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[b]Le Majordome[/b] de Lee DANIELS, Pffffffffffffffffffffff..... A la rigueur pour la prestation de Forest WHITAKER, qui joue ce majordome au service de la Maison Blanche. Trop de bons sentiments et de glorification des USA.
[b]Adam's apple[/b] et [b]Les bouchers verts[/b] de Anders Thomas JENSEN. Un humour décalé, parfois un peu noir, des bons comédiens, tout n'est pas parfait mais on passe un bon moment. Adam's apple : un pasteur un peu naïf, qui accueille d'anciens détenus, reçoit un néo-nazi à sa sortie de prison. Les bouchers verts : 2 collègues dans une boucherie décident d'ouvrir la leur, un accident va leur faire vendre une viande particulière que les clients vont s'arracher.
[b]Guerrière[/b] de David WNENDT. Un film sur une jeune femme d'extrême droite en Allemagne. Des acteurs convaincants, un réalisateur qui ne dirige pas les pensées du spectateur mais montre seulement la réalité d'une jeunesse qui cherche à tromper son désoeuvrement et son désarroi face à une société qui n'offre plus aucune sécurité en se radicalisant. Une scène notamment intéressante où ils regardent un documentaire sur les Juifs qui s'infiltrent partout pour dominer le monde, mais comment peut-on laisser notre pays aux mains de ces dégénérés qui tuent les animaux comme des barbares...
Le loup de wall street
Bah tout d'abord, c'est quand même super long, alors quand le rythme fléchit un peu au 2/3 du film, ca pique.
Mais alors Léonardo est mangifique, il est pendant tout le film (3h qd meme au montage, donc ca doit faire des kms de rush) dans toutes les scènes et il est énorme. Il joue tout ici, un rôle un peu à la Gatsby, ambivalent, mais quel talent :)
mais le plus inquiétant dans tout ça, c'est que la base du scénario c'est un roman auto biographique, et que tout ca s'est passé, et continue encore de se passer...
[b]Yves Saint Laurent[/b] de Jalil LESPERT. Pierre NINEY confirme qu'il est un comédien monstrueusement talentueux, agréablement surprise par la subtilité du jeu de Guillaume GALLIENNE. MAIS des seconds rôles aussi creux qu'un cerveau de politicien et un scénario absent qui ne parle que de façon anecdotique du processus de création. Un film pour ceux que la presse people intéresse : YSL en boite de nuit, YSL tape un rail de coke, YSL se fait sodomiser, YSL tape un rail de coke, YSL pleure, YSL tape un rail de coke, YSL se fait prendre en photo avec sa famille, YSL tape un rail de coke, YSL achète un bouddha, YSL tape un rail de coke...
[b]La vie rêvée de Walter Mitty[/b] de Ben STILLER. Idée intéressante du type sui rêve sa vie au lieu de la vivre et finit par décider de vivre mais je me suis ennuyée tout le long du film, il manque un truc et c'est vraiment trop mielleux à l'américaine.
[b]Le loup de Wall Street[/b] de Martin SCORSESE. Un putain de bon film comme Scorsese n'en n'avait plus fait depuis quelques années. J'ai un pue attendu la fin avec impatience les dernière 1/2 heure, comme le dit kaio le film perd en rythme, et puis je déteste tellement ce monde et ces gens que 3 heures en leur compagnie c'est long. Mention spéciale à Leonardo DI CAPRIO, son nom devrait suffire à définir ce qu'est un acteur, il est magistral dans chaque scène, à chaque film je le trouve parfait et il parvient quand même à me bluffer à chaque prestation !
Petite dédicace à @Spleen, je ne sais pas comment tu as découvert Robert SHEEHAN mais je te conseille [b]Cherrybomb[/b] de Lisa BARROS D'SA & Glenn LEYBURN, l'histoire de 2 garçons dont l'amitié va être chamboulé par l'arrivée d'une jeune fille dotn ils tombent amoureux. Si vraiment t'as rien d'autre à faire tu peux aussi l'admirer dans [b]Killing Bono[/b] de Nick HAMM, film plus que moyen sur 2 frères qui ont réellement passé leur scolarité avec Bono et rêvaient d'être à la place de U2.
