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la proposition de paroles de boby6 :
[quote="boby6"]
Les fils d'Artaud
A la fleur de mes nuits
Aux amoureux dans l'incendie
A tes yeux qui salivent
A ses choses qui arrivent
Aux horizons du soir
Pourquoi pas à l'espoir
A ses vins qui tiennent chaud
A nos ivres bateaux
Au plaisir au désir
De tout quitter sur un soupire
Aux adieux aux toujours
Aux promesses aux amours
Aux noirceurs à nos cœurs
Aux lueurs à nos peurs
A ton cœur fatigué
A nos travers nos libertés
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
Aux bistrots résistants
Aux alternatifs enfants
Aux violettes aux printemps
Aux obscurs aux arborescents
Aux navires échoués
Sur les trottoirs condamnés
A ses chants des esclaves
A ses océans sans rivages
Aux enfants de Truffaut
A nous, les fils d'Artaud
Aux amours sans chapelle
Aux nuit à bouffer ton fiel
Aux coins des abat-jour
Aux armes de nos amours
A nos sangs littéraires
A nous deux à la Terre
Aux siècles sans talents
Aux gloires pour des quarts d'heure de temps
A ton parfum de Spleen
A s'aimer sous le chant du cygne
Au sens des écritures
Au fil des littératures
Aux pays sans frontières
Aux coup de marteau sur les nerfs
Aux armées d'oubliées
A nous les désespérés
A nos cœurs écorchés
A nos corps embrassés
A nos corps écorchés
A nos cœurs embrassés
Le jour se lève et je ne vois que le silence aux horizons
Dans le jardin de nos enfances je crois qu'il est mort le ( ?pinson?)
( ?Sur le sol …. des écorchés ….?)
Écarteront le souvenir d'un pinson dans le lointain
Sur le chant du vent des plaines
Qui nous mènera au printemps
Mais qui sait sur le chemin
Chanter le chant des partisans
Nous serons fiers nous serons humbles
Notre sang sera du vin
Des amours pour soigner la Terre
Des infinis ( ?contre …?)
Ami viens te joindre à la table
Non c'est pas celle du roi
Les amis sont solidaires
Tout mon amour sera pour toi
Et vagabonde et soleil noir
Au loin des villes sans lumière
Pour garder au fond un espoir
Celui du loup dans les clairières
Notre étoile a le goût du souffre
Mais elle éclaire comme un millier
De chandelles en procession
Des oriflammes à l'horizon
(????) sous les grandes ours
Non nous ne sommes pas funéraires
Nous sommes fils de la renaissance
Sous le drapeau des libertés
Sous le drapeau
Sous le drapeau
Des libertés
Des libertés
Des libertés[/quote]
Les fils d'Artaud
A la fleur de mes nuits
Aux amoureux dans l'incendie
A tes yeux qui salivent
A ses choses qui arrivent
Aux horizons du soir
Pourquoi pas à l'espoir
A ses vins qui tiennent chaud
A nos ivres bateaux
Au plaisir au désir
De tout quitter sur un soupire
Aux adieux aux toujours
Aux promesses aux amours
Aux noirceurs à nos cœurs
Aux lueurs à nos peurs
A ton cœur fatigué
A nos travers nos libertés
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
Aux bistrots résistants
Aux alternatifs enfants
Aux violettes aux printemps
Aux obscurs aux arborescents
Aux navires échoués
Sur les trottoirs condamnés
A ses chants des esclaves
A ses océans sans rivages
Aux enfants de Truffaut
A nous, les fils d'Artaud
Aux amours sans chapelle
Aux nuit à bouffer ton fiel
Aux coins des abat-jour
Aux armes de nos amours
A nos sangs littéraires
A nous deux à la Terre
Aux siècles sans talents
Aux gloires pour des quarts d'heure de temps
A ton parfum de Spleen
A s'aimer sous le chant du cygne
Au sens des écritures
Au fil des littératures
Aux pays sans frontières
Aux coup de marteau sur les nerfs
Aux armées d'oubliées
A nous les désespérés
A nos cœurs écorchés
A nos corps embrassés
A nos corps écorchés
A nos cœurs embrassés
Le jour se lève et je ne vois que le silence aux horizons
Dans le jardin de nos enfances je crois qu'il est mort le ( ?pinson?)
( ?Sur le sol …. des écorchés ….?)
Écarteront le souvenir d'un pinson dans le lointain
Sur le chant du vent des plaines
Qui nous mènera au printemps
Mais qui sait sur le chemin
Chanter le chant des partisans
Nous serons fiers nous serons humbles
Notre sang sera du vin
Des amours pour soigner la Terre
Des infinis ( ?contre …?)
