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Bonjour,
Je me permets de commencer à poster ici, petite résolution qui sera d'écrire régulièrement ici, histoire de faire travailler mes mécanismes émotionnels
Alors voici un premier texte, en espérant qu'il sera un peu apprécié,
Belle année 2018 à chaque Un :)
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Sans vie dans le froid de décembre
Sens vide en ce solstice peu tendre
Où la nuit trop longue me couvre de flocons.
Figé dans la glace, le scorbut atteint
Mon âme. Cette saison fait de moi des cendres,
J’espère Solitude loin de l’horizon
Au-delà des montagnes dont je veux descendre.
Puis enfin, un jour, ton beau sourire éteint
Ma tristesse. Enfin je retrouve tous ces rires.
Enfin la maladie disparaît, et la neige
Réchauffe comme un cadeau qu’on aurait perdu.
Le cycle se termine et je renais.
La tempête est partie, partis tous les regrets.
Je souris à nouveau à la vie reconnue.
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PS: Imaginez que le texte soit centré, je ne sais pas faire ^^''
Merci pour ce beau sourire.
Une très belle année à toi, au plaisir des lectures à venir <3
Bonjour,
Je suis actuellement sur des histoires, du coup je suis moins dans la poésie,
Mais en relisant des textes faits il y a quelques temps, je suis tombé sur beaucoup, dont certains qui n'ont jamais été lus,
Je voulais donc vous en poser un ici. Pour ma part, je ne suis pas très content de ce travail, il y a des choses d'apparences jolies, c'est sûr, c'était du speed writing, ça venait comme ça, et il n'est donc pas travaillé, c'est donc normal qu'il ne soit pas top,
J'aime bien ce genre d'exercices :)
Il s'appelle "impro de vivre"
[center]Je m’enivre de l’existence
En ébullition sont mes sens
Lorsque la peau de la vie
Frissonne mon être à l’infini.
Je m’exalte de chaque chose,
Je pense tant mais je ne l’ose
Aux caresses de ton toi fabuleux,
Me voici vagabond dans le chemin de tes yeux.
Ainsi s’ouvre la vie à chacun de tes rires,
Ma vie frissonne de plaisir à tes sourires,
A tes désirs.
Que s’enchantent tes plaines et puis tes vallées,
En toi coulent à foison les flots adorés,
Et tant aimés,
De la vie, du début à la fin, quand s’empressent
De vivre, d’aimer et d’emprisonner sans cesse,
Toutes nos tendresses.
Je me sens tant l’âme vive
Quand vivent en moi les rives
De tes si doux paysages
De tant d’amour(s) et d’orages.[/center]
EDIT: Non, je ne fais pas de double post ^^'
Je suis tombé sur un autre texte. Il me dérange un peu car mal exprimé, mais une idée qui en ressort est, je trouve, plutôt intéressante. Le beau se trouve en toute chose, et la chose parfaite n'est pas forcément ce qui est beau. Alors inutile de chercher la perfection, mais simplement d'être soit. Et si la beauté est la perfection, je préfère être laid.
[center]----
L'insouciance de la vie dans sa magnificence envie, est telle la mort dans son éternel Un fini. Et je vagabonde là, mécréant, profitant du repas nonchalant fait de beaux et d'éternels infinis.
Et je chante enfin la vie ! Je dis Oui, j'ose et remercie, tous ces êtres d'une splendeur meurtrie, trop sage encore pour oser contempler leur jolie.
Voyez comme le simple est beau, doux efficace,
Tout autant quand il m'écrase et que mon cœur casse.
Mais j’aime toujours l'infini, de son éphémère à sa folie.
J'ai tellement besoin d'elle, un besoin pour mon esprit.
Que s’écartèle mes pensées pour enfin voir en moi l'imparfait,
J'aime le raté, l'échoué, c'est cela qui me plaît
Cette beauté du Tout se transforme en chaque chose
Et la beauté pure, d'une laideur sans nom, mérite une prose[/center]
Je m’enivre de l’existence
En ébullition sont mes sens
Lorsque la peau de la vie
Frissonne mon être à l’infini.
Je m’exalte de chaque chose,
Je pense tant mais je ne l’ose
Aux caresses de ton toi fabuleux,
Me voici vagabond dans le chemin de tes yeux.
