8h00 du soir. J'ai dormi tout le jour. OK je sors.
Maitre Kaio Il y a 9 ans

8h00 du soir. J'ai dormi tout le jour.

OK je sors.

[b]ANGOISSE[/b] Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête En qui vont les péchés d'un peuple, ni creuser Dans tes cheveux impurs une triste tempête Sous l'incurable ennui que verse mon baiser : Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes Planant sous les rideaux inconnus du remord, Et que tu peux goûter après tes noirs mensonges, Toi qui sur le néant en sais plus que les morts : Car le Vice, rongeant ma native noblesse, M'a comme toi marqué de sa stérilité, Mais tandis que ton sein de pierre est habité Par un cœur que la dent d'aucun crime ne blesse, Je fuis, pâle, défait, hanté par mon linceul, Ayant peur de mourir lorsque je couche seul. [b]S. MALLARMÉ[/b] Where did the night go ? . . . . . . Do not go gentle into that good night
Barbu Il y a 9 ans

ANGOISSE

Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête
En qui vont les péchés d'un peuple, ni creuser
Dans tes cheveux impurs une triste tempête
Sous l'incurable ennui que verse mon baiser :

Je demande à ton lit le lourd sommeil sans songes
Planant sous les rideaux inconnus du remord,
Et que tu peux goûter après tes noirs mensonges,
Toi qui sur le néant en sais plus que les morts :

Car le Vice, rongeant ma native noblesse,
M'a comme toi marqué de sa stérilité,
Mais tandis que ton sein de pierre est habité

Par un cœur que la dent d'aucun crime ne blesse,
Je fuis, pâle, défait, hanté par mon linceul,
Ayant peur de mourir lorsque je couche seul.

S. MALLARMÉ

Where did the night go ?
.
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.
.
Do not go gentle into that good night

Touché.
Maitre Kaio Il y a 9 ans

Touché.

La sodomie en poésie :-P Dans tes arrières j'irai Moi, le chien des enfers Te planter dans le trou Comme un clou, d'un coup par derrière Ma tête entre tes seins Moi je cherche le fossé J'irai longer l'arrêt De tes fesses, mes mains sur tes reins Et puis la mort aux trousses Et la frousse sur tes fesses T'as le corps qui s'engraisse Tant mieux, moi j'aime bien ta chair Je te ferai du bien Mais sans te faire de mal Pour un coup je veux bien Oh oui, rester dans les annales
Perfectworld Il y a 9 ans

La sodomie en poésie

Dans tes arrières j'irai
Moi, le chien des enfers
Te planter dans le trou
Comme un clou, d'un coup par derrière

Ma tête entre tes seins
Moi je cherche le fossé
J'irai longer l'arrêt
De tes fesses, mes mains sur tes reins

Et puis la mort aux trousses
Et la frousse sur tes fesses
T'as le corps qui s'engraisse
Tant mieux, moi j'aime bien ta chair

Je te ferai du bien
Mais sans te faire de mal
Pour un coup je veux bien
Oh oui, rester dans les annales

alo
as88 Il y a 9 ans

alo

Face à cet horizon, Face à leurs pardons, Je ris, je me moque et m'esclaffe, Devant ces gueules qui ont besoin de baffes. ---- Face à ma maitresse, celle que j'aime, Je suis tout, puis ne suis rien, Face aux roses, aux chrysanthèmes, Face à ces phrases pleines de je t'aime, Je gerbe sur votre regard fier, Votre adulation de misère, Je pleure, oui encore ! Face à vous je m'endors. Si l'humanité devait crever, Dés demain, et à tout jamais, Si demain je crache la vérité, Votre connerie et votre fierté Feront face au monde entier. Mais j'ai perdu, non j'ai laissé, J'ai préféré même oublié Que dans des anciens temps vous aviez, Détestez cette Dame si vénérée Pour un monde pourri, de la tête au pied. Surconsommez vos entrailles, Mais il faut que j'm'en aille, Et si demain je me réveille, Alors que demain, je m'émerveille Alors que demain soit fait de nos plaisirs, Cramez vos bonnes manières, Elles ne font qu'engranger notre misère. Voyez comme il est aisé, Pour un suppôt tel que moi, De parler avec des mots posés, Qui mettent facilement en émoi. Je suis vieux mais toujours con, Et quand je vois l'horizon Je pleins ceux qui ne comprennent pas, Et j'implore la si belle voix Des autres cons. Plus rien ne se perd, Et rien ne se créé, Tout se berce d'illusions, Quand le regard d'enfant, Est oublié pour de bons, Et à jamais, on se perd infiniment.
Ewi Il y a 9 ans

Face à cet horizon,
Face à leurs pardons,
Je ris, je me moque et m'esclaffe,
Devant ces gueules qui ont besoin de baffes.