Un film où il est encore enfant, qui est l'équivalent masculin de [b]The Magdalene Sisters[/b] de Peter MULLAN, c'est le très dur [b]Song for a raggy boy[/b] de Aisling WALSH qui retrace l'histoire vraie d'un professeur envoyé dans cette maison de redressement aux méthodes plus que douteuses, dans l'Irlande des années 30.
[b]Il était temps[/b]
J'avais classé ça dans les comédies bidons que je devais détester, mais en fait j'ai passé un très bon moment !
Un peu d'humour et de sensibilité, et ça en fait une comédie très sympa à regarder.
Comme quoi, les préjugés...
LA MARCHE, c'est la première fois que je vais au ciné avec le lycée pour voir un film aussi bien!
[b]C'est arrivé près de chez vous[/b], depuis le temps qu'on me dit de le regarder ...! J'aime pas du tout Poelvoorde (oui j'ai fais copier-coller pour son nom parce que je ne saurais jamais écrire --' ) mais là il passe crème ! J'Approuve avec un grand A ! :)
YSL
bah bluffé par Pierre Niney mais surtout par Guillaume Gallienne, ce gars est un acteur génial.
sinon contrairement à Angie je trouve que c'est quand même bien ancré dans l'univers de la haute couture, ca marque bien la sensibilité qui révèle le génie mais qui est aussi auto destructrice. Bref j'aime bien.
pis y a pas de scene crue comme tous les films se sentent aujourd'hui obligé de nous montrer et ca j'aime aussi.
Effectivement @Maitre_Kaio on ne peut pas lui reprocher de scènes crues. Mais c'est vrai que si je devais recommander un film de Jalil LESPERT, ce serait plutôt [b]Des vents contraires[/b] qui retrace le cheminement d'un père (joué remarquablement pat Benoit MAGIMEL) et ses enfants, suite à la disparition sans explications de sa femme. Je pense qu'il doit savoir admirablement diriger ses comédiens parce que dans ce film j'ai découvert un Ramzi BEDIA et un Antoine DULERY bluffants, touchants, fins.
Sinon j'ai enfin vu [b]Inside Llewyn Davis[/b] de Joël et Ethan COEN. C'est du cinéma, c'est touchant, c'est juste, c'est beau, c'est drôle, c'est vivant. Certainement un de leurs films que j'ai le plus aimé, c'est ma palme d'or. Le film nous embarque une semaine dans la vie d'un de ses musiciens, qui ne percera jamais et passera sa vie à survivre sur les canapés d'amis de moins en moins nombreux et dans des bars plus ou moins miteux. [spoiler] La scène finale est terrible et résume toute la tragédie du personnage principal, le soir où il peut jouer avec le Times dans la salle, Bob DYLAN prend place après lui pendant qu'il se fait tabasser dans une ruelle derrière le bar.[/spoiler] Un film ultra référencé sur la folk des années 50, c'est-à-dire avant le débarquement de tous ceux qui vont percer. Je me demande dans quelle mesure le choix de "Dean Moriarty" comme chauffeur pour le voyage à Chicago n'est pas un hommage à [i]Sur la route[/i] de KEROUAC (un des livres référence de celui qui a inspiré le film des COEN, Dave VAN RONK) en même temps qu'un clin d'oeil au mépris mutuel que se vouaient à l'époque les chanteurs folks et les beatniks.
12 Years a Slave: une des plus limpides explorations du racisme, et de l'esclavage qu'il m'ait été donné de voir au cinéma!! un réalisme très cru, très brutal, sans pour cela tomber dans la facilité d'un film moralisateur larmoyant: un grand film à ne pas rater, et à partager...
