gros barbares, t'inquiète AMI Bulgare
Nos soi-disantes tares nous rendent ANAR
Pas b'soin d'se vendre dans La Nuit des Blaireaux,
Ce sera la nuit des Gros Bourreaux,
Fais gaffe bourgeoise des faubourgs
C'est pas avec ton Beaubourg que tu vas nous bourrer la gueule, hurlements & gueules de bois;
Pas b'soin d'mentir sur son vécu, t'es vaincu,
Moi c'est Robin des Bois qui r'vient du Blois pour boire avec Toi,
Frère de rue, frères des crues_
Et on chiera dans ta culture, dans tes centres
Macro-commercial, big mac-ro des p'tits héros,
Alors avec Kiril & sa prunelle, on brûlera tes ailes d'artificielles,
On brûlera ton ciel des super-fils de putain,
De catins, prostitution des coeurs,
Des soeurs en putes, des frères en chute
C'est le front de la Haine, la cité des Dieux,
Ze pequeno le déglingué m'a tout appris,
Dès la naissance l'Etat m'a tout pris
Alors dans les prières de mes proches, moi, j'ai retrouvé la nostalgie d'hier,
Les vrais proverbes, les pros d'la prose, pas besoin d'repos,

POLICE MILICE FAUT LIBERER

Société anti-sémite, Société
Adieu mon capitaine, adieu le temps des Mitaines,
C'est mites dans nos vestes, bêtes dans nos têtes & flûtistes dans nos métros.
Micro despot, micro escroc, micro PC,
Bienvenue au Pays du Petit, Alors moi avec mes bottes de 7 lieux [merci Conan l'bulgare]
Alors moi avec mes souliers troués, mes poches percés, mes faux-billets,
J'ai fermé les yeux pour avancer, j'ai sacrifié mes sens pour mieux les développer
Et j'ai regardé :

Ecoute, les gouttes, acide dans les torrides;
J'suis pas Rimbaud, j'arrêtera pas à 20ANS
Pour mener une vie de trafiquant, ciao Vincent l' truand, dorénavant c'est Jules aux mils crépuscules,
J'veux pas d'tes prix, d'tes académies, ton tapis rouge sang garde le pour tes stars de cinéma;
J'préfère les Truffaut à l'oeil truffé, les Kurosawa au temps des samouraïs & des Godard pour les anars,
On vise les étoiles, le système lunaire & les belles terres
Oh yes mon frère, toujours dans la lune,
Des belles nanas au sommets des mats
A l'eau facho, j'suis le matelots des Faux
De l'authenticité des té-cis, on s'rase pas les sourcils,
On garde la be-bar comme les talibans,
Autour de moi; pin-up sur les bancs & de l'argent qui remplace le sang
Y a plus de place pour nos bancs de thon,
On revient au ban;
J'aime à penser qu'Ils ferment les gares pour qu'nos clochards s'endorment à la belle étoile;
Direct branché de la moelle à la dune;
Pas besoin de thunes pour les rêveurs, le fil de la pensée qui pique comme l'aiguille,
Frérot pose ton taquet, joue d'la prose & fais du tac-au-tac, sois au taquet comme Cam;
Dans l'Mil, on s'en fout d'tes millions, nos mains sont moins sales que ton pognon,
Embrasez-moi, embrassez-vous, allume-moi poupée & j'te jure que j'te montrerai;
La joie des filles de la rue, des grosses noix pour
Calme mes émois du sur-moi, calme mon mois de Mai cherry,
Au temps des belles cerises on n'aura plus besoin d'grosses mises, ni d'prise pour être relié;
aux Dieux, aux puissances; les contrôleurs des sens,
Alors, on roule, on roule dans la réserve,
On roule, on roule sans gasoil, sans rétro
Pas besoin d'ça pour la mémoire, si tu te retournes c'est coups de couteau dans le dos; du crade dans la rate façon pirate/
Sens l'essence qui saigne du corps; c'est le Christ qui s'fait sévices dans les prémices des délices d'Alice.
C'est déjà fait, quand toi tu lisais des contes de fées
Lacets défaits, poches troués,
Ton seul pote c'est toi & ta poche,
Ton seul pote c'est toi & ton porche,
Ton seul pote c'est toi & tes proches
Ton seul pote c'est toi & tes cloches,
Alors envoie le Dong, envoie le Bang,
On va s'la jouer à la king kong
Des piles aux loosers d'idées, pas besoin d's'épiler,
C'est du sans permis, sur nos vélos refaits, dans nos govas lé-vo aux bobo,
La vie c'est pas du légo, t'as cru que c'était la kermesse?
Nan c'est la bonne messe -alors moi- ton Etat je le laisse entre les filets de Jack Mes'
Ferme les yeux & regarde
Ferme ta bouche, arrête le colgate, temps des barrettes, des beurettes sur YouPorn, moi ce que j'aime c'est les mélanges façon Jambon Beurre,
Moi c'que j'crains c'est les écrans qui rendent accroc comme l'héro, à cran comme l'artisan sous payés pour ses idéaux; noyé dans le flots des maux, regarde ta mère plongeait dans la toile, mets les voiles & va rejoindre les étoiles/
A tenir un flingue, à bouffer les baltringues/

