Quand ils disent « Liberté », ça veut dire « Oppression »
Quand ils disent « Satiété », c’est « Collaboration »
Quand ils disent « Soulève-toi », ça veut dire « Soumission »
Quand ils demandent tes papiers, ça veut dire « Ségrégation »
Quand ils disent « Pour le peuple » ça veut dire « Champs de coton »
Quand ils disent « Les droits de l’Homme », ça veut dire « Si t’as le pognon »
Quand ils disent « Ouvrières », ça veut dire « Faut tondre les moutons »
Quand ils disent « Je te la mets », ça veut dire « Election »
Quand ils disent « Faut voter », ça veut dire que tu l’as dans le fion
Quand ils disent « Faut payer », ça veut dire « Champagne aux patrons »
Quand ils disent « Vérité », ça veut dire « Révolution »
Moi, j’dis : Faut tout brûler, de Marine à Macron…
Et de Jordy à Mélenchon,
Ouais non merci patron…
Ouais non merci patron…
Ils ont nourri communauté pour diviser le populaire
Ils ont piétiné le français, pour donner le cul à des banquières
Pour que devant le fait accompli, on revote pour la même galère
Collabos d’une Tyrannie, qui n’a de nom que l’actionnaire
Ils ont laissé le professeur être égorgé devant ses élèves
Ils ont fait que le travailleur, ne puisse jamais toucher ses rêves
Ils ont mis dans les cours d’école, la pornocratie et le voile
Pour monnayer les farandoles, tout est bon pour le Capital
De la culture du vide, ne se récolte que le néant
Puisque la gloire n’est qu’à la vie, il faut le vider de son sang
Réseaux sociaux de la bêtise, faits divers de l’Apocalypse
Au génocide des matières grises, l’espoir ressemble à une éclipse
C’est pas l’arabe qui tue, c’est Elon Musk et Zuckerberg
Tous les enculés de ce monde, qui mettent l’humain sur un iceberg
Bonjour le monde sous influence
Pas sûr qu’il y a la parole à tout le monde
Effet du bien en France, chez les noirs, les bruns, ou les blondes
Aux Ostentatoires indécents
D’une jeunesse groggy à la merde
Entre le Skin et la Burqa
J’vois que des fafs sur les antennes
Joueur de foot, payé Qatar
Donne son avis en politique
Avant ses vacances sur le Yacht
D’un maître d’esclaves de l’Afrique
Retourne entrainer tes doigts de pieds
T’es pas Prix Nobel de Physique
Ton opinion sous auto-tune
N’est que la honte de mon pays
Quand tu cours après ton ballon
Ton seul horizon, c’est la cage
Va faire quelques pompes du cerveau
Mais fait attention au claquage
Parle pas au nom des p’tits chéquiers
Des petites gens restent dans leur cage
Puisque le peuple est condamné
A mourir de la rage
Mon vote à moi, c’est mon calibre
Ni Dieu, Ni Maître, Ni Président
Toujours au combat pour le Libre
Le cœur athée du Dieu Argent
Faut Bruler l’assemblée, Faut brûler les champs de coton
Enlever la nationalité aux financiers de l’oppression
Quand la dictature est la loi, La liberté est terroriste
Prendre les armes quel autre choix, seules mes cartouches sont humanistes
Pour que ça change un jour ici, qu’importe celui qu’on pendra
Il prendra pour lui et ses pairs, l’exemple montrera la voie
Qu’est-ce qu’on attend mon frère, pour brûler place financière
Faire payer ses milliardaires, ses chiens qui pissent sur nos misères
A part le Sky et ma bibine, faut tout cramer dans ce pays
Puisqu’ici on met la vaseline, après la Sodomie
Ouais, non merci patron
Et de Marine à Macron, et de Jordy à Mélenchon
Populaire, tu l’auras dans le fion
Ouais, non merci patron
Et de Marine à Macron, et de Jordy à Mélenchon
Populaire, tu l’auras dans le fion © Damien Saez