Albator , corsaire de l'espace de Shinji Aramaki
bon c'était en décembre mais pas retournais au ciné depuis
retrouver l'un des héros dont j'étais amoureuse petite (oui j'étais amoureuse que des "trash" albator , cobra et surtout ken le survivant ) c'était magique, images sublimes , l'Arcadia est juste à couper le souffle , Miimé est enfin comme on l'esperait : parfaite et sublime , Albator reste Albator :p
par contre j ai été vraiment déçue par Key , elle est comment dire bonnasse (je trouve pas d autre mot désolée ) mais du coups il lui manque la douceur des anims d'antan et puis la scène de la douche qui ne sert strictement a rien a part voir un bout de sein ><
l'histoire : bien sympa , on apprend plein de choses mais je ne saurait comment dire , il me manquait un petit truc
bref avis partagé , c est du Albator c est sur mais il manquait le petit truc de l'époque
ca y est je découvre les joies de la tv à la demande, résultat par ce beau temps, 2 films matés hier:
Moebius:
Un film d'espionnage, assez classique, pas transceandant mais ça passe. FSB, CIA, mafia... dans la milieu de la haute finance et du blanchiment à (très) grande échelle.
par contre, les scènes de baise entre dujardin et cécile de France sont sans doute les plus nulles de l'histoire du cinéma.
Max:
sympathique petite comédie avec un casting réussi (notamment les seins de Mathilde Seigner sont très convaincants). Ca donne le sourire, même si tout est évidemment prévisible.
Moebius, pfiou j'ai beau l'avoir vu 2 fois il reste un sacré paquet de choses dont je n'ai pas du bien saisir la subtilité ! :p
Et grâce à la TV à la demande également :p :
[b]Operación E : [/b] Largement critiqué par les médias bobos, encore un film sur les Farcs qui embrigadent à tour de bras les mineurs... dommage que les enjeux géopolitiques ne soient pas mieux explicités ! A voir pour la prestation du superbe Luis Tosar (qui dans son rôle est particulièrement agaçant ^^), la musique, les ambiances, les couleurs et le drame bouleversant de cette histoire vraie dont les médias à l'époque n'avaient montré que la partie visible de l'iceberg.
[b]Un pistolet dans chaque main :[/b] Une pépite ! Avec encore Luis Tosar, ainsi que Ricardo Darin et le magnifique Eduard Fernández. Un tableau de 8 hommes à l'approche de la quarantaine qui servent d'exemple à la crise d'identité masculine. Traité avec beaucoup de finesse et de simplicité... Avec des pointes d'humour, la force de se film réside dans la description des peurs et des inquiétudes des personnages.
Et hop une ptite photo parce que ce film est vraiment un gros coup de cœur !
[url=http://pix.toile-libre.org/?img=1392034087.jpg][img]http://pix.toile-libre.org/upload/thumb/1392034087.jpg[/img][/url]
[b]la belle et la bête[/b] curiosité à la con qui m'a fait passer la porte du cinoche, passez votre chemin : pas d'âme, pas de poésie, que du fric pour de jolis décors, de jolis costumes, mais des dialogues de merde, des acteurs mauvais...
The Lunchbox, un vrai bijou tout en finesse dans le Bombay d'aujourd'hui, tout y est juste parfait :)
20 ans d'écart
Que dieu bénisse Virginie Efira :D
plus sérieusement, comédi sympatoche, on sait ce qui va se passer mais bon, ca se regarde ca fait sourire, notemment quand Pierre Niney revoit ses tables de multiplications :D
Efira est convaincante, au delà du fait qu'elle est magnifique.
J'adore Charles Berling dans le rôle du père :D
[b]Effets secondaires[/b]
En voila un scénario qui surprend ! :)
(Bon Jude Law a de moins en moins de cheveux sur le caillou mais on ne lui en veut pas !)