POLICE MILICE FAUT LIBERER PARIS

ESCROC FACHO Le PEUPLE aura TA PEAU_


p.s : comme d'hab ce n'est qu'ébauche en débauche, on verra plus tard, j'pose seulement les bases, y a milles coquilles, plein d'oublie etc. mais c'est ça la magie des aléas.


Sautons Nos Controleurs Fiscaux_

Lorsque les compagnies de services partent en campagne de sévices & finissent par sombrer dans le privé c'est qu'il est au moins l'heure d'appendre à crier;
Et je pèse mes mots sur une balance à C/
Assez! Les controleurs ont perdu leur goût du contrôle des leurres,
Avant ils pouvaient s'amuser à jouer les détectives privés, dorénavant tout l'est, la muse est publique, la mise est critique/
Alors c'est misère à chaque wagon, pour chaque rêveur, chaque vagabond qui tient un putain de crayon;
Fini le temps où l'on allait à l'aveuglette au bruit de l'allumette, y avait d'la rage, des cendres et on avait même pas à descendre/
Plus bas, plus bas, toujours abattre les grosses frappes, tous les jours dans le théâtre des p'tits macs;
Allez mon frère craque, allez ma soeur éclate, allez tsigane sors de ta caravane & joue là-toi pyromane, allez l'homo tape dans l'cul des salauds/
Fini, fini, l'époque Romane, antiquité oublié, Olympie souillé - toi - & tes beaux sommets
Craqué par les nouveaux pirates qui regarde les sommes couler à flots/


Stupide ai-je été en pensant que sur les lignes des sud & du midi le soleil remplacait le mépris,
Stupide ai-je été en pensant qu'il était encore l'heure de voyager sans y mettre prix/
Perdu dans la fraude & les contrôles, le bleu n'est plus ciel, le blues est devenu FLOUZE;
Aujourd'hui à n'importe quel or, c'est POLICE, MILICE, et t'as vu leur délice?!/
Oh oui, tu jouis quand tu la colles- ton amende;
Oh oui, tu cris, c'est la folie, petite mort quand tu fous un clocho à la porte/
Oh oui, oh oui, on va couper tes glandes, tes p'tites amAndes on va les fendre;
Et ta face dans les rails, l'hérOs s'efface - la gueule dans la paille, pagaille, aïe, t'es DIE ...fais gaffe à ta MARMAILLE trop HIGH à cause de ta MAILLE/


Alors, on veut des cris dans l'hémisphère car c'est vraiment le minimum qu'on puisse faire;
Et s'il faut passer par la révolution, s'il faut démasquer Sion & rebâtir feu nos maisons/
Je serai là, toujours sur la paille en train d'allumer la MECHE;
De nos pétards à leur coiff ridicule de petits bourgeois, regarde le trône des nouveaux rois/
A l'élysée, élu par un peuple félée, à l'église on est violé par des curés/
T'as vu la gueule de tes parents blindé, privé, comblé mais à crédit dans la pharmacie
Des p'tits cachets pour les planqués, des p'tites pilules pour leur cellules/
Et c'est toujours le même cercle, le même vice, c'est PARCIMONIE lorsqu'il faut donner monnaie aux démunis
La vieille richesse est sous anxyolitique quand JEUNESSE se pique!



Et pendant qu'on est en communauté basé sur le re-fré DamDam, autant poster mes ressentis du 5/5
A savoir que vous m'avez peut être vu sauter partout, désolé si j'ai fais chier mais c'était nécessaire, c'était thérapeutique & j'voulais voir les gens bouger au lieu de se laisser insulter comme de la merde, mais bon, depuis sûr que j'ai compris que la psychologie des foules, que ce soit en mode Staline ou Morrisson, c'est pas pour moi_

