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Assez pourri comme article mais je vous le mets quand même:
http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/30/1594571-damien-saez-l-imprecateur-en-pull-de-ski.html
Oui de très mauvais goût en effet, n'oubliez pas que ce journal est détenu par un président d'un parti du pouvoir auquel en 2007 Saez a apporté un soutien à sa canditdate, chose qu'il se refuse aujourd'hui.
Belles photos mais dommage pour les fautes dans l'article " Quais de scène " ._.
un vrai régal pour les yeux ces photos
Magnifique ces photos !
Y compris celles des musicos, c plus rare. Le verre de sky, génial ;)
[quote="Nico6540"]Oui de très mauvais goût en effet, n'oubliez pas que ce journal est détenu par un président d'un parti du pouvoir auquel en 2007 Saez a apporté un soutien à sa canditdate, chose qu'il se refuse aujourd'hui.[/quote]
Oui enfin le prg n'est pas le PS. Sinon ça s'appelerait le PSG. C'est surtout que ce journal est un torche-c..
Le pire c'est que je suis sure que c'est pour ce genre de personne qu'ils avaient réservés les places assises. Alors que nous on a galeré dans la fosse.
J'ai un peu honte d'être du 82 tout de suite ! Quand je vois les critiques des autres journaux locaux, on est franchement ridicules.
Je partage uniquement l'analyse sur le pull.
Par contre merci aux lecteurs de la dépêche qui ont mis leurs commentaires. Preuve que le niveau d'âge des fans s'élève vu l'âge moyen des lecteurs de ce torchon
Oui de très mauvais goût en effet, n'oubliez pas que ce journal est détenu par un président d'un parti du pouvoir auquel en 2007 Saez a apporté un soutien à sa canditdate, chose qu'il se refuse aujourd'hui.
Oui enfin le prg n'est pas le PS. Sinon ça s'appelerait le PSG. C'est surtout que ce journal est un torche-c..
Le pire c'est que je suis sure que c'est pour ce genre de personne qu'ils avaient réservés les places assises. Alors que nous on a galeré dans la fosse.
J'ai un peu honte d'être du 82 tout de suite ! Quand je vois les critiques des autres journaux locaux, on est franchement ridicules.
Je partage uniquement l'analyse sur le pull.
Par contre merci aux lecteurs de la dépêche qui ont mis leurs commentaires. Preuve que le niveau d'âge des fans s'élève vu l'âge moyen des lecteurs de ce torchon
les photos sont absolument superbes ! (mais pour le premier article qui le réduit à un gourou en pull de ski, comment dire ? Va mourir dans ta litière, journaliste de *** )
Oh, enfin l'article des DNA :)
Merci @gwen !! (tu peux voir avec @blat pour lui envoyer que ça soit ajouté à la revue de presse stp ?)
Quel article de merde (celui de La Dépêche) !
Y en a marre de voir des commentaires sur son poids et sur ses fringues...
Merci pour l'article sur le concert de Strasbourg ! :)
@Isa : Il est déjà dans la revue de presse ;)
Et c'est pas le même article (pas le même titre, et pas la même date), donc, il nous en manque toujours un :(
Ok @isa je lui envoie en MP
Edit : ah bah non alors, pas le bon lol ^^
C'est lequel qui manque ?? j'ai loupé encore un épisode !!
@gwen : http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/03/23/damien-saez-un-garcon-contre-le-vent :(
Edit : Ah, et celui là aussi du coup http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/03/23/king-saez !
Le rock en rage de Saez
Pour la quatrième date de sa tournée des grandes salles, Damien Saez, toujours à vif et révolté, a embrasé samedi les quelque 6 000 spectateurs du Zénith Europe de Strasbourg.
Ils sont rares ces artistes encore capables de galvaniser une foule par la combinaison magnétique de leur aura, de la profondeur de leur discours et de la forme qu’ils y mettent.
Damien Saez est de ceux-là, avec ses textes percutants, ses pamphlets incisifs en prise avec les tourments d’une société qu’il n’a jamais renoncé à bousculer mais aussi ses chansons qui dépeignent les souffrances incandescentes d’amours déçues.
Et c’est justement ainsi qu’il ouvre son concert, sur ces ruptures avec Marie puis Betty, sur ces élans brisés qui confinent à l’isolement mental dans un vieux rade portuaire.
Un déluge électrique
Brel s’invite alors furtivement et ses accents désabusés cognent avec les riffs sombres des guitares de Daniel Jamet et Franck Phan.
S’abat ensuite un déluge électrique marquant la Fin des mondes via ce couplet anti-finance crachant un vibrant « Fuck you Goldman Sachs ! ». Break de batterie, extinction momentanée du feu pour mieux relancer le brasier après une pause d’un quart d’heure.
La seconde partie de concert, immédiatement versée dans l’électro et des sonorités club, débute avec des samples de Snoop Dog et les beats bien funk du Soul Makossa de Manu Dibango. Voici Miami , chanson-titre du dernier album du même nom de Saez, aux paroles crues et bien balancées sur les excès de drogue, de sexe et d’alcool.