" De battre mon coeur s'est arrêté "
Pas mal même si un peu déçu, après c'est du Audiard. J'ai toujours trouvé Romain Duris sympathique en tant qu'acteur, même s'il ne figure pas au rang des meilleurs à mes yeux. :)
Monuments Men
boring
c'est une histoire vraie mais en faire un film sans y ajouter des émotions fortes, autant faire un documentaire.
George Clooney, Matt Damon, Bill Murray, Kate Blanchett, John Goodman, Jean Dujardin...
ils ont déboursé pour avoir des acteurs connus, mais ils ont oublié de bien ficeler le scénario ou les dialogues.
Et puis les scènes soi-disant tournées en France ont été faites en GB parce que les fenêtres á guillotine en France, jamais vu. Je sais c'est un détail mais ça m'énerve.
[b]Des nouvelles du Bon Dieu[/b] de Didier Le Pêcheur (1996)
Film avec un bon casting (Marie Trintignant, Christian Charmetant, Maria de Medeiros, Michel Vuillermoz, Jean Yanne), qui se positionne comme une mise en abîme de la condition du personnage, par rapport à l'écrivain et à la religion. Un film plutôt déjanté, avec un humour noir et absurde que je trouve réussi, mais surtout un dialogue sensé et plaisant (j'ai surpris quelques clins d'oeil (fictifs ou pas) à des films de la Nouvelle Vague).
Donc voilà, un film assez court (1h37) que je conseille pour son originalité.
Le scénario n'est pas sans rappeler certaines oeuvres de Werber, auquel je n'accroche absolument pas pour autant.
j'ai emmené deux louloutes de 7 et 12 ans voir "Jack et la mécanique du cœur" (bonne excuse pour pouvoir y aller moi-même hein!). Je le conseille vraiment à tous, c'est poétique, les graphismes sont très chouettes, les filles (malgré leur degré d'hyperactivité trèèèèèès élevé oO) n'ont pas décroché une seconde, elles ont ri et même eu quelques larmes.
Je ne sais pas si, en fait, ce qui m'a le plus plu est le film ou de voir les émotions sur leurs visages. Les deux je crois...
Bref, c'est à voir!
[b]Dallas Buyers Club[/b] de Jean-Marc VALLEE. Matthew McCONAUGHEY est bluffant dans le rôle de cet homme qui va apprendre sa maladie à une époque où on ignorait à peu près tout du SIDA, où on tâtonnait encore sur le passage de la séropositivité au stade SIDA, où ce n'était qu'une maladie de sales tapettes dégénérées qui servaient de cobayes pour labos pharmaceutiques dans les hôpitaux qui acceptaient d'essayer de trouver des solutions, donc une période qui va amener des malades à fonder des "buyers club" pour permettre à ceux qui ne rentrent pas dans les protocoles ou qui ne supportent pas l'AZT d'être soulagés dans leurs derniers mois de vie à défaut de guérir. Bref une époque qui permet à ceux qui l'ont vécue de savoir à quoi sert une capote, aussi désagréable soit-elle.
J'ai beaucoup aimé parce que le film dépeint l'histoire d'un mec homophobe, pas franchement sympathique, qui va se débattre avec ce cataclysme qui s'abat sur lui. Le film ne fait pas dans le voyeurisme ou la larme facile et montre cet homme tel qu'il était, notamment dans ses rapports particuliers avec son associé, un travesti joué magnifiquement par Jared LETO, aucun personnage n'est caricaturé, le statut de ces personnes à cette époque est transposé avec beaucoup de justesse. C'est pas une histoire gaie mais un beau moment de cinéma.