Dit l'insouciant devant l'Bouddha, nature & pourriture quand tu nous tiens dans la veine
& que dans l'aiguille ça goutte, ça saigne...Heureusement que nos Pères sont là, les
Rimbaud, les Mozart, les Van Gogh, les Molière, les Levi Strauss, les Solidarnosc, Les
clochards célestes de la capital, de l'anti-capitaux, des fous capable de tout qui
terminent au CAPITOL_
T'as vu comme on souffre dans nos Frances, à l'heure du pluriel, entre la France d'en bas
& celle d'en haut maintenant y a même des intermédiaires, au pays d'la coupure, j'te dis
pas la rage que j'ai quand j'vois ma verdure coupé au vert pillé... Et j'te parle même
pas des camés qui pensent être héroïnomane alors que c'est les plus jeunes qui deviennent
junkies à la caféine, au paracétamol, pas besoin de te faire un dessin mon frère je sais
que dans les misères, les fléaux modernes, on a les mêmes vies & c'est ainsi que j'ai pu
comprendre le sens du mot "frère", on peut dire que t'as fais ça pour moi & j'aimerai -de
ce fait- beaucoup partager avec toi. Normal vu tout ce que tu m'as apporté & je suis sûr
de faire un sujet parfait, sans petite pression ou grande prétention, j'ai vécu la fight
dans les clubs, la cavalerie dans les rues du Paris & qu'est ce que c'est simple. Putain
d'summum qui vendent du rêve au petit peuple, c'est la pomme qu'on croque, c'est Eve &
Blanche Neige, Sauf qu'il ne reste que des gouttes acides pour les capitaliens, les
capitalistes, les capitaines du front des haines, les p'tits capos, les p'tits fachos...

Hey STAN, sache que tu m'as beaucoup déçu le 5/5 (ça ressemblait au 6.6.6) je
pensais que tu ferais les choses bien mais tu t'es écroulé sous le flot des émotions, des
artifices (??? ton regard puait la mort, c'était beau au départ mais y a pas d'espoir
dans la drogue tu sais, ça marchait au temps des morrisson, au temps du rock'n'roll,
aujourd'hui regarde les gamines crèvent dans les boîtes, les partys, après un gobage
d'extase, décès sans excès, juste à cause de la volonté d'un voyage en taz-mania.
America quand tu nous tiens, on le sent ton GODE qui blesse... Et les tours d'avance,
bientôt ils sauront rattraper par les p'tits chinoises, les vrais filles de joies,


P.S : là j'ai fais un retour à rouen, j'ai vécu à la manière de Sallinger dans l'attrape
coeur & j'ai retrouvé mon insouciance, mon innocence alors mes traits se sont amincis, je
suis devenu belle gueule comme Johnny quand il avait la rage..
Et donc, désolé pour le manque d'ordre mais on fonctionne dans l'instantanée, la
spontanéité alors yeah je sais que je suis compris & que jamais tu ne me traiteras de fou
car tu sais qu'y en a pas, y a juste les différences que les montagnes artificiels ont
crée. La folie des GRANDEURS_
Et donc, demain (12/5) je passe à Paris, puis j'quitterai beaubourg & les grands
faubourgs pour Strasbourg, voir s'ils ont la chaleur à la saucisse, où si c'est des
rumeurs, j'arrive un jeudi soir alors sûr que si y a d'la jeunesse ça bougera comme les
p'tites connes dans les Aston ( ) qui bougent leur fesse sur les danceflooors, fini
les danses des fleurs...
Le 13 je décolle pour le Sud, peut être Lyon. Et le 14 je serai à Montpell', entre autre
pour toi, et je sais que j'retrouverai ce que j'ai pas pu voir en toi mercredi 5. Tu vois
j'étais tellement écoeuré que j'ai du me faire souffrance, c'était ouf je sautais
partout, je m'éclatais la gueule façon Iggy Pop pour me sentir en vie mais on peut dire
que t'as quand même été mon héroïne pendant deux heures surtout que je suis en cure &
sevrage total sans cachet où le vice est caché. Alors t'as provoqué le beat, l'orgasme,
le flash, le nirvana (que j'ai quasi atteint today, ça aussi c'est quelque chose, bon
l'attérissage sera tumultueux, voilà le problème même quand tu ne penses pas être dans
l'excès, t'as toujours le tutain de décès au nan-tour... Et le problème avec cette date
c'est que t'avais rien de naturel, t'as plané & t'as dégagé du positif (car y en a
partout puisqu'il y a l'équilibre, karma, pôle sud/nord, j'ai tout compris en mettant mal
mes piles dans mon appareil photo....) & j'ai pu perçevoir l'improviste
Mais voilà, le meilleur moment pour moi c'est quand j'ai slammé alors que tu cherchais
chanson dans ton carnet, bordel j'avais paumé le mien & restait plus qu'un putain de
mobile dans mes POCHES, ciao lunette & chapeau (que j'ai envoyé sur la scène lorsque les
bras me portaient, c'était le mode folie qu'était sur ON , c'était la colère & l'espoir,
voilà un bon cocktail ROYAL, bien mieux que le mélange Lucy in our Skies Dans la C_ En un
mot, t'as perdu la magie de l'aléatoire & de l'éphémère quand t'as commencé à descendre,
t'as cru que sur les 5 000 gnous, groupies en crises & toutes les bourgeoisies pourris
que t'enfonces dans la déprime alors que t'essayes de leur donner assez d'espoir pour que
leur rage éclate.. Il n'y en aurait pas un, à contre-sens, qui la sentirait la trahison?
C'est bien d'être rock'n'roll, t'imagines pas la transformation, vraiment à chaque heure
je change de vie, j'ai vécu le Flash ou ouais l'attrape coeur & ainsi, dans la crasse,
dans la perte du confort, loin des judas ou parmi les ordures, j'ai EVOLUé. Car le
matérialisme endoctrinant sûr qu'on le fuit mais quand y a les idées c'est autre chose,
on connait tous & même sans avoir les mots, on le sait que rien ne se perd, rien ne se
gagne, tout se transforme. Et c'est ça, avec la grâce de la nature, l'espoir, les images,
mes Pères (Brel en est un parmi mil autre, tu vois le lien, tu vois le signe, ça fait
encore de nous des frères).
Bref, j'espère pouvoir un jour discuter tranquillement au milieu des verres vides comme
leur corps perfides qu'on pourra remplir avec nos vers plein, et à la pleine lune ce sera
l'osmose sur la dune, on s'en ira revoir le lointain dans le futur, les prairies dans les
rêveries, les mamies dans les clairières, les p'tites couturières, les grandes crémières,
& la pyromanie dans les grosses financières...
P.S2 (3?) : Je touche à tout, & je suis curieux de tout apprendre, sans sauter les étapes
bien sûr, envoie moi de la culture Ami, merci infiniment_
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En fait, Je trouve ça un peu lourd, on dirait du Saez qui en fout partout, et tes photos, elles ont la gueule d'un gars qui SE prend en photo pour se prendre en photo. Mais y'a quelques bons moments.
Big Brother Il y a 14 ans

