Pas de pub, peu d'intérêt des médias, et pourtant le nouvel album de Saez s'est hissé au 3e rang des ventes en France.
Si, en 2000, avec «Jeune et con», Damien Saez rassemblait tous les pubères autour de lui, il avait petit à petit quitté le premier plan, le public lui préférant Raphael et Cali. Justement, ce sont ces deux-là et même Léo Ferré que l'on croit entendre sur son triple «Varsovie-L'Alhambra-Paris» (distr. Disques Office). Des récits de voyages et des souvenirs que Saez livre, seul, à la guitare sèche.
Laurent Flückiger