[b]12 years a slave[/b] de Steve McQUEEN. Une énorme claque. Il y a tellement de choses à dire et en même temps aucun mot ne me parait convenir. La réalité crue de l'esclavage sans tomber dans le binaire. Chacun est montré comme un homme, c'est-à-dire que les Noirs ne sont pas forcément bons et certains Blancs se posent aussi des questions et se sentent prisonniers de cet état de fait. [spoiler]L'idée de la chanson de Paul DANO est très bien trouvée et l'acteur est remarquable. L'interminable séquence où Chiwetel EIJOFOR fixe le spectateur glace le sang. Je crois que celui qui m'a le plus impressionnée est Michael FASSBENDER dans le rôle du propriétaire le plus terrifiant de l'histoire.[/spoiler]
Le réalisateur a vraiment su retranscrire l'esclavage dans toute l'horreur de sa réalité. C'est un film où on considère le spectateur comme quelqu'un d'intelligent, qui va se poser des questions en sortant, notamment sur ses lâchetés quotidiennes ou à ses renoncements qui permettent à des situations inhumaines de perdurer si longtemps. En voyant ce film on comprend mieux comment lui, l'Anglais, avait pu faire un des films les plus percutants sur le conflit Irlandais.
[b]9 mois fermes[/b] d'Albert DUPONTEL. Un peu de légèreté, toujours autant de poésie dans le monde bancal et un peu cassé de Dupontel. Pas son meilleur mais des séquences qui valent le détour, des personnages hauts en couleurs, Sandrine KIBERLAIN est fabuleuse, et puis une micro apparition du génie Terry GILLIAM. Un bon moment de détente.
Only lovers left alive de Jarmush, que je recommande plus que chaudement... Bande originale hypnotique et superbe, photo splendide, un pur moment de merveille, à déconseiller à ceux qui attendent un film où il se passe quelque chose, car c'est pas vraiment le cas, mais je suis sous le charme depuis une semaine !
[b]The Grandmaster[/b] de Wong KAR-WAI. Biographie d'un maître de kung-fu. Un réalisateur toujours aussi subtil et brillant, il y montre bien la complexité des arts martiaux, les comédiens sont excellents. Un beau moment, et un hommage à Sergio LEONE.
[b]Le bruit des gens autour[/b] de DIASTEME. Pas le film du siècle mais une chouette découverte. Avignon, des intermittents sur les planches et dans la vie, mais au fond où est la frontière. Je suis amoureuse de Lin DAN PHAM même si son personnage est horripilant, Olivier MARCHAL est très très bon, une chorégraphie inspirée de Sidi Larbi CHERKAOUI, un très beau passage du film avec le tout nouveau directeur du festival d'Avignon, Olivier PY.
Au Bout Du Conte
Comme d'hab avec Bacri/Jaoui, on a l'impression que ca va etre nul pis en fait c'est super bien. Avec Benji en grand méchant loup.
Quelle justesse dans les situations, dans la représentation des sentiments, des bon ou des mauvais cotés... et Bacri... je le kiffe.
Bon maintenant c'est Iron Man 2 et 3, autre registre ;)
[quote="Maitre Kaio"]Au Bout Du Conte
Comme d'hab avec Bacri/Jaoui, on a l'impression que ca va etre nul pis en fait c'est super bien. Avec Benji en grand méchant loup.
Quelle justesse dans les situations, dans la représentation des sentiments, des bon ou des mauvais cotés... et Bacri... je le kiffe.[/quote]
Je vais peut-être me laisser tenter alors, surtout que je suis secrètement amoureuse de Bacri !
[b]Camille redouble[/b] de Noémie LVOVSKY. Sur le papier ça me tentait pas , l'histoire d'une femme alcoolique en pleine séparation qui retombe en adolescence au moment où elle a rencontré son futur mari, et en fait il y a de jolis moments, drôles ou émouvants, ça ressemble à la vie mais on sort du film avec un petit sourire dans le cœur et ça fait pas de mal.
[b]J'aime regarder les filles[/b] de Frédéric LOUF. Un jeune lycéen modeste tombe amoureux d'une jeune fille issue d'une famille bourgeoise parisienne. La confrontation des 2 mondes est convaincante, le passage du dîner avec ces jeunes qui parlent de l'arrivée de Mitterrand et des chars russes à Paris rappelle combien beaucoup n'ont bêtement pas évolué depuis. Pierre NINEY était déjà brillant, mais @Maitre_Kaio devrait être sensible à [url=http://static1.get-the-look.fr/articles/1/33/81/@/12037-lou-de-laage-le-19-juillet-2011-pour-592x0-2.jpg]d'autres arguments[/url]. Un film sympathique à voir même si je pense qu'il sera vite oublié.
