Noyée dans le pré salé, lavande de mer
Epanche sa dentelle,
Immortelle bleue dans le lit de la rivière.
Mistral et saladelle
Abreuvés de sel ont oublié ce matin
De le faire au carré.

Sans sourire, j'y ai vu narvals et licornes
Dans l'étang, la lagune et aussi les marais,
Sansouire et le vent tout au bord de mes pensées.

Lavande de mer et rameaux de salicorne,
Ivres de sel givré ont dansé la chaconne.
S'infiltre blues de la rosée sous mes paupières
Au goutte à goutte. Et le violet de la mauvéine

S'écoule cool, comme un fleuve au creux de ma veine.


Bonne nuit! <3

Noyée dans le pré salé, lavande de mer
Epanche sa dentelle,
Immortelle bleue dans le lit de la rivière.
Mistral et saladelle
Abreuvés de sel ont oublié ce matin
De le faire au carré.

Sans sourire, j'y ai vu narvals et licornes
Dans l'étang, la lagune et aussi les marais,
Sansouire et le vent tout au bord de mes pensées.

Lavande de mer et rameaux de salicorne,
Ivres de sel givré ont dansé la chaconne.
S'infiltre blues de la rosée sous mes paupières
Au goutte à goutte. Et le violet de la mauvéine

S'écoule cool, comme un fleuve au creux de ma veine.


Bonne nuit! <3

J'ai usé de mes sourires sans joie
Mon cœur a pris la fièvre
Elle est de celle qui vous noie
Dans un océan profond et sans lumière

Je me suis enfin perdu de vu
J'ai pris la route du désespoir
Si j'avais su, si j'avais su
Qu'un jour tout serait noir...

J'ai usé de mes sourires sans joie
Mon cœur a pris la fièvre
Elle est de celle qui vous noie
Dans un océan profond et sans lumière

Je me suis enfin perdu de vu
J'ai pris la route du désespoir
Si j'avais su, si j'avais su
Qu'un jour tout serait noir...

.

Spèce de sans cœur, va!

Le mien fuit sans laisser d'adresse
Ivre il fonce dans le décor.
Sans lui ma vie est bouton d'or
Aussi douce qu'une caresse.


Spèce d'alcoolooooo!

Ya pas à tournicoter du cul, mes poemes surclassent les votres, sans discussion aucune

Ya pas à tournicoter du cul, mes poemes surclassent les votres, sans discussion aucune

Ya pas à tournicoter du cul, mes poemes surclassent les votres, sans discussion aucune

+1000

Ta dernière phrase le prouve, tu éclaires de toute ta poésie !

Merci

Tournicoti tournicoton!

Pour une vie plus proche de la misère
Un peu sans morphine dans nos chairs
Vendues on le sait aux gants de fer
Pourquoi je ne serai pas un actionnaire

Pour une vie plus proche de la misère
Un peu sans morphine dans nos chairs
Vendues on le sait aux gants de fer
Pourquoi je ne serai pas un actionnaire

La prochaine fois, j'essaie de finir d'ecrire avant de m'endormir =X
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Sous la folie de chacun, je cherche mon chemin, à l’abri de certain, à l’affut de quelques-uns.
Mon âme explose en quelques briques, bien avant qu’implose la maléfique
Et la somptueuse mélancolique, Reine des savants, des authentiques, qui se souviennent, des millénaires durant, de l’histoire.
Je me souviens à présent, de l’air du temps, de la Reine qui, envoutant, tous ces princes tellement charmants, elle ensorcelle les médisants.

Pour une vie plus proche de la misère
Un peu sans morphine dans nos chairs
Vendues on le sait aux gants de fer
Pourquoi je ne serai pas un actionnaire

Putain! Pour ton premier post, tu démarres fort, toi. xD

Welcome camarade !

C'est joli, vraiment beau. Vraiment.

C'est joli, vraiment beau. Vraiment.

C'est joli, vraiment beau. Vraiment.

De?

Il y avait une fois un mulot, des primevères, de l'herbe folle et des chardons
Dans une clairière ceinte de bouleaux argentés et de houx aux lourdes baies.
Le mulot endormi s'éveilla aux éclats de voix d'un couple qui ne le voyait pas
Puis, il assista à leurs ébats, nullement craintif, nullement dissimulé
Mulot d'ici, ici campé. En ce temps là
Adam et Eve se connaissaient.
Il y avait aussi, à la lisière du bois, abîmé par l'hiver, mais toujours droit
Un pommier sauvage à l'épaisse ramure
Que l'on nomme en latin: Malus Sylvestris

Et qui a sacrément foutu la merde.