Ainsi s’ouvre la vie à chacun de tes rires,
Ma vie frissonne de plaisir à tes sourires,
A tes désirs.
Que s’enchantent tes plaines et puis tes vallées,
En toi coulent à foison les flots adorés,
Et tant aimés,
De la vie, du début à la fin, quand s’empressent
De vivre, d’aimer et d’emprisonner sans cesse,
Toutes nos tendresses.
Je me sens tant l’âme vive
Quand vivent en moi les rives
De tes si doux paysages
De tant d’amour(s) et d’orages.
En ébullition sont mes sens
Lorsque la peau de la vie
Frissonne mon être à l’infini.
Je m’exalte de chaque chose,
Je pense tant mais je ne l’ose
Aux caresses de ton toi fabuleux,
Me voici vagabond dans le chemin de tes yeux.
Ainsi s’ouvre la vie à chacun de tes rires,
Ma vie frissonne de plaisir à tes sourires,
A tes désirs.
Que s’enchantent tes plaines et puis tes vallées,
En toi coulent à foison les flots adorés,
Et tant aimés,
De la vie, du début à la fin, quand s’empressent
De vivre, d’aimer et d’emprisonner sans cesse,
Toutes nos tendresses.
Je me sens tant l’âme vive
Quand vivent en moi les rives
De tes si doux paysages
De tant d’amour(s) et d’orages.
EDIT: Non, je ne fais pas de double post '
Je suis tombé sur un autre texte. Il me dérange un peu car mal exprimé, mais une idée qui en ressort est, je trouve, plutôt intéressante. Le beau se trouve en toute chose, et la chose parfaite n'est pas forcément ce qui est beau. Alors inutile de chercher la perfection, mais simplement d'être soit. Et si la beauté est la perfection, je préfère être laid.
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L'insouciance de la vie dans sa magnificence envie, est telle la mort dans son éternel Un fini. Et je vagabonde là, mécréant, profitant du repas nonchalant fait de beaux et d'éternels infinis.
Et je chante enfin la vie ! Je dis Oui, j'ose et remercie, tous ces êtres d'une splendeur meurtrie, trop sage encore pour oser contempler leur jolie.
Voyez comme le simple est beau, doux efficace,
Tout autant quand il m'écrase et que mon cœur casse.
Mais j’aime toujours l'infini, de son éphémère à sa folie.
J'ai tellement besoin d'elle, un besoin pour mon esprit.
Que s’écartèle mes pensées pour enfin voir en moi l'imparfait,
J'aime le raté, l'échoué, c'est cela qui me plaît
Cette beauté du Tout se transforme en chaque chose
Et la beauté pure, d'une laideur sans nom, mérite une prose
L'insouciance de la vie dans sa magnificence envie, est telle la mort dans son éternel Un fini. Et je vagabonde là, mécréant, profitant du repas nonchalant fait de beaux et d'éternels infinis.
Et je chante enfin la vie ! Je dis Oui, j'ose et remercie, tous ces êtres d'une splendeur meurtrie, trop sage encore pour oser contempler leur jolie.
Voyez comme le simple est beau, doux efficace,
Tout autant quand il m'écrase et que mon cœur casse.
Mais j’aime toujours l'infini, de son éphémère à sa folie.
J'ai tellement besoin d'elle, un besoin pour mon esprit.
Que s’écartèle mes pensées pour enfin voir en moi l'imparfait,
J'aime le raté, l'échoué, c'est cela qui me plaît
Cette beauté du Tout se transforme en chaque chose
Et la beauté pure, d'une laideur sans nom, mérite une prose
Bonjour les gens,
Je ne sais pas si des gens me lisent, mais je continue quand même à poster, car j'aime écrire
Ici, quelques lignes, pas grand chose, juste une légère prose, qui m'ose liberté et quelques mots
Voici ces quelques syllabes s'inversant en des pensées, en des sons d'une caresse quelconque
Je vous laisse apprécier, ou détester :)
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Chaque instant est une nouvelle réalité
La vie évolue naturellement sans correspondre à une vérité
Idéalement, ce qui surprend est sa beauté,
à la vie
Son intense danse mettant en transe le moment
Où sourit
L’être charmant, nous laissant nous imaginer
Qu’un jour est Un Fini, sans finition vraiment