----

Face à ma maitresse, celle que j'aime,
Je suis tout, puis ne suis rien,
Face aux roses, aux chrysanthèmes,
Face à ces phrases pleines de je t'aime,
Je gerbe sur votre regard fier,
Votre adulation de misère,
Je pleure, oui encore !
Face à vous je m'endors.

Si l'humanité devait crever,
Dés demain, et à tout jamais,
Si demain je crache la vérité,
Votre connerie et votre fierté
Feront face au monde entier.

Mais j'ai perdu, non j'ai laissé,
J'ai préféré même oublié
Que dans des anciens temps vous aviez,
Détestez cette Dame si vénérée
Pour un monde pourri, de la tête au pied.

Surconsommez vos entrailles,
Mais il faut que j'm'en aille,
Et si demain je me réveille,
Alors que demain, je m'émerveille
Alors que demain soit fait de nos plaisirs,
Cramez vos bonnes manières,
Elles ne font qu'engranger notre misère.

Voyez comme il est aisé,
Pour un suppôt tel que moi,
De parler avec des mots posés,
Qui mettent facilement en émoi.

Je suis vieux mais toujours con,
Et quand je vois l'horizon
Je pleins ceux qui ne comprennent pas,
Et j'implore la si belle voix
Des autres cons.

Plus rien ne se perd,
Et rien ne se créé,
Tout se berce d'illusions,
Quand le regard d'enfant,
Est oublié pour de bons,
Et à jamais, on se perd infiniment.

insomnie... oui oui oui (je devrais commencer à m'habituer, depuis le temps...) et poésie... houla, loin de moi l'idée d'en être capable, juste envie de cracher quelques mots... insomnie quand tu nous tiens putain on s'en passerai bien le marchand de sable m'a oublié depuis bien trop longtemps les cauchemars ont pris place dans ma tête, dans mon coeur, dans mon âme malgré ces putains de médocs pffff quelle affaire que nenni, point n'y fait y'en a marre, j'en ai ma claque dors pas la nuit incapable de passer une journée normale les "fêtes" arrivent à grands pas génial! je vais les passer en mode zombie à condition déjà que j'arrive à tenir le coup voilà, bref, juste quelques mots z'ami(e)s saezien(ne)s si le marchand de sable est clément avec vous ayez une petite pensée pour moi envoyez-le moi j'ai quelques mots à lui dire!! sur ce... bonne nuit bon week-end à tous et tant qu'à faire partie dans la lancée joyeuses fêtes de fin d'année!! [i]edit : putain, j'avais juste envie de lacher quelques mots, mais il y a du potentiel par ici... certains textes sont magnifiques...[/i]
melancholya Il y a 9 ans


insomnie... oui oui oui (je devrais commencer à m'habituer, depuis le temps...)
et poésie... houla, loin de moi l'idée d'en être capable, juste envie de cracher quelques mots...


insomnie quand tu nous tiens
putain on s'en passerai bien
le marchand de sable m'a oublié
depuis bien trop longtemps
les cauchemars ont pris place
dans ma tête, dans mon coeur, dans mon âme
malgré ces putains de médocs
pffff quelle affaire
que nenni, point n'y fait
y'en a marre, j'en ai ma claque
dors pas la nuit
incapable de passer une journée normale
les "fêtes" arrivent à grands pas
génial! je vais les passer en mode zombie
à condition déjà que j'arrive à tenir le coup

voilà, bref, juste quelques mots
z'ami(e)s saezien(ne)s
si le marchand de sable est clément avec vous
ayez une petite pensée pour moi
envoyez-le moi
j'ai quelques mots à lui dire!!

sur ce... bonne nuit
bon week-end à tous
et tant qu'à faire
partie dans la lancée
joyeuses fêtes de fin d'année!!



edit : putain, j'avais juste envie de lacher quelques mots, mais il y a du potentiel par ici... certains textes sont magnifiques...