[b]Alabama Monroe[/b] de Felix Van GROENINGEN. Un film qui rassemble beaucoup de choses qui me dérangeraient dans n'importe quel autre film mais qui fonctionnent ici. Un chanteur de bluegrass rencontre une tatoueuse, mariage, bébé, et puis... la vie souvent cruelle. De très bons comédiens, une bonne BO, des belles images, une utilisation des flashbacks intelligente. Ce film est tout ce que [b]La guerre est déclarée[/b] n'est pas, c'est-à-dire un bon film.
http://www.youtube.com/watch?v=mS7rDeeWFzU
Au Bout Du Conte
Comme d'hab avec Bacri/Jaoui, on a l'impression que ca va etre nul pis en fait c'est super bien. Avec Benji en grand méchant loup.
Quelle justesse dans les situations, dans la représentation des sentiments, des bon ou des mauvais cotés... et Bacri... je le kiffe.
Je vais peut-être me laisser tenter alors, surtout que je suis secrètement amoureuse de Bacri !
Camille redouble de Noémie LVOVSKY. Sur le papier ça me tentait pas , l'histoire d'une femme alcoolique en pleine séparation qui retombe en adolescence au moment où elle a rencontré son futur mari, et en fait il y a de jolis moments, drôles ou émouvants, ça ressemble à la vie mais on sort du film avec un petit sourire dans le cœur et ça fait pas de mal.
J'aime regarder les filles de Frédéric LOUF. Un jeune lycéen modeste tombe amoureux d'une jeune fille issue d'une famille bourgeoise parisienne. La confrontation des 2 mondes est convaincante, le passage du dîner avec ces jeunes qui parlent de l'arrivée de Mitterrand et des chars russes à Paris rappelle combien beaucoup n'ont bêtement pas évolué depuis. Pierre NINEY était déjà brillant, mais Maitre Kaio devrait être sensible à d'autres arguments. Un film sympathique à voir même si je pense qu'il sera vite oublié.
Alabama Monroe de Felix Van GROENINGEN. Un film qui rassemble beaucoup de choses qui me dérangeraient dans n'importe quel autre film mais qui fonctionnent ici. Un chanteur de bluegrass rencontre une tatoueuse, mariage, bébé, et puis... la vie souvent cruelle. De très bons comédiens, une bonne BO, des belles images, une utilisation des flashbacks intelligente. Ce film est tout ce que La guerre est déclarée n'est pas, c'est-à-dire un bon film.
http://www.youtube.com/watch?v=mS7rDeeWFzU
[b]le feu follet[/b] - Louis Malle (d’après le roman de Pierre Drieu la Rochelle)
zapping télé oblige, je suis tombée par hasard sur ce film de 1963, et j'ai pas pu éteindre
résumé (merci France 2):
Alain Leroy effectue un séjour dans une clinique de désintoxication, en région parisienne. Dorothy, son épouse, l'a quitté pour aller vivre aux Etats-Unis. Lors de sa première sortie, Alain revoit Lydia, une amie de Dorothy. Il passe la nuit avec elle. Mais Alain, qui n'est plus tenté par la vie, n'a pas le courage de se remettre à travailler. Après avoir fait un bilan de son passé, il prépare son suicide, dont il inscrit la date sur une glace : le 23 juillet. Avant ce jour fatidique, il revoit quelques amis d'autrefois. Sur sa table de nuit veille son revolver. Ses derniers mots sont les suivants : «Je me tue parce que vous ne m'avez pas aimé, parce que je ne vous ai pas aimés»...
noir et blanc, ambiance années 60 :) á voir, et surement á lire.