Avec cette rage omniprésente teintée de fragilité dans ce timbre éraillé, il y a du Cantat sur scène, en contestataire universel, orfèvre de chants révolutionnaires à tiroir et de poèmes bruts et puissants à l’instar des vibrants J’accuse et Jeunesse lève-toi. Oui, Saez, le héraut d’une génération qui connut des Jours Étranges à l’orée des années 2000, a mûri, et son public avec. Jeune et con n’est plus.
Et samedi, jusqu’à quasiment minuit, cette révolte en vers et en verbe fut vivifiante, à l’image de son généreux porte-étendard.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/03/25/le-rock-en-rage-de-saez
Damien Saez, un garçon contre le vent
En quelques albums, Jours étranges (1999), G od blesse (2002) et Debbie (2004 ou encore le triple Varsovie – L’Alhambra – Paris (2008), le musicien à fleur de nerf a trouvé un ton résolument personnel même si Noir Désir ou Louise attaque sont déjà passés par là avant lui. Le sexe et la mort, Ferré et Brel, Radiohead et Jeff Buckley, Massoud et Che Guevara, Verlaine et Rimbaud… Autant d’obsessions que Saez livre avec rage et insolence.
N’allant jamais sur les plateaux de télévision, sinon pour se produire aux Victoires de la musique un bonnet jusqu’en dessous du nez, Saez, c’est aussi une rock’n’roll attitude et un joli minois boudeur et romantique, qui plaît au public féminin par excellence.
Originaire de Dijon, Damien Saez est issu d’un milieu modeste. Son père quitte la maison lorsqu’il avait 5 ans, sa mère, éducatrice s’occupe de mineurs délinquants. À 8 ans, le petit Damien veut apprendre le piano. « Comme c’est moi qui ai demandé, dit Damien Saez, ils ont pris ça pour une obligation parentale d’accepter, même si on n’avait pas beaucoup d’argent. Ce n’était pas évident de jouer du piano dans l’immeuble. »
À 18 ans, Saez, qui a commencé à écrire ses chansons, prend ses cliques et ses claques et s’installe à Paris. Son premier album, J o urs étranges , est à l’image du simple Jeune et con qui a attiré l’attention de toute une jeunesse sensible à ce jeune gars chantant son mal-être et celui de la société.
En fait, Saez ne se force même pas. Il agit à l’instinct. N’en fait qu’à sa tête. Qu’il n’a pas vide. Quand Le Pen passe au premier tour des présidentielles, il enregistre dans l’urgence Fils de France téléchargeable gratuitement sur le site de sa maison de disques de l’époque. À peine connu avec le titre Jeune et con , il revient avec un double album conceptuel, obligeant Universal à prendre des risques que les temps présents ont oubliés. Il remet les couverts ces jours-ci en publiant Miami (Cinq7/Wagram) alors que son deuxième triple album Messine est sorti en 2012.
Oui, mais voilà avec peu de promo et aucune apparition à la télévision mais avec un sens calculé de la provocation (l’affiche de sa nouvelle tournée a été censurée par la RATP et la pochette de Miami par certains distributeurs), les salles sont remplies et Saez d’être suivi par une horde de jeunes fans prêts à voir en lui le nouveau messie atypique du rock. L’intéresse refuse, pourtant, d’être un porte-parole. Il dit ce qu’il pense (il hait le mot « communisme », par exemple), reconnaît être inspiré par ses névroses en bon hypocondriaque, caractériel et parano qu’il avoue être.
Saez reste convaincu qu’il faut exprimer ses malaises. Plutôt que de boucher la source, il faut l’analyser, la canaliser, la mettre à jour. Il tient à ce côté thérapeutique des chansons. Il n’a même pas peur d’être « bruelisé » par des gamines amoureuses confondant Saez avec un boy’s band, trop arrogant pour ça. Et, sur scène, il ne caresse pas vraiment dans le sens du poil. Une musique recommandée aux brutes et aux âmes sensibles.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2013/03/23/damien-saez-un-garcon-contre-le-vent
King Saez
Depuis son apparition, en 1999, avec l’album Jours étranges , le talentueux Damien Saez agace.
[i]C'est tout ce qu'il y a :/
Si vous voulez d'autres articles, demandez moi, j'en ai pour deux jours ^^ [/i]
RTL2 offre des invitations pour le concert de Lille, avec Jeune et con en fond sonore (lol).
La Dépêche du Midi suite.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/04/04/1597970-les-fans-de-saez-vent-debout.html
bon, y'a le droit de réponse, mais là ça devient un peu ridicule nan ? (et pis le journaleux qui signe même pas son article...)
Oui, c'est ridicule, et ça mélange un peu tout.
Tu peux aimer la musique que produit Saez (l'artiste) tout en considérant que Damien (l'humain) est un connard.
En tout cas, ça me fait bien marrer :D
[quote="blat"]Oui, c'est ridicule, et ça mélange un peu tout.[/quote]
Ah donc c'est pas que moi, me vlà rassurée ;)
[quote="blat"]
Tu peux aimer la musique que produit Saez (l'artiste) tout en considérant que Damien (l'humain) est un connard.
En tout cas, ça me fait bien marrer :D[/quote]
Pas mieux :D
Oui, c'est ridicule, et ça mélange un peu tout.
Ah donc c'est pas que moi, me vlà rassurée
Tu peux aimer la musique que produit Saez (l'artiste) tout en considérant que Damien (l'humain) est un connard.
En tout cas, ça me fait bien marrer
Pas mieux