En fait,

Je trouve ça un peu lourd, on dirait du Saez qui en fout partout, et tes photos, elles ont la gueule d'un gars qui SE prend en photo pour se prendre en photo.

Mais y'a quelques bons moments.

Fais toi carrément appeler Big BrotherS l'ami. Pas vraiment le temps de publier/faire des c/C/etC. Excès. Mais sinon y a toujours un blog que j'essaye d'actualiser pour un jour mettre véritablement en ligne. Vous, étant, une bonne communauté -quoi que comme toutes communautés ça fini en pensée collective, mais là ça tourne autour de Damien, unité collective. Alors ça peut donner, après tout- http://julescentversgul.cowblog.fr/ mdp : crepuscule Bien à vous. Faites du bruit encore, A réveiller les morts, A épuiser les corps A briser les sorts __
Lili Il y a 14 ans

Fais toi carrément appeler Big BrotherS l'ami.

Pas vraiment le temps de publier/faire des c/C/etC. Excès.
Mais sinon y a toujours un blog que j'essaye d'actualiser pour un jour mettre véritablement en ligne.
Vous, étant, une bonne communauté -quoi que comme toutes communautés ça fini en pensée collective, mais là ça tourne autour de Damien, unité collective. Alors ça peut donner, après tout-

http://julescentversgul.cowblog.fr/
mdp : crepuscule

Bien à vous.
Faites du bruit encore,
A réveiller les morts,
A épuiser les corps
A briser les sorts
__

[quote="Lili" date="2010-06-08 17:23:38"][b]Fais toi carrément appeler Big BrotherS l'ami[/b]. Pas vraiment le temps de publier/faire des c/C/etC. Excès. Mais sinon y a toujours un blog que j'essaye d'actualiser pour un jour mettre véritablement en ligne. Vous, étant, une bonne communauté -quoi que comme toutes communautés ça fini en pensée collective, mais là ça tourne autour de Damien, unité collective. Alors ça peut donner, après tout- http://julescentversgul.cowblog.fr/ mdp : crepuscule Bien à vous. Faites du bruit encore, A réveiller les morts, A épuiser les corps A briser les sorts __ [/quote] Pas compris :/
Big Brother Il y a 14 ans

Fais toi carrément appeler Big BrotherS l'ami.

Pas vraiment le temps de publier/faire des c/C/etC. Excès.
Mais sinon y a toujours un blog que j'essaye d'actualiser pour un jour mettre véritablement en ligne.
Vous, étant, une bonne communauté -quoi que comme toutes communautés ça fini en pensée collective, mais là ça tourne autour de Damien, unité collective. Alors ça peut donner, après tout-

http://julescentversgul.cowblog.fr/
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Bien à vous.
Faites du bruit encore,
A réveiller les morts,
A épuiser les corps
A briser les sorts
__


Pas compris