Le mauvais vitrier Il y a des natures purement contemplatives et tout à fait impropres à l'action qui cependant, sous une impulsion mystérieuse et inconnue, agissent quelquefois avec une rapidité dont elles se seraient crues elles-mêmes incapables. Tel qui, craignant de trouver chez son concierge une nouvelle chagrinante, rôde lâchement devant sa porte sans oser rentrer, tel qui garde quinze jours une lettre sans la décacheter, ou ne se résigne qu'au bout de six mois à opérer une démarche nécessaire depuis un an, se sentent quelquefois brusquement précipités vers l'action par une force irrésistible comme la flèche d'un arc. Le moraliste et le médecin, qui prétendent tout savoir, ne peuvent pas expliquer d'où vient si subitement une si folle énergie à ces âmes paresseuses et voluptueuses, et comment, incapables d'accomplir les choses les plus simples et les plus nécessaires, elles trouvent à une certaine minute un courage de luxe pour exécuter les actes les plus absurdes et souvent même les plus dangereux. Un de mes amis, le plus inoffensif rêveur qui ait existé, a mis une fois le feu à une forêt pour voir, disait-il, si le feu prenait avec autant de facilité qu'on l'affirme généralement. Dix fois de suite, l'expérience manqua ; mais, à la onzième, elle réussit beaucoup trop bien. Un autre allumera un cigare à côté d'un tonneau de poudre, pour voir, pour savoir, pour tenter la destinée, pour se contraindre lui-même à faire preuve d'énergie, pour faire le joueur, pour connaître les plaisirs de l'anxiété, pour rien, par caprice, par désoeuvrement. C'est une espèce d'énergie qui jaillit de l'ennui et de la rêverie ; et ceux en qui elle se manifeste si inopinément sont, en général, comme je l'ai dit, les plus indolents et les plus rêveurs des êtres. Un autre, timide à ce point qu'il baisse les yeux même devant les regards des hommes, à ce point qu'il lui faut rassembler toute sa pauvre volonté pour entrer dans un café ou passer devant le bureau d'un théâtre, où les contrôleurs lui paraissent investis de la majesté de Minos, d'Eaque et de Rhadamanthe, sautera brusquement au cou d'un vieillard qui passe à côté de lui et l'embrassera avec enthousiasme devant la foule étonnée. Pourquoi ? parce que... parce que cette physionomie lui était irrésistiblement symphatique ? peut-être ; mais il est plus légitime de supposer que lui-même il ne sait pas pourquoi. J'ai été plus d'une fois victime de ces crises et de ces élans, qui nous autorisent à croire que des démons malicieux se glissent en nous et nous font accomplir, à notre insu, leurs plus absurdes volontés. Un matin je m'étais levé maussade, triste, fatigué d'oisiveté, et poussé me semblait-il, à faire quelque chose de grand, une action d'éclat ; et j'ouvris la fenêtre, hélas ! (Observez, je vous prie, que l'esprit de mystification qui, chez quelques personnes, n'est pas le résultat d'un travail ou d'une combinaison, mais d'une inspiration fortuite, participe beaucoup, ne fût-ce que par l'ardeur du désir, de cette humeur, hystérique selon les médecins, satanique selon ceux qui pensent un peu mieux que les médecins, qui nous pousse sans résistance vers une foule d'actions dangereuses ou inconvenantes.) La première personne que j'aperçus dans la rue, ce fut un vitrier dont le cri perçant, discordant, monta jusqu'à moi à travers la lourde et sale atmosphère parisienne. Il me serait d'ailleurs impossible de dire pourquoi je fus pris à l'égard de ce pauvre homme, d'une haine aussi soudaine que despotique. " - Hé! hé!" et je lui criai de monter. Cependant je réfléchissais non sans quelque gaieté, que, la chambre étant au sixième étage et l'escalier fort étroit, l'homme devait éprouver quelque peine à opérer son ascension et accrocher en maints endroits les angles de sa fragile marchandise. Enfin il parut ; j'examinai curieusement toutes ses vitres, et je lui dis : "Comment ? vous n'avez pas de verres de couleur ? des verres roses, rouges, bleus, des vitres magiques, des vitres de paradis ? imprudent que vous êtes, vous osez vous promener dans des quartiers pauvres, et vous n'avez pas même de vitres qui fassent voir la vie en beau !" Et je le poussai vivement dans l'escalier, où il trébucha en grognant. Je m'approchai du balcon et je me saisis d'un petit pot de fleurs, et quand l'homme reparut au débouché de la porte, je laissai tomber perpendiculairement mon engin de guerre sur le rebord postérieur de ses crochets ; et le choc le renversant, il acheva de briser sous son dos toute sa pauvre fortune ambulatoire qui rendit le bruit éclatant d'un palais de cristal crevé par la foudre. Et, ivre de ma folie, je lui criai furieusement : " La vie en beau ! la vie en beau ! " Ces plaisanteries nerveuses ne sont pas sans péril, et on peut souvent les payer cher. Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance ? CHARLES BAUDELAIRE SISI LA FAMILLE.
boudi Il y a 9 ans

Le mauvais vitrier


Il y a des natures purement contemplatives et tout à fait impropres à l'action qui cependant, sous une impulsion mystérieuse et inconnue, agissent quelquefois avec une rapidité dont elles se seraient crues elles-mêmes incapables.
Tel qui, craignant de trouver chez son concierge une nouvelle chagrinante, rôde lâchement devant sa porte sans oser rentrer, tel qui garde quinze jours une lettre sans la décacheter, ou ne se résigne qu'au bout de six mois à opérer une démarche nécessaire depuis un an, se sentent quelquefois brusquement précipités vers l'action par une force irrésistible comme la flèche d'un arc. Le moraliste et le médecin, qui prétendent tout savoir, ne peuvent pas expliquer d'où vient si subitement une si folle énergie à ces âmes paresseuses et voluptueuses, et comment, incapables d'accomplir les choses les plus simples et les plus nécessaires, elles trouvent à une certaine minute un courage de luxe pour exécuter les actes les plus absurdes et souvent même les plus dangereux.
Un de mes amis, le plus inoffensif rêveur qui ait existé, a mis une fois le feu à une forêt pour voir, disait-il, si le feu prenait avec autant de facilité qu'on l'affirme généralement. Dix fois de suite, l'expérience manqua ; mais, à la onzième, elle réussit beaucoup trop bien.
Un autre allumera un cigare à côté d'un tonneau de poudre, pour voir, pour savoir, pour tenter la destinée, pour se contraindre lui-même à faire preuve d'énergie, pour faire le joueur, pour connaître les plaisirs de l'anxiété, pour rien, par caprice, par désoeuvrement.
C'est une espèce d'énergie qui jaillit de l'ennui et de la rêverie ; et ceux en qui elle se manifeste si inopinément sont, en général, comme je l'ai dit, les plus indolents et les plus rêveurs des êtres.
Un autre, timide à ce point qu'il baisse les yeux même devant les regards des hommes, à ce point qu'il lui faut rassembler toute sa pauvre volonté pour entrer dans un café ou passer devant le bureau d'un théâtre, où les contrôleurs lui paraissent investis de la majesté de Minos, d'Eaque et de Rhadamanthe, sautera brusquement au cou d'un vieillard qui passe à côté de lui et l'embrassera avec enthousiasme devant la foule étonnée.
Pourquoi ? parce que... parce que cette physionomie lui était irrésistiblement symphatique ? peut-être ; mais il est plus légitime de supposer que lui-même il ne sait pas pourquoi.
J'ai été plus d'une fois victime de ces crises et de ces élans, qui nous autorisent à croire que des démons malicieux se glissent en nous et nous font accomplir, à notre insu, leurs plus absurdes volontés.
Un matin je m'étais levé maussade, triste, fatigué d'oisiveté, et poussé me semblait-il, à faire quelque chose de grand, une action d'éclat ; et j'ouvris la fenêtre, hélas !
(Observez, je vous prie, que l'esprit de mystification qui, chez quelques personnes, n'est pas le résultat d'un travail ou d'une combinaison, mais d'une inspiration fortuite, participe beaucoup, ne fût-ce que par l'ardeur du désir, de cette humeur, hystérique selon les médecins, satanique selon ceux qui pensent un peu mieux que les médecins, qui nous pousse sans résistance vers une foule d'actions dangereuses ou inconvenantes.)
La première personne que j'aperçus dans la rue, ce fut un vitrier dont le cri perçant, discordant, monta jusqu'à moi à travers la lourde et sale atmosphère parisienne. Il me serait d'ailleurs impossible de dire pourquoi je fus pris à l'égard de ce pauvre homme, d'une haine aussi soudaine que despotique.
" - Hé! hé!" et je lui criai de monter. Cependant je réfléchissais non sans quelque gaieté, que, la chambre étant au sixième étage et l'escalier fort étroit, l'homme devait éprouver quelque peine à opérer son ascension et accrocher en maints endroits les angles de sa fragile marchandise.
Enfin il parut ; j'examinai curieusement toutes ses vitres, et je lui dis : "Comment ? vous n'avez pas de verres de couleur ? des verres roses, rouges, bleus, des vitres magiques, des vitres de paradis ? imprudent que vous êtes, vous osez vous promener dans des quartiers pauvres, et vous n'avez pas même de vitres qui fassent voir la vie en beau !" Et je le poussai vivement dans l'escalier, où il trébucha en grognant.
Je m'approchai du balcon et je me saisis d'un petit pot de fleurs, et quand l'homme reparut au débouché de la porte, je laissai tomber perpendiculairement mon engin de guerre sur le rebord postérieur de ses crochets ; et le choc le renversant, il acheva de briser sous son dos toute sa pauvre fortune ambulatoire qui rendit le bruit éclatant d'un palais de cristal crevé par la foudre.
Et, ivre de ma folie, je lui criai furieusement : " La vie en beau ! la vie en beau ! "
Ces plaisanteries nerveuses ne sont pas sans péril, et on peut souvent les payer cher. Mais qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance ?

CHARLES BAUDELAIRE SISI LA FAMILLE.

pfiou... moua je n'vais toujours pas faire dans la belle poésie! par contre, je pourrais écrire ici toutes les nuits... Noël... fut un temps on attendait (ou espérait très fort) de la neige aujourd'hui, on aurait pu fêter Pâques : 12° et grand soleil... dur dur de croire que papa nowel va débarquer dans son traineau... cela dit, pour les enfants, c'est toujours magique!! et gros plus cette année... les jumeaux (neveu/nièce) sont arrivés plus tôt que prévu!! j'avais dis qu'ils seraient là pour Noël, ma belle-soeur m'affirmait le contraire et ben si, les bébés voulaient voir le père Noyel!! ils sont arrivés le 24 à 5h45 je n'en espérais pas tant (au vu de l'état de la maman) mais j'ai eu le bonheur de les voir aujourd'hui, et de les prendre dans les bras... ça vaut tous les plus beaux cadeaux du monde!!! bienvenue au monde mes trésors : Jules et Louise... et que le meilleur s'ouvre à vous... love you mes amours <3 et bonne nuit SL z'avez pas trop abusés des bonnes choses ?!? :D bizouilles, je vais essayer de dormir un peu, dur dur après toutes ces émotions...
melancholya Il y a 9 ans


pfiou... moua je n'vais toujours pas faire dans la belle poésie!
par contre, je pourrais écrire ici toutes les nuits...


Noël...
fut un temps
on attendait (ou espérait très fort) de la neige
aujourd'hui, on aurait pu fêter Pâques :
12° et grand soleil...
dur dur de croire que papa nowel va débarquer dans son traineau...
cela dit, pour les enfants, c'est toujours magique!!
et gros plus cette année...
les jumeaux (neveu/nièce) sont arrivés plus tôt que prévu!!
j'avais dis qu'ils seraient là pour Noël, ma belle-soeur m'affirmait le contraire
et ben si, les bébés voulaient voir le père Noyel!! ils sont arrivés le 24 à 5h45
je n'en espérais pas tant (au vu de l'état de la maman) mais j'ai eu le bonheur de les voir aujourd'hui, et de les prendre dans les bras...
ça vaut tous les plus beaux cadeaux du monde!!!
bienvenue au monde mes trésors : Jules et Louise...
et que le meilleur s'ouvre à vous...
love you mes amours <3


et bonne nuit SL
z'avez pas trop abusés des bonnes choses ?!?

bizouilles, je vais essayer de dormir un peu, dur dur après toutes ces émotions...