Ami viens te joindre à la table
Non c'est pas celle du roi
Les amis sont solidaires
Tout mon amour sera pour toi
Et vagabonde et soleil noir
Au loin des villes sans lumière
Pour garder au fond un espoir
Celui du loup dans les clairières
Notre étoile a le goût du souffre
Mais elle éclaire comme un millier
De chandelles en procession
Des oriflammes à l'horizon
(????) sous les grandes ours
Non nous ne sommes pas funéraires
Nous sommes fils de la renaissance
Sous le drapeau des libertés
Sous le drapeau
Sous le drapeau
Des libertés
Des libertés
Des libertés
et celles de Conne-damnee :
[quote="Conne-damnee" date="2012-08-30 10:53:06"]
" [i]A la fleur de mes nuits, Aux amoureux dans l'incendie,
A tes yeux qui salivent, A ces choses qui arrivent,
Aux horizons du soir, Pourquoi pas à l'espoir,
A ces vins qui tiennent chaud, A nos ivres bâteaux,
Au plaisir, Au désir de tout quitter sur un soupir,
Aux adieux, Aux toujours, Aux promesses, Aux amours,
Aux noirceurs, A nos coeurs, Aux lueurs, A nos peurs,
A ton coeur fatigué, A nos travers, Nos libertés,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser.
Aux bistrots résistants, Aux alternatives, Enfant,
Aux violettes, Aux printemps, Aux obscures, aux arborescents,
Aux navires échoués sur les trottoirs condamnés,
A ces chants des esclaves, A ces océans sans rivages,
Aux enfants de Truffaud, A nous les fils d'Artaud,
Aux amours sans chapelles, Aux nuits à bouffer ton fiel,
Aux coins des abats-jour, Aux armes de nos amours,
A nos sangs littéraires, A nous deux, à la terre,
Aux siècles sans talents, Aux gloires des quarts d'heure du temps,
A ton parfum de spleen à s'aimer sous le chant du cygne,
Au sens des écritures, Au fil des littératures,
Aux pays sans frontières, Aux coups de marteaux sur les nerfs,
Désormais tous pliés, A nous les désespérés,
A nos coeurs écorchés, A nos corps embrassés,
A nos corps écorchés, A nos coeurs embrassés.
Le jour se lève et je la vois, le silence aux horizons,
Dans les jardins de nos enfances, je crois qu'il est mort le poisson,
Sûr ça laissera pas rose et les écorchures à nos mains,
Garderons le souvenir d'un pincement lointain,
Suivons le chant du vent des plaines qui emmènera au printemps,
Et qui sait sur les chemins chanter le chant des partisans,
Nous serons fiers nous serons humbles notre sang sera divin,
Des amours pour soigner la terre, des infinis contre les miens,
Ami viens te joindre à la table, non, c'est pas celle du roi,
Mes amis sont solidaires, mon amour sera pour toi,
Vagabonde et soleil noir, loin des villes sans lendemain,
Gardez au fond un espoir, celui des villes ou dans les clairières,
Notre étoile a le goût du souffre mais elle claire comme un millier
De chandelles en processions, des orifleurs en horizon,
Levons-nous sous sous les grandes ourses, non, nous ne sommes pas funéraires,
Des sophistes de la renaissance, au drapeau des libertés,
Sous le drapeau, sous le drapeau... Des libertés. Des libertés. Des libertés. [/i]"
[/quote]
" A la fleur de mes nuits, Aux amoureux dans l'incendie,
A tes yeux qui salivent, A ces choses qui arrivent,
Aux horizons du soir, Pourquoi pas à l'espoir,
A ces vins qui tiennent chaud, A nos ivres bâteaux,
Au plaisir, Au désir de tout quitter sur un soupir,
Aux adieux, Aux toujours, Aux promesses, Aux amours,
Aux noirceurs, A nos coeurs, Aux lueurs, A nos peurs,
A ton coeur fatigué, A nos travers, Nos libertés,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser.
Aux bistrots résistants, Aux alternatives, Enfant,
Aux violettes, Aux printemps, Aux obscures, aux arborescents,
Aux navires échoués sur les trottoirs condamnés,
A ces chants des esclaves, A ces océans sans rivages,
Aux enfants de Truffaud, A nous les fils d'Artaud,
Aux amours sans chapelles, Aux nuits à bouffer ton fiel,
Aux coins des abats-jour, Aux armes de nos amours,
A nos sangs littéraires, A nous deux, à la terre,
Aux siècles sans talents, Aux gloires des quarts d'heure du temps,
A ton parfum de spleen à s'aimer sous le chant du cygne,
Au sens des écritures, Au fil des littératures,
Aux pays sans frontières, Aux coups de marteaux sur les nerfs,
Désormais tous pliés, A nous les désespérés,
A nos coeurs écorchés, A nos corps embrassés,
A nos corps écorchés, A nos coeurs embrassés.
Le jour se lève et je la vois, le silence aux horizons,
Dans les jardins de nos enfances, je crois qu'il est mort le poisson,
Sûr ça laissera pas rose et les écorchures à nos mains,
Garderons le souvenir d'un pincement lointain,
Suivons le chant du vent des plaines qui emmènera au printemps,
Et qui sait sur les chemins chanter le chant des partisans,
Nous serons fiers nous serons humbles notre sang sera divin,
Des amours pour soigner la terre, des infinis contre les miens,
Ami viens te joindre à la table, non, c'est pas celle du roi,
Mes amis sont solidaires, mon amour sera pour toi,
Vagabonde et soleil noir, loin des villes sans lendemain,
Gardez au fond un espoir, celui des villes ou dans les clairières,
Notre étoile a le goût du souffre mais elle claire comme un millier
De chandelles en processions, des orifleurs en horizon,
Levons-nous sous sous les grandes ourses, non, nous ne sommes pas funéraires,
Des sophistes de la renaissance, au drapeau des libertés,
Sous le drapeau, sous le drapeau... Des libertés. Des libertés. Des libertés. "
chanson générationnelle, l'héritage d'Antonin Artaud, du surréalisme et du Théatre de la Cruauté.
Je me demande si à la fin c'est pas libertaires au lieu de libertés (et ça ferais la rime avec funéraires).
[url=http://morne.free.fr/celluledessites/OeilZinE/absoluantoninartaud.htm]Le Pèse-nerfs[/url]
La première version me semble plus juste, mais quelques petites ajustements semblent nécessaires.
Le jour se lève et je ne vois que le silence aux horizons
Dans le jardin de nos enfances je crois qu'il est mort [b]le pinson[/b]
[b]Sûr, ce ne sera pas rose[/b] (et les écorchures à nos mains, ?)
Écarteront le souvenir d'un pinson dans le lointain
[..]
[b]Nos infinis contre leurs riens.[/b]
[..]
Les amis sont solidaires
[b]Et[/b] mon amour sera pour toi.
hey je l'ai balancé avec soin tout de meme!
[quote]l'héritage d'Antonin Artaud, du surréalisme et du Théatre de la Cruauté[/quote]
c'etait pas mal introduit non? ;-)
l'héritage d'Antonin Artaud, du surréalisme et du Théatre de la Cruauté
c'etait pas mal introduit non?
Je l'ai lu. Je peux faire une dissert' pour te faire plaisir.
Mais j'avais cru lire que tu en avais marre de lire des conneries et j'ai pas la prétention d'en sortir quelque chose.
Faut pas t'vexer comme ça.
Paroles :
A la fleur de mes nuits, Aux amoureux dans l'incendie,
A tes yeux qui salivent, A ces choses qui arrivent,
Aux horizons du soir, Pourquoi pas à l'espoir,
A ces vins qui tiennent chaud, A nos ivres bateaux,
Au plaisir, Au désir de tout quitter sur un soupir,
Aux adieux, Aux toujours, Aux promesses, Aux amours,
Aux noirceurs, A nos coeurs, Aux lueurs, A nos peurs,
A ton coeur fatigué, A nos travers, nos libertés,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser,
A nos bouches essoufflées à trop les embrasser.
Aux bistrots résistants, Aux alternatifs enfants,
Aux violettes, Aux printemps, Aux obscures, aux arborescents,
Aux navires échoués sur les trottoirs condamnés,
A ces chants des esclaves, A ces océans sans rivages,
Aux enfants de Truffaut, A nous les fils d'Artaud,
Aux amours sans chapelles, Aux nuits à bouffer ton fiel,
Aux coins des abats-jour, Aux armes de nos amours,
A nos sangs littéraires, A nous deux, à la Terre,
Aux siècles sans talents, Aux gloires pour des quarts d'heure du temps,
A ton parfum de spleen à s'aimer sous le chant du cygne,
Au sens des écritures, Au fil des littératures,
Aux pays sans frontières, Aux coups de marteaux sur les nerfs,
Aux armées oubliées, A nous les désespérés,
A nos coeurs égorgés, A nos corps embrassés,
A nos corps écorchés, A nos coeurs embrassés.
Le jour se lève et je ne vois que le silence aux horizons,
Dans les jardins de mes enfances, je crois qu'il est mort le pinson,
Sûr ça ne sera pas rose puis les écorchures à nos mains
Ecarteront le souvenir d'un pinson dans le lointain,
Suivons le chant du vent des plaines qui nous mènera au printemps,
Puis qui sait sur les chemins chanter le chant des partisans,
Nous serons fiers nous serons humbles notre sang sera divin,
Des amours pour soigner la Terre, des infinis contre leurs riens,
L'ami viens te joindre à la table, non, c'est pas celle du roi,
Mes amis sont solidaires, et mon amour sera pour toi,
Et vagabonde et soleil noir, loin des villes sans lumière,
Garder au fond un espoir, celui du loup dans les clairières,
Notre étoile a le goût du souffre mais elle éclaire comme un millier
Des chandelles en processions, des oriflammes à l'horizon,
Levons-nous nous sous les grandes ourses, non, nous ne sommes pas funéraires,
Nous sommes fils de la renaissance, au drapeau des libertaires,
Sous le drapeau, sous le drapeau... Des libertaires. Des libertaires. Des libertaires
Artaud il a quand même l'air sacrément cramé aussi ^^
Ceci dit ça correspond plutôt bien à des choses déjà entendues...
[quote]Ah ces états qu'on ne nomme jamais, ces situations éminentes d'âme, ah ces
intervalles d'esprit, ah ces minuscules ratées qui sont le pain quotidien de mes
heures, ah ce peuple fourmillant de données, - [b]ce sont toujours les même mots
qui me servent[/b] et vraiment je n'ai pas l'air de beaucoup bouger dans ma pensée,
mais j'y bouge plus que vous en réalité, barbes d'ânes, cochons pertinents,
maîtres du faux verbe, trousseurs de portraits, feuilletonistes, rez-de-
chaussée, herbagistes, entomologistes, plaie de ma langue. [/quote]
Ah ces états qu'on ne nomme jamais, ces situations éminentes d'âme, ah ces
intervalles d'esprit, ah ces minuscules ratées qui sont le pain quotidien de mes
heures, ah ce peuple fourmillant de données, - ce sont toujours les même mots
qui me servent et vraiment je n'ai pas l'air de beaucoup bouger dans ma pensée,
mais j'y bouge plus que vous en réalité, barbes d'ânes, cochons pertinents,
maîtres du faux verbe, trousseurs de portraits, feuilletonistes, rez-de-
chaussée, herbagistes, entomologistes, plaie de ma langue.
Il a publié les paroles...
à la fleur de mes nuits
aux amoureux dans l’incendie
à tes yeux qui salivent
à ces choses qui arrivent aux horizons du soir
pourquoi pas à l’espoir ?
à ces vins qui tiennent chaud
à nos ivres bateaux
au plaisir au désir de tout quitter sur un soupir
aux adieux aux toujours aux promesses aux amours
aux noirceurs à nos cœurs
aux lueurs à nos peurs
à ton cœur fatigué à nos travers nos libertés
à nos bouches essoufflées
à trop les embrasser
aux bistrots résistants aux alternatifs enfants
aux violettes au printemps aux obscurs
aux arborescents
aux navires échoués sur les trottoirs aux condamnés
à ces chants des esclaves
à ces océans sans rivage
aux enfants de Truffaut à nous les fils d’Artaud
aux amours sans chapelle aux nuits
à bouffer ton fiel au coin des abat-jours
aux armes de nos amours
à nos sangs littéraires
à nous deux
à la Terre
au siècle sans talent
aux gloires pour des quarts d’heure de temps
à ton parfum de spleen
à s’aimer
sous le chant du cygne
aux sens des écritures aux fils des littératures
aux pays sans frontière aux coups de marteaux sur les nerfs
aux armées d’oubliés
à nous les désespérés
à nos cœurs écorchés à nos corps embrassés
à nos corps écorchés à nos cœurs embrassés
le jour se lève et je ne vois
que le silence aux horizons
dans le jardin de mes enfances
je crois qu’il est mort le pinson
bien sûr ça ne sera pas rose
mais les écorchures à nos mains
nous garderons le souvenir
de mon pinson dans le lointain
suivons le chant du vent des plaines
il nous mènera au printemps
et puis qui sait sur le chemin
chanter le chant des partisans
nous serons fiers nous serons un
et notre sang sera du vin
nos amours pour soigner la Terre
nos infinis contre leur rien
ami viens te joindre à la table
oh non c’est pas celle du roi
mais les âmes y sont solidaires
et mon amour sera pour toi
les vagabonds des soleils noirs
au loin des villes sans lumière
ont gardé au fond un espoir
celui du loup dans les clairières
notre étoile a le goût du souffre
mais elle éclaire comme un millier
de chandelles en processions
des oriflammes à l’horizon
allumons-nous sous les grandes ourses
non nous ne sommes pas funéraires
nous sommes fils de la renaissance
sous le drapeau des libertaires
sous le drapeau sous le drapeau
des libertaires
Ah super c'est sympa de sa part.
J'avais raison pour la fin c'est bien libertaires.
[quote="Maitre Kaio" date="2012-08-30 14:11:51"][url=http://morne.free.fr/celluledessites/OeilZinE/absoluantoninartaud.htm]Le Pèse-nerfs[/url][/quote]
Je suis une cochonne. Hi hi hi!
Le Pèse-nerfs
Je suis une cochonne. Hi hi hi!
[quote="Maitre Kaio" date="2012-08-30 23:09:46"]l'utilisation du mot "arborescent" me laisse pantois.[/quote]
Je plussoie et ajoute que les [i]gloires pour des quarts d'heure de temps[/i] passent mal également.
l'utilisation du mot "arborescent" me laisse pantois.
Je plussoie et ajoute que les gloires pour des quarts d'heure de temps passent mal également.
je pense qu'il parle de l'arbre généalogique
il parle déja d'alternatifs enfants, comme un moyen de s'occuper l'esprit quand il manque un enfant dans sa vie les "bistrots resistants": une alternative aux enfants.
dans VLP ca revient déja sa frustration de ne pas en avoir. ca n'a pu que grandir.
peut être que ca n'a rien a voir...
alternatifs enfants pour moi c'est plus des enfants qui grandissent dans un monde alternatif, c'est a dire un monde différent de cette foire aux bestiaux permanente.
amsi du coup ca me rassure, vous avez lu un peu les trucs autour d'Artaud. je comprenais pas pourquoi on voulait interpréter la chanson sans commencer par ca.
d'ailleurs: [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9%C3%A2tre_de_la_cruaut%C3%A9]La téhatre de la cruauté, kezako?[/url]
[quote="PJ" date="2012-08-30 16:37:37"]Je l'ai lu. Je peux faire une dissert' pour te faire plaisir.
Mais j'avais cru lire que tu en avais marre de lire des conneries et j'ai pas la prétention d'en sortir quelque chose.
Faut pas t'vexer comme ça.[/quote]
mechant troll.
Je l'ai lu. Je peux faire une dissert' pour te faire plaisir.
Mais j'avais cru lire que tu en avais marre de lire des conneries et j'ai pas la prétention d'en sortir quelque chose.
Faut pas t'vexer comme ça.
mechant troll.
N’empêche, c'est ce genre de phrases qui me fait adorer certains artistes:
[quote]Par Les Cenci, il me semble que le théâtre est remis à son plan et qu'il retrouve cette dignité presque humaine sans laquelle il n'est pas utile de déranger le spectateur.[/quote]
C'est dit avec tellement d'ironie et de force. Il maitrise un peu le bougre.
D'ailleurs, dans ce discours, y'a ce coté solennelle, de puissance sacrée qu'on retrouve notamment chez Saez et qui se fait assez rare.
Par Les Cenci, il me semble que le théâtre est remis à son plan et qu'il retrouve cette dignité presque humaine sans laquelle il n'est pas utile de déranger le spectateur.
C'est dit avec tellement d'ironie et de force. Il maitrise un peu le bougre.
D'ailleurs, dans ce discours, y'a ce coté solennelle, de puissance sacrée qu'on retrouve notamment chez Saez et qui se fait assez rare.
Texte original Les fils d’Artaud dispo en page d'accueil sur saez.mu
[url=http://www.saez.mu/texte-les-fils-dartaud/]http://www.saez.mu/texte-les-fils-dartaud/[/url]
tu débarques Mug, ça date d'hier soir ;)
[quote="boby6" date="2012-08-30 18:04:12"]Il a publié les paroles...[/quote]
Il a publié les paroles...
mince et pourtant j'ai lu le topic...sa devient une habitude de louper les annonces et de mettre les pieds dans le plat