Il me semblait donc important que je m'exprime pour souligner que chacun était le bienvenu ici, quelque soit son niveau d'éducation/instruction.
Je pense que c'est l'essentiel
C'est le principe d'un forum, l'échange. Après, derrière, dans la vraie vie, hors cristaux liquides, chacun est ce qu'il est
Concernant l'échec de l'école à transmettre la langue, je ne peux que confirmer, hélas. D'ailleurs, mardi, je suis de jury de correction du concours de professeur des écoles et je ne me priverai pas de vous faire part de l'ampleur des dégâts : ces fautes de français qu'un CE1 ne devrait pas faire sont commises par la plupart des prétendants au titre... L'an dernier, à titre d'exemple, un des candidats reçus - donc qui est devant des élèves cette année - écrivait "faut" pour "faux" et citait Albin Michel pensant citer l'auteur...
Je suis toujours étonnée de lire ce genre de témoignage. Il y a une raison pour que l'éducation nationale recrute quand même ce type de candidat ? Genre une pénurie d'enseignants ? Ou c'est le niveau des candidats qui fait qu'ils ont pas le choix ?
Deux explications à ça :
- la pénurie de candidats. Il y a quelques années, dans mon académie, il y avait 1500 candidats pour 350 places. 825 candidats ont fait le déplacement cette année pour autant de places...
- c'est un concours, pas un examen, donc à partir du moment où ils remplissent les conditions d'entrée, on prend les 350 meilleurs et tant pis si le dernier à obtenu 4 de moyenne... Les rectorats préfèrent avoir un incompétent devant une classe, qu'une classe sans prof.
Et là je ne parle que du concours pour les professeurs des écoles. Pour être prof de maths en collège et lycée, il y a autant de candidats que de places...(le jury tient bon et ne prend pas tout le monde, ce qui crée la penurie, mais évite les trop grosses incompétences).
Eh Bobby : a obtenu
boby6 : Merci pour ces explications.
Ca me gonfle ces attaques discriminantes sur l'orthographe des gens.
Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir la même éducation. C'est un triste fait.
C'est pas parce qu'une personne ne sait pas écrire qu'elle est plus conne qu'une autre.
La seule chose qui est demandée est de faire du mieux que vous pouvez.
haaaaa blat ça y est je suis fan de toi !
Pas moi 
Il doit être content.Ca me gonfle ces attaques discriminantes sur l'orthographe des gens.
Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir la même éducation. C'est un triste fait.
C'est pas parce qu'une personne ne sait pas écrire qu'elle est plus conne qu'une autre.
La seule chose qui est demandée est de faire du mieux que vous pouvez.
haaaaa blat ça y est je suis fan de toi !
Tu devrais lui faire une fanfiction à lui aussi.
Il doit être content.Ca me gonfle ces attaques discriminantes sur l'orthographe des gens.
Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir la même éducation. C'est un triste fait.
C'est pas parce qu'une personne ne sait pas écrire qu'elle est plus conne qu'une autre.
La seule chose qui est demandée est de faire du mieux que vous pouvez.
haaaaa blat ça y est je suis fan de toi !
Tu devrais lui faire une fanfiction à lui aussi.
Île haie dés jas deux dents.
je-tu il/elle/on
Pronoms singuliers, jamais de "s"
Oui c'est exactement ce que je me disais.
Mais comme j'ai eu un doute après avoir lu plusieurs fois "on s'est levés", ou des accords de ce type, j'ai "googlisé" et il semblerait que si "on" désigne plusieurs personnes définies, il faille faire l'accord... mais ça me semble bizarre à la lecture...
merci quand même Suzie
tout dépend du " on ", si tu parles d'une unité ou sous-entends une unité comme le monde ( par ex )alors pas de "s" mais si tu sous-entends plusieurs personnes ( par ex) Pierre, Paul et Jacques et moi, on s'est levés donc un "s"
on ne le trouve pas souvent parce qu'on emploie plus souvent le " nous" à l'écrit et le " on " à l'oral. voilà
pas de "s" a levé.
Voilà, si cela a pu te confirmer ton idée!
Bien a toi 
Aller j'apporte ma pierre à l'édifice 
Doit-on accorder le participe passé employé avec « on » ?
Ce qui est très perturbant, chez ce « on », c’est qu’il correspond à la troisième personne du singulier, alors que, la plupart du temps, il désigne un collectif.
Étymologiquement, nous l’avons vu, « on » est masculin singulier. Le participe passé du verbe dont il est sujet s’accorde donc au masculin singulier. Ainsi, le talk-show de Laurent Ruquier diffusé tous les samedis soir sur France 2 s’intitule On n’est pas couché. Dans ce cas, « on » a une valeur englobante, il ne désigne personne en particulier.
Mais depuis le XVIIe siècle, l’attribut peut s’accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu’elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d’être ensemble, elles pourront s’exclamer « On est contentes ! » ; l’accord se faisant au féminin pluriel.
Cela dit, si l’une et l’autre de ces formes vous gênent, rien ne vous empêche de remplacer « on » par « nous », ou de conserver les deux, pour plus d’emphase. Par exemple, un des livres de l’économiste Jacques Généreux, préfacé par Jean-Luc Mélenchon, a pour titre : Nous, on peut !
https://www.projet-voltaire.fr/culture-generale/etymologie-forme-sens-accord-du-pronom-on/
si tu sous-entends plusieurs personnes ( par ex) Pierre, Paul et Jacques et moi, on s'est levés donc un "s"A mon sens, s'il y a "moi" ce n'est pas "on" mais "nous". Moi+autre(s)= nous, il(s)+/-elle(s)+/- +/-...=on
mea culpa
dans les paroles de Bords de Seine, que j'avais retranscrites et qui sont maintenant dans la discographie, j'ai fait une faute de français.
faudrait corriger svp, merci
je vous laisse chercher un peu quand même hein
des devoirs en plus pour blat
C'est corrigé
J'ai même pas eu à chercher, merci Isa qui m'a pointé la bonne ligne !
C'est corrigé
J'ai même pas eu à chercher, merci Isa qui m'a pointé la bonne ligne !
haha Isa avec un seul café elle est pas réveillée, et elle voit que dalle....
si vous avez des trucs à lui faire signer, faut la choper le matin
haha Isa avec un seul café elle est pas réveillée, et elle voit que dalle....
si vous avez des trucs à lui faire signer, faut la choper le matin
Chuteeeeeeeeeuh on avait dit que ça restait entre nous