Moralité: Si vous connaissez un type qui s'appelle Sylvestre, désormais, vous pouvez, par un injuste retour des choses, briser l'image qu'il a de lui-même. En latin.

Il est temps d'aller dormir. Chers compatriotes, bonsoir! Vive l'arrêt public, vive la frange!

Des âmes
Exploitées, échouées
Que j'entends crier de l'autre côté
Que toi aussi tu espères sauver

Des armes
Dans tes larmes que je vois
Sur tes joues sur ton corps qui renaît chaque matin
Qui me reprend la journée comme un bien

Dis-moi où tu veux qu'on aille
Dis-moi pourquoi c'est notre bataille

.

.

Progresser vers leurs idéaux
Où l'humain n'est qu'en trop
La monnaie vendant les corps
Et les corps se proposant à la mort
Dans l'innocence de leurs produits
Dans la toute puissance des proscrits
Nous regardons les images
Nous vivons dans nos ménages
Nous aimons et nous avons foi
Comme tu l'as dis, ô roi des rois
Ce n'est que des cons
Que des p'tites rebellions
N'ai pas peur, seul toi gardera
Le flambeau de la domination

Nous soumettrons ces rats

C'est l'heure, oui c'est l'heure
C'est l'heure des traders
Des financiers guidant nos âmes
C'est eux qui jouissent, c'est toi qui crame
Dans le sang, dans le vent des puissants
Qui sans mal épuisent nos enfants
Fais-moi voir les gorges tranchées
Ah j'aime j'aime, ça fait de la monnaie
Ca devrait être nos chiens
Ce sont nos rois ces putains

Tu as vendu ton âme
Tu as perdu ta flamme
Entends-tu la mort roder
Ne sens-tu pas les esprits te hanter
Le reflet du brillant t'aspire
Ils vont te reprouver

Ravage les corps des financiers
Donnant la mort à qui leur plait
Achetant et vendant la chair
Au nom des grandes affaires
Mais toi, dis-moi
Qu'est ce-que tu veux pour demain?
A quoi tu rêves tous les soirs
Allez dis-moi notre futur qui sera si bien

["Morta"] J'ai bien aimé "nos destinées échappées"

Non, ton corps sur le mien ne me fait plus rien.
On a dépassé ce stade, on s'est nous-même dépassé.
Le chant de la presque morte est sur le départ.
Notre vie est en parfaite harmonie avec le néant, avec le temps d’aujourd’hui, avec le temps de demain.

Puis il fait noir.

Tu me dis qu'on est seul, tu me dis qu'on est faible.
Je te réponds pas. La tension qui règne me fait tourner la tête. Je n'arrive plus à penser, je n'arrive plus à m'entendre, je n'arrive plus à te voir.

Il fait toujours noir.

Mon cœur bat très fort. Il est la seule connexion qui me reste, la seule qui me domine encore.
Ses battements me font peur, je crois que toi aussi...

La nuit sera noire.

Un kiff tout particulier sur le dernier texte de @morta ..

dur, Jeff. Mais t'es pas tout seul!

J'te promet, non c'est pas fini
C'est pas fini ma chérie, on a toute la nuit
Quand les transes et l'oubli sont les trop seules éclipses
Sans me le dire, toi, tu t'immisces
Alors, tourne le dos ouais casse-toi
Même si bien sûr j'préfère, quand tu meurs dans ma chair
Quand ta voix se casse sur moi
Oh tripantes, badantes, ces ombres dans le noir
La mélancolie dépeint des visages
Le tien me crie "allez viens"

J'l'ai senti, oui j'l'ai senti ma chérie
C'est pas fini, non j'l'ai senti c'est pas fini
Notre communion, ma chérie on est faits pour l'union
Et tu le sais, après cette bise meurtrière ouais
Ouais j'l'ai vu, non non on est pas perdus
Allez ma chérie fais-moi confiance, laisse-moi une chance
Pour tes cheveux dans le vent, et ton souffle dans les camps
Non j'le sens, j'repense à ton chant
J'y repense, j'y repense et c'est sûr il nous reste une chance
Même je suis là sans toi, t'inquiètes pas moi j'ai la foi

Relance les cris, ramène-moi dans l'inconnu
Celui où j'te voyais nue, où on cherchait le cru
Tes habits aux vents, tu avances
J'le sais qu't'y penses encore, alors viens chercher la transe
Même si tu es la plus belle maintenant
Je sais que tu as mal aux flancs
J'te tiens la main, ne pleure pas
Non tout sauf ça

waow y a du